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Invité
| Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 20:50) |
Lilo Poly feat. Mimi Elashiry
| Nom Poly, le nom de maman, tu l'as pris après le divorce, tu l'as pris parce que c'était plus simple, comme ça. Poly, t'es la seule qui s'appelle comme ça, maintenant. Maman s'est remariée, K. a suivi le mouvement, comme toujours. et y'a toi, au milieu de la tempête. La dernière, ouais. Prénom(s) Maman, elle a toujours été un peu taré, avec les superstitions, la mauvaise fortune, et le destin. Quand tu étais gamine, papa, il te disait que pour choisir ton prénom, il lui a fallu presque 9 mois. Le temps que tu germes, dans son ventre. Et finalement, Lilo est arrivée. Lilo qui lie sa culture à celle de ton père. Prénom double, un peu germain, un peu hawaïen, unique en son genre, comme toi. Âge 19 ans, 20 à la fin de l'année. Le temps court, et tu cours après, toi aussi. Naissance 29 décembre 1998, à Wellington. Une naissance parmi tant d'autres, des jeunes parents maladroits et un amour qui s’essoufflera. NationalitéT'es née ici, tu mourras surement ici. Sur les papiers, t'es néo-zélandaise, et ça te plait, Lilo, tu ne voudrais vivre nulle part ailleurs. Origines Enfant du monde, oiseau lumière, tu viens de partout, et pourtant, tu n'as jamais quitté ton pays, ton île, ton confort. Maman d'Europe, l'accent qui accroche encore ses lèvres, et une langue qu'elle t'a appris un peu malgré toi, l'allemand, que tu detestes. Et puis l'exotisme de papa, les îles, la Polynésie, Hawaï, des contrées colorées qui réchauffent ton coeur. Statut civil baroudeuse de l'amour, tu ne t'es jamais vraiment posée, ni attachée. L'amour, c'est pour les petites filles, tu te répètes. Tu n'as pas vraiment eu de bel exemple, il faut dire. Orientation sexuelle tu n'as jamais voulu le cacher. tu acceptes qui tu es, et tu le respectes. Homosexuelle depuis toujours, tu te battrais contre la terre entière pour prouver que l'amour n'a pas de genre. Occupation Du sers des bières, ou du café selon l'heure, pour vivre depuis qu' il a bloqué ton compte en banque. Il ne se rends même pas compte que tu t'en fiches, Lilo. t'es pas matérialiste, toi. Argent tu comptes les centimes pour acheter du riz. Groupe Carpe Diem, disait Horace. The Fortune Teller les imprévues, tu les bouffes au p'tit dej. (️️amor fati) |
Yolo pourrait être ta philosophie de vie, même si c'est ringard. Ou bien live fast, die young. à voir. Tu prends la vie comme elle vient, Lilo, avec ses imprévus et ses moments d'immenses bonheurs. Tu vis intensément, sans penser aux autres, à tout les autres. alors ouais, parfois, tu ris trop fort, tu parles trop vite, et tu dis des conneries monumentales. T'en fais, aussi, tout le temps. comme lorsque t'as décidé de tout quitter pour retrouver un père qui faisait le mort depuis six ans. Ou comme lorsque t'as attrapée une pneumonie, à 11 ans, parce que tu es restée danser sous la pluie, littéralement. t'as failli crever mais tu le referais les yeux bandés. tu devrais réfléchir plus, parfois. Faut croire que tu n'as pas grand chose dans la tête. Mais ce n'est pas grave, parce que c'est ton frère, le malin, pas toi. Toi, t'es l’exubérance, la liberté, le danger, la volupté, la sensualité. T'es entière, Lilo et comme les étoiles, t'es insondable, inatteignable, et pourtant, tellement désirable.
elle parlait très vite, comme si le silence lui faisait peur.
