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fire from the river

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fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:45)
hear the drums echoing tonight

alfie desroses
feat rupert grint
nom Desroses, l'héritage qui lui a de temps à autres pesé sur les épaules. Un patronyme qui s'ancre dans les domaines journalistiques et médiatiques de par son paternel et la marâtre, des renommés soufflées qu'il exaspère, des figures respectées aux devants, craintes mais surtout qui ne cessent de polir leur image afin d'aveugler la société.
prénom(s) Alfred que l'on surnomme plus communément Alfie pour ne pas se prendre la tête. La cicatrice ouverte du père qui a trouvé bon de donner à son propre fils le prénom d'un frère trop tôt décédé, un oncle qu'Alfred n'a jamais connu.
âge Vingt huit ans, presque trois décennies à fouler les terres, à malmener la mer, à polluer l'air. N'étant pas très regardant sur son âge, c'est toujours avec surprise qu'il rejoint les festivités lors du quatorze février, oubliant chaque année que c'est ce jour-là qu'il s'est pour la première fois manifesté.
naissance Paris, France. Un hexagone qu'il n'a pas assez connu selon lui. A ses deux ans, ce sont déjà les terres néo-zélandaises qui l'accueillent et ce ne fut qu'occasionnellement qu'il se réunit avec les traditions françaises.
nationalité Franco-néo-zélandaise. Par le sol, il devint automatiquement français dès sa naissance dans un hôpital de la capitale. Néanmoins ce ne fut qu'à ses dix huit ans qu'il demanda à être citoyen de Nouvelle-Zélande, une requête qui fut acceptée.
origines Un meltingpot de racines qui, plus ou moins communes, ornent les marbrures de la généalogie. En passant par des pays européens comme l'Irlande et la Pologne, la branche avant la sienne est néanmoins originaire de France ainsi que d'Australie.
statut civil Les lippes bavardes ne cessent de trouver on-dits et fabulations quant à son potentiel célibat. Aux bras d'une femme ou aux bras d'une autre, c'est avec discrétion qu'il a mené ses précédentes relations bien qu'elles aient toutes, de façon inévitable, éclatées au grand jour avant de s'effriter et devenir des stigmates du passé. Et pourtant, depuis quelques jours, il se trouve être marié.
orientation Les courbes qui se fondent avec aisance dans sa carrure, le bout des phalanges n'apprécient que trop la présence de corps féminins, de leurs effluves distinctes et de leurs caractères fugaces et disparates.
profession Tout jeune, c'est l'art qui se peignit sur ses doigts. Dans son esprit, un monde paisible, serein, et régit par l'harmonie de mélodie créée sur l'instant. Une passion, un mode de vie que certains se plaisent à dire, il est depuis déjà quelques temps, membre d'un groupe de musique qui ne connaît que succès et triomphes, une prospérité qu'il considère méritée même si, parfois, scandales et désordres viennent s'ajouter à la célébrité.
argent Alfie n'a jamais été le genre d'individu à se plaindre, à trouver des arguments pour rabaisser sa situation quand bien même il a autrefois entrecroisé des difficultés. Au jour d'aujourd'hui, on peut dire qu'il s'en sort avec facilité et habileté, une quotidien dont il n'a pas à s'inquiéter.
❇ ❇ ❇
Un paradoxe dans un seul et même corps, une cohésion de facettes qui en devraient pas pouvoir s'entendre les unes avec les autres. Et pourtant, il arrive à donner l'image de quelqu'un de sain d'esprit, de quelqu'un qui a connaissance de ses limites, des frontières à ne pas outrepasser. Aventureux, c'est inattentif et insouciant qu'il va à la rencontre d'autrui, qu'il s'approche d'individus pour assouvir une curiosité qui s'est toujours voulue insatiable mais surtout, ingouvernable. Suivant son instinct, il n'est pas rare qu'il se retrouve comme étant l'acteur de malaises involontaires, de situations burlesques qu'il aurait pu éviter en étant plus soucieux et méfiant. Néanmoins, il est rare de le voir perdre ses moyens même dans les contextes les plus toxiques. Un sourire sur les lippes, honnête et confiant, c'est avec indifférence et euphorie qu'il agit, avec optimisme qu'il voit le monde. Quel mal pourrait me tomber dessus ? est l'une des interrogation qui lui chamboule parfois l'essence, dans un soupir, un énième, il accepte les fatalités qui ne sont pour lui que des plot twists avec lesquels il faut savoir s'adapter.
positive minds.