+1+ Tu es pratiquement née sur la plage. avant, vous habitiez à Jervois Quay et tu t'endormais, bercer par le bruit des vagues. C'étais beau, et ça te manque. Cette époque magique, où vous passiez vos journée dans l'eau, au sur le sable chaud avec k., où maman vous apportiez le déjeuner dans un panier en osier, où papa vous surprenez, après être rentré de mission, et vous dansiez, sur la plage, vous étiez heureux. Vraiment. +2+ Tu avais 11 ans la première fois que tu es montée sur une planche de surf. C'était une soirée d'été. Papa et Maman se disputez, K. était à son entrainement de foot, et toi, tu es sortie par la porte de derrière pour courir te réfugier sur la plage, les pieds dans l'eau, là où tu t'es toujours sentie en sécurité. Il n'y avait pratiquement personne, juste lui, juste toi. Quand tu l'as vu, t'as pensé un instant tombé amoureux. Ses longs cheveux blonds, sa peau dorée par le soleil et un sourire immense. C'est lui qui t'a appris, qui t'a transmis sa passion dévorante pour les vague et l'inconnu. En rentrant chez toi, le soir, tu as supplié maman, pour qu'elle t'inscrire à l'école de surf, à la place des cours de gym. +3+ Tu as rencontré Elsa à l'école primaire. Elle avait 9 ans, tu en avais 8 et vous étiez dans la même classe. à la fin du premier jour d'école, c'était déjà ta meilleure amie, de la terre jusqu'aux étoiles. Pendant 5 ans, vous ne vous êtes pas lâché d'une semaine. et puis maman a décidé qu'elle était trop bien pour cette vie, vous avez déménagez, et si dans un premier temps, vous vous appeliez toutes les semaines, avec elsa, votre relation s'est essoufflée, presque naturellement. +4+ Maman, elle parlait peu de papa. Tu ne comprenais pas pourquoi. "Il va revenir" qu'elle te disait. Et toi, tu t'accrochais à ça. Parfois, tu oubliais les traits de son visage. Mais il rentrait, aussi beau qu'avant, avec son sourire-soleil et ses bras de papa ours. Ton père, tu l'as toujours adulé, profondément aimé. Peut être parce qu'il n'était pas là, lui, pour les réprimandes et les punitions. Tu ne gardes de lui que les bons souvenirs. +5+ Maman, elle est arrivée à Wellington quand elle avait 16 ans. elle parlait à peine anglais, et personne ne savait vraiment ce qu'elle faisait là. elle ne parle jamais de sa famille, resté là-bas, en allemagne, et pourtant, malgré les fantômes que tu retrouves dans son regard, tu peux être certaines qu'elle aime encore ce pays, de tout son coeur. à la maison, elle vous parlait toujours en allemand. K., il adorait ça, c'était à ses yeux le plus chouette des langages secrets. Toi, tu n'aimais pas cette langue, qui écorchait ton palet, tu n'aimais rien, de ce pays là. Tu l'imaginais peuplé de sorcières, sans eaux ni électricités. Il faut dire que maman, elle lisait les cartes, et quand elle faisait du ragoût, en hiver, tu étais persuadé qu'elle y mettait des queue de lézard et des ailes de chauve-souris. +6+ Tu avais 12 ans, quand tu as compris que ce n'était pas que des bêtises, ces histoires de carte. Papa ne rentrait pas, et maman, elle commençait à s’inquiéter. Maman, elle a lu les cartes, et elle s'est mise à pleurer. 2 jours plus tard, elle recevait un coup de téléphone de l'hopital militaire. Papa était de retour, en vie, ou presque. cloué dans un lit d'hopital pendant deux mois, tu t'es battues bec et ongles, contre ta mère, mais jamais tu n'a pu aller le voir. +7+ Ensuite y'a eu beaucoup de disputes, à la maison, quand papa est revenu. Toi, tu ne comprenais pas. Pourquoi ? Pourquoi les cris et la haine, alors que vous devriez fêter son retour dans la joie et la bonne humeur ? Au fond, tu crois que maman, elle lui en a toujours voulu, de ne pas être là pour vous voir grandir, de risquer sa vie à l'autre bout du monde. elle avait peut-être peur, tout simplement. Peur de lui, peur de la vie, pour de tout. +8+ Y'a toujours plusieurs façons de raconter les histoires. Ta mère parle d'un alcoolique violent et malade, qui ne sait plus qui il est ni ce qu'il fait. toi, tu ne vois que ton papa, blessée par la vie, qui essaie de se reconstruire malgré les maux durs de maman. Elle a finalement décidé qu'il mettait trop de temps à guérir, papa, qu'il n'en valait plus la peine. Alors elle est partie, à l'autre bout du pays, et vous avez dû suivre. 500 km entre Wellington et Gisborne. 7 heures de route. Tout un univers qui vous sépare à présent, papa et toi. +9+ T'as recommencé ta vie la bas. Nouveaux amis, nouvelle maison. Le surf, toujours, et puis, les filles, bientôt. Le début des amourettes. Rien de change, finalement. Papa te manque à peine, il n'étais jamais là, avant, alors, ouais, rien n'a changé, finalement. et puis, maman, il y a 2 ans, elle a rencontré un homme, un banquier en costard, riche et bien élevé. Tout le contraire de papa, et toi, tu le détestes, depuis toujours. alors les disputes se sont enchaîné. avec Maman d'abord, et avec gros con, ensuite. Il suintait la suffisance, il était arrogant et manipulateur. Tu l'as toujours détesté. Après un an seulement, ils ont emménagé ensemble, et il y a 6 mois, ils se sont marié. Si K. a choisi de prendre le nom de celui qu'il appelait maintenant 'papa' toi, tu es restée une Poly. +10+ tout a dérapé y'a deux mois. Vous aviez un accord tacite, avec l'autre. Il s'occupait de ses affaires, et toi des tiennes. Mais visiblement, ce fut plus fort que lui. T'es rentrée, un soir. Il n'était pas forcément tard. Tu étais avec elle, vous avez passez la soirée sur la plage, et en rentrant, sur le pas de la porte, tu l'as embrassé, Lilo, rien de plus normal. Il devait vous observez par le judas, et à peine fut-elle partie qu'il a surgis, de derrière la porte. C'est répugnant, qu'il a dit. Et toi, t'as vu rouge, Lilo. Tu pensais que maman allait te protéger. Mais elle est restée, assise, sur le canapé, les yeux rivés sur la télévision. elle a fait la sourde oreille, et tu t'es sentie trahis, Lilo. T'es monté dans ta chambre, la rage au ventre, t'as pris un sac à dos, t'y a fourré ton ordinateur, tes bijoux et tes livres. Dans un sac de sport, tu as entassé le reste de ta vie. Et puis t'es partie. avec deux sacs et ta planche de surf sous le bras. T'es partie, au milieu de la nuit, dans un bruit, prête à traverser de nouveau la moitié du pays pour retrouvé ta véritable maison. +en vrac+ t'es végétarienne tout les lundi, et puis, le mardi, tu craques pour un sandwich à la dinde. C'est comme ça toute les semaines, t'es incapable de tenir tes objectifs. + T'as des tocs, Lilo. Tu vérifies toujours quatre fois que la porte est bien fermée et tu regardes encore sous ton lit, juste pour être sûre. + T'es habituée depuis toujours a te balader en maillot de bain, même en hiver. Tu ne sens jamais le froid, et il ne t'es jamais venu à l'esprit de mettre un pull. + Tu mets des dizaines de bijoux chaque jours. Tu les as chiné la plupart en brocante ou chez des antiquaires. T'aimes l'idée qu'ils aient une histoire. + Tu es allergique aux arachides. + Tu n'as jamais compris comment fonctionnait es réseaux sociaux, et de toute manière, ton téléphone ne peut pas aller sur internet. t'as bien essayer d'avoir un smartphone, mais après l'avoir fait tombé trois fois dans l'eau, il est mort. + Tu ressembles énormément à ton père. De ta mère, tu n'as que les yeux clairs. Ton frère, au contraire et contre tout attente, est presque blond. Parfois, tu te demandes si c'est vraiment ton frère. Vous êtes trop différent. + T'as toujours un vieux livre sur toi, et la plupart du temps, il est gondolé et les pages sont cornée, parce que tu le trimbales dans ton sac à main, avec ton maillot de bain, parfois humide. + Ta planche de surf s'appelle James. Tu ne sais toi-même pas pourquoi.
| Pseudo/Prénom RoseImpure, Zoey pour les intimes Âge 19 ans, et déjà un coup de vieux. Pays fr Connexion ça dépends de la période de l'année, j'essaie de passer tout les soirs, mais parfois, avec les études, ce n'est pas évident. Où as-tu connu le forum? Bazz my love Personnage scénario de Cole Symons Dernière bafouille toc ! - Code:
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<busy>Mimi Elashiry</busy> / réservé(e) jusqu'au 26/04 |
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| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 20:51) |
She's just a girl and she's on fire
Il est vingt-trois heure. Tu viens d’arriver, à l’instant, par le dernier bus. Sept heures de trajet, à ruminer tes idées noires. A pleurer, un peu. Parce que tu quittes ton frère, parce que tu quittes maman, et que même si s’était compliqué, à la maison, tu l’aimes toujours.