Play with the Fortune Teller.
le fortune teller peut toucher à tout  
Devant un miroir, Alfred n'est que celui qui parvient à voir les reflets positifs. Même le négatif, il l'altère afin de voir dans le malfaisant, un utilitaire qui lui permet d'avancer et jamais de ne faire un pas en arrière, quand bien même c'est la crainte qui peut parfois laisser une marque dans son âme, comme pour lui montrer une toute autre réalité.
her moonlit wings reflect the stars that guide me towards salvation
Pro-caféine, un verre ou un gobelet en main, c'est amer et corsé qu'il le préfère. Cinéphile invétéré, il n'est pas rare de le voir se rendre seul dans les salles de cinémas afin de profiter d'un film, ancien ou nouveau, blockbuster ou méconnu. Fêtard comme jamais. il a toujours su s'amuser et ce, même dans les moments les plus douloureux qui ont construit son existence. il ne parvient pas à baisser les bras, à s'aplatir sous la souffrance, à courber l'échine face aux tourmentes. L'humiliation, il ne connaît pas. il s'en amuse même, l'homme peu susceptible qu'il est accepte facilement de se faire tourner en bourrique ou d'être le cobaye de coups montés. Il se met même lui-même en scène pour faire étirer sourires moqueurs ou enjoués, entendre les rires qui lui donnent une certaine joie de vivre. Il a connu la période sombre. un coup dur, une frappe sur la tête, le crâne fracassé par une forme de regrets qu'il n'avait jamais réellement goûté auparavant. Six mois en réhabilitation après que ses parents aient découvert la substance illicite dans un tiroir de sa chambre, alors qu'il n'avait que quinze ans à peine. Les relations avec son paternel n'ont jamais été au beau fixe. Si sa mère est une femme avec qui il s'est toujours bien entendu, voire trop bien, la figure d'exemple n'eut que pour effet de laisser une certaine acrimonie en Alfie.   Comme les doigts d'une main, ils sont cinq. Inséparables, ou presque, le groupe se définit comme étant sa seconde famille, une partie de lui qui même si un jour il souhaitait l'oublier, ne pourrait pas s'effacer. Il a vu le monde avec eux, il a connu le pire ainsi que le meilleur, des réminiscences grandioses, inoubliables. Dragueur, charmeur. Agitateur, perturbateur. S'il montre parfois une indifférence face aux femmes qui peuvent lui tomber dans le creux des paumes, si c'est la froideur qui semble s'inscrire sur les traits lorsqu'il ressent le las d'une facilité déconcertante et contrariante, il doit avouer que la gent féminine a toujours eu cette particularité à lui faire oublier. Tout lui faire oublier. Cœur tendre qui s'apparente à une forteresse attaquée de toutes parts, il est de ceux qui apprécient la légèreté, de ceux qui aiment vivre de simplicités, de banalités. Ce qui lui est impossible avec le statut actuel qu'il possède dans la société. Une femme, une autre, encore une autre, il les abandonne les unes après les autres, sans raisons apparentes.
pseudo, prénom Marauders, Helga. âge Vingt-et-un  ans. pays, région Douce France. connexion Aussi souvent que possible. où as-tu connu le forum ? Bazzart, la caverne aux trésors. personnage Inventé mixé par un pré-lien. dernière bafouille Je ne bafouille pas, moi.
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:46)
forever meant nothing when we had nothing

La plaie ouverte, venin qui cicatrise la peine. Entre quatre murs, l'impression d'étouffer. Il a la tête baissée, le visage face contre le carrelage clair, étincelant. Ça l'aveugle et pourtant, les paupières restent immobiles, inanimées comme la carrure qu'il garde le dos contre le mur, les jambes repliées sur elles-mêmes alors que c'est sur le parterre qu'il est assis. Il pose son menton sur ses genoux, un filet d'air inaudible qui s'échappe d'entre ses lippes qu'il a pris l'habitude de sceller dans l'enceinte du bâtiment. A l'extérieur, des pas discernables qui s'approchent et s'en vont, qui semblent hésiter. Il fronce les sourcils, la moue boudeuse et agacée par l'indétermination de cet autre qui erre devant ce qu'il appelle sa cellule. En détention comme les criminels le sont d'après ce qu'il peut voir dans les informations télévisées ou dans les émissions plus fictives, cela fait déjà deux mois qu'il se trouve en centre de désintoxication et de réhabilitation pour toxicomanes. Schrik, schrik, schrik. Le bruit des semelles de pantoufles contre les dalles, il s'est levé et s'avance vers la porte qu'il a lui-même verrouillé après le couvre-feu. Au niveau de ses yeux, une petite embrasure cachée par un petit engin coulissant qu'il ouvre afin de voir qui se trouve à l'extérieur. « Qu'est-ce que tu veux ? » est l'interrogation qu'il pose en reconnaissant la silhouette dissimulée dans l'obscurité. Elle s'avance, l'allure enjouée, la candeur dessinée sur le faciès. Elle a ce sourire, ce sourire qui perce, qui transperce, qui chamboule même le plus inusable, valeureux qui succombe inéluctablement. « Tu veux pas m'accompagner dans les cuisines ? » qu'elle demande dans un chuchotement qu'il peine à entendre, obligé de tendre l'oreille pour saisir sa demande. Il arque un sourcil interloqué, la curiosité qui l'emporte sur l'once de fatigue qui commençait à se former en lui. « Pourquoi ? » La réponse l'amuse quand bien même ce n'est pas cette réponse qu'il attendait. J'ai faim qu'elle avait laissé énoncer. Alors il reformule, il rajoute pour qu'elle comprenne. « Pourquoi moi ? » Elle hausse les épaules, fait mine de réfléchir. « Parce que je sais que tu as déjà fait quelques escapades nocturnes. Moi, non. » Pourquoi pas, qu'il se dit. De toute façon, qu'est-ce qui le retient si ce n'est que le règlement stipule qu'il est interdit de sortir après vingt deux heures et qu'il est évidemment prohibé de se rendre dans les endroits réservés au staff de l'établissement ? Rien.

Et elle danse, danse, danse, dans l'innocence. Le bout des doigts frôlent les cordes, une mélodie, douce et réconfortante, remplaçante des narcotiques qui l'assomment, elle. Si Alfie est sorti après six mois, Viven est toujours coincée dans les filets d'une addiction sévère et rédhibitoire. Elle chute, chute, rechute à chaque valse avec le monde réel. Alors on l'enferme, encore. Et à chaque fois, le procédé n'est que plus cruel, que plus insupportable. Pas pour elle, mais pour lui, pour tout ceux qui observent, impuissants face à la décadence. Une pichenette sur le front alors qu'elle sourit insensiblement comme si elle était ailleurs, il pose l'instrument près de la commode. « Vivi, c'est quand que t'arrêtes les conneries ? » Elle sourit. Elle sourit et lui, même si ça l'énerve au point de vouloir la secouer dans tous les sens pour qu'elle reprenne ses esprits, il reste de marbre, stoïque et ne trouve qu'à ravaler sa salive qui peine à outrepasser la glotte, foutue boule dans la gorge. Il craint ce qu'il doit énoncer, il craint ce qu'il doit lui dire parce qu'une fois, il sait que cela sera bel et bien réel, qu'il n'y aura pas de retour en arrière. Il l'observe, l'air soucieux, anxieux d'une quelconque réaction qu'elle pourrait laisser transparaitre. « Il faut que je te le dise. Dans deux jours, on ne se verra plus aussi souvent, pour ne pas dire plus du tout. Je pars à Londres. » La franchise et le manque de tact. Il a la tête qui regardent ses paumes, il n'ose lever les yeux. Elle, ses pupilles se dilatent et elle serre la mâchoire. Sans ne prononcer aucun mot, ce qui ne change pas de d'habitude, elle tente de garder cet air impassible, apathique. Alors que son monde, il vient de le réduire en poussières, il vient de le pulvériser, pire qu'un poignard qui se plante dans sa carotide, pire qu'un coup donné dans les entrailles, pire que toutes les géhennes qui peuvent s'acharner sur elle. Le sentiment acerbe et maussade de l'abandon, mêlé à la fourberie, à la déloyauté, fameuse trahison.