Il est vingt-trois heure. Et t’es là, debout, juste devant votre maison. Les lumières sont éteintes, sauf celle d’une chambre, la tienne. Celle d’une autre, maintenant. C’est dur, de se dire que maintenant, une autre famille fait sa vie ici. Que cette maison, qui a accueilli vos rires et vos moments de bonheur, connait désormais ceux de quelqu’un d’autre. Tu te demandes si la porte du placard est toujours cassée, si ‘une des marches de l’escalier est sur le moins de cassé, si la salle de bain à été repeinte, s’il y a toujours cette embrassure de porte, ou maman reportait vos tailles, tous ans. Tu pensais qu’en revenant, tu trouverais papa, assis sur la terrasse. A regarder la mer, peut-être. Il t’aurait souri, et tu aurais su, que tu avais vraiment pris la bonne décision. Mais il n’est pas là. C’est normal, tu ne lui en veux pas, d’avoir quitter la maison, d’avoir fui les souvenirs. Après tout, c’est vous qui aviez fui les premiers. Tu passes une main dans tes cheveux, soupires, et finalement, tu tournes le dos, à cette maison, au passé.
Il est vingt-trois heure et trente minutes. Tu marches, il fait nuit. Tu te bats intérieurement avec l’envie folle de reprendre le bus. Mais non, tu ne peux pas, Lilo. Tu n’as pas ta place, là-bas. Tu ne l’as jamais eu. Parce que tu es trop comme papa, et ta mère, même si elle t’aime de tout son cœur, elle ne l’a jamais vraiment supporté. De voir son sourire, quand tu souris. De l’entendre, quand tu t’énerves. De le voir, partout, tout le temps. L’homme qu’elle a quitté, qu’elle voudrait oublier. Est-ce que tu vas aller le voir papa ? Est-ce qu’il veut seulement te revoir ? Vous n’avez aucun contact avec lui. Il n’a pas essayé de le reprendre, d’après maman. Gamine, tu espérais secrètement qu’elle brule toutes ses lettres, qu’elle l’empêche de vous voir, de te voir. Mais qu’il essayait, qu’il voulait faire parti de ta vie. En grandissant, tu t’es rendue à l’évidence, Lilo. Papa, il était trop jeune pour avoir des enfants. Papa, il a fait de son mieux, mais il a vraiment dû être soulagé, quand vous êtes partis.
Il est minuit vingt quand tu passes la porte du motel, en bordure de la ville. Le mec à l’accueil semble à moitié endormi, et pas franchement ravis de te voir arriver, avec tes sacs et ta planche. Tu lui demandes une chambre, il te demande ta carte d’identité. Tu ne seras officiellement majeur, pour les Néo-zélandais, qu’à la fin de l’année, alors tu dégaines celle que ton amis Jack avait fait pour toi. Celle où tu prétends avec 20 ans depuis 7 mois. Elle est bien faite, cette carte et le type ne pose pas de question, il te file la clé de la chambre 12 et se réinstalles confortablement sur son fauteuil.
Il est minuit trente quand tu t’assoies sur le lit de la chambre. Tu sors ton téléphone, celui qui semble avoir fait la guerre et plus encore, et tu te décides enfin à envoyer un message à ton petit frère. « Je suis rentrée à la maison, je suis désolée, sois heureux, je t’aime. » rien de lui, parce que tu n’es pas dû genre à t’étaler, parce qu’il n’y a rien à dire d’autre. Sa maison est là-bas, avec sa nouvelle famille. Mais toi, ta vie, elle est ici, elle l’a toujours été.
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| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 21:08) |
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| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 21:19) |
mimi est tellement jolie :boubou: bienvenue chez nous |
| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 21:33) |
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| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 21:37) |
oooh mimi est super mignonne . bienvenue par ici beauté . |
| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 21:47) |
Merci à tous @Cole Symons je vais venir te mp sous peu :heath: @rhea dardo merci ma belle Réserve moi un lien parce qu'en plus de jouer Grande my love, tu joues grande my love avec, si j'ai bien compris, un crush sur Camila mon amour, so, je vais shiper à fond je crois bien |
| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 21:54) |
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| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 22:09) |
bienvenue parmi nous. |
| | | Invité
| Re: Enfant terrible - (Sam 21 Avr - 22:10) |
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche |
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