Dans le zéphyr, les aventures. Propulsé aux devants de la scène, aux devants de toutes les estrades. Le groupe s'est lancé et il ne peut être défini que par le succès qui le mène sur la vague interminable d'une célébrité sans cesse complimentée. Alfie se souvient de ce moment où tout a changé. Quand on lui a proposé contrat, premier album, jusqu'aux tournées qui ne consistaient pas à se rendre dans des bars pouilleux à jouer pour les ivrognes au comportement sans cesse joyeux. Pourtant, la vie de célébrité n'est pas aussi paisible qu'il l'imaginait auparavant. S'il sait y faire avec les médias, il doit avouer qu'il est parfois irrité par les flashs de caméras qui lui explosent la rétine. Car Alfie a toujours été sensible, même les lumières lors des spectacles font en sorte de ne pas l'aveugler trop longtemps, au risque de finir avec des picotements désagréables au niveau des yeux. En reprenant le train de vie qui fut une fois son quotidien, il a l'espoir de voir des jours plus calmes faire leur arrivée. Et pourtant, il sait que ce souhait ne sera qu'à moitié respecté, qu'il y aura toujours quelques curieux pour prendre une poignée de clichés. S'il est à l'aise avec la célébrité, ce n'est pas le cas de tous les membres du groupe. Aidan, considéré comme le plus discret des membres, est aussi sûrement celui qui attendait le plus impatiemment de retrouver ses terres, de retrouver sa famille ainsi qu'une vie un peu plus tranquille. Alfie, lui, a fait mine de ne pas s'en soucier. Mais dès le pied posé à l'aéroport international de Nouvelle Zélande, il a eu du mal à contenir son soulagement, sa joie et sa nostalgie de revoir un pays qui lui avait manqué. De revoir des traditions qui n'étaient que trop peu communes à l'étranger, de revoir des visages, d'en rencontrer de nouveaux. Et même certains que l'on aurait presque espéré ne jamais rencontrer.
Luci, Luci, Luci résonne dans son essence malmenée.  
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:47)
OMG OMG RUPERT OMG
JSUIS MORTE
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:48)
PUTAIN MAIS RUPERT GRINT QUOI. fire from the river  1348864476 fire from the river  1348864476 fire from the river  1348864476
J'ai le droit de complètement fondre pour lui sans même connaitre le personnage ? fire from the river  41734297
bienvenu par ici toi. fire from the river  314201370
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:49)
CALMEZ VOS HORMONES.
NE MOUREZ PAS TOUT DE SUITE. :creep: fire from the river  1135450497 En vrai, vous avez des avatars qui m'envoient du rêve (JLaw + JLC, non mais adieu, vous voulez ma mort ? fire from the river  1321790767) Aleisha, fonds pas, tu vas salir le parterre fire from the river  1140773659 fire from the river  2224896922 Et merci pour votre accueil fire from the river  843243092 fire from the river  1048470550
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:53)
VAZY GENRE JE SUIS SALE. fire from the river  3278550214 fire from the river  3278550214 fire from the river  3278550214
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:55)
MAIS NON. Pas du tout. fire from the river  479733598 Ce serait bête que tu dégoulines et tout t'as vu, un si beau spécimen fire from the river  107302656 fire from the river  4240345067
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:56)
JE VOUS REJOINS PARTERRE BORDEL RUPERT fire from the river  1321790767 fire from the river  1321790767 fire from the river  1321790767 fire from the river  1321790767 fire from the river  1321790767 fire from the river  1321790767
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 19:58)
... fire from the river  41734297 :hii: :hii: :hii:
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Re: fire from the river - (Ven 26 Aoû - 20:02)
ET KIT HARINGTON CE MEC C'EST UN DIEU OU UNE FORCE SUPÉRIEURE OU JE SAIS PAS MAIS KIT QUOI fire from the river  843243092 fire from the river  2879480199 :creep: fire from the river  1514876641 Je pense que je vais finir par vous rejoindre sur le sol vous voyez fire from the river  1321790767
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Re: fire from the river - ()
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