william ✻ live for something rather than die for nothing

La vie est surprenante après tout si elle ne l'était pour quelle raisons les hommes voudraient-ils la vivre ? L'expérience qu'elle apporte c'est ça qui nous enrichie et nous rend fort, mais trop de gens oublient la facette de la vie , celle où elle nous rappellent avec difficulté que jamais rien est acquis,  que si le bonheur existe alors le malheur lui aussi a une place. La vie c'est un peu comme le côté de deux pièces ou comme le yin et le yang pour que le bonheur existe il faut aussi connaître la souffrance et parfois cette souffrance peut s'avérer fatale. Au fond personne ne peut se préparer à perdre quelqu'un, la mort fait certes partie de chacun d'entre nous, mais quoiqu'on en dise, on ne peut jamais accepter de voir un être cher partir et il ce va de soit que William faisait partie de ses gens qui ne l'acceptait pas, peu importe ce qu'on aurait pu lui dire, rien n'y personne ne peut se préparer à la fatalité, l'acceptation qu'il n'y a plus rien a faire si ce n'est de baisser les bras et de se résigner, car cela doit être ainsi. Quand dans un premier temps on lui a annoncé qu'il y avait plus rien à faire, il a d'abord refusé de l'entendre pour beaucoup il se trouvait dans le déni, mais qui ne l'aurait pas été ? Après tout comment accepter de voir une personne que l'on aime souffrir et finalement se dire que quoiqu'il arrive elle mourra. Jamais de sa vie, William aurait pu accepter cela, a tel point que dans un geste il avait envoyé son poing dans le mur, il se fichait royalement de se blesser, il avait hurlé un non qu'il ne l'accepterai pas à tel point que la sécurité fut appelé de peur certainement qu'un des médecins présent soit blessé. Il s'était d'un geste appuyé sur le mur, la tête dans ses mains, il ne sait pas combien de temps il était resté ainsi, mais personne avait osé le toucher surtout face au choc qu'on venait de lui dire. Comment vit-on l'acceptation que sa soeur de seulement âgée seulement de dix-neuf ne pourrait vivre que quelques mois tout au plus ? A dix-neuf ans on a la vie devant soit alors il ne pouvait le supporter, mais il savait qu'il n'avait pas le droit de craquer tandis qu'elle se battait encore malgré la souffrance qu'elle vivait et qui lui faisait mal à en hurler. Il avait d'abord serré ses poings tentant de retenir la douleur qui lui parcourait le long de son corps. Face à cette chambre, à ce numéro qu'il oublierait jamais, il était resté ainsi durant plusieurs minutes, des minutes qui semblaient interminables, ses larmes avaient d'un geste coulé sans qu'il ne puisse contrôler avant que d'une main il tente de les arrêter. Il laissa un long soupir s'échapper avant de finir par prendre le dessus et d'ouvrir le grande porte qui le séparait de sa soeur, elle était étendu dans le lit plus pâle que jamais, mais qui malgré tout avait gardé le sourire et cela dès qu'elle avait posé son regard sur son frère qui souriait lui aussi, mais cela difficilement. Comment imaginer sa vie sans Cara, c'était une chose qu'il ne pouvait pas penser et pourtant auquel il aurait dû. Il s'était avancé vers le lit avant de doucement s'appuyer pour déposer un doux baiser sur le front de sa jeune soeur et de s'asseoir près d'elle, tout en gardant sa main dans la sienne, il pouvait parfaitement sentir la main de sa soeur qui se refroidissait, mais il ne voulait pas encore accepter, il avait besoin de croire que dans la dernière minute quelqu'un trouverait la solution, il a longtemps priait pour que ça arrive tellement que souvent il priait d'inverser les rôles que ce soit lui qui se trouve à sa place et qu'elle puisse être comme tout le monde, vivre qui semblait à cet instant bien trop compliqué. En l'entendant d'un geste tousser, il pu constater à quel point ses poumons l'a brûlé, il s'était rapproché d'elle lui donnant un verre d'eau avant qu'elle ne le regarde « Tu verras ça ira William, tout ira bien. » sa voix était faible mais malgré tout elle tenait le coup, il pouvait voir qu'elle faisait bonne figure pour lui, mais également leur père dont la colère faisait rage, William bouillonnait sans savoir ce qu'il devait vraiment ressentir et peut-être que c'était ça le pire il semblait vivre dans le déni, il ne pouvait pas concevoir tout comme il ne pouvait pas supporter de la voir tant souffrir, de voir à quel point qu'à chaque fois qu'elle respirait cela lui était douloureux. A ses mots, il avait juste laissé son doigt glissé le long de son visage avant qu'elle finisse par s'endormir. Il avait pas répondu, car à vrai dire il ne le pouvait pas tellement sa gorge était noué et il ne voulait pas qu'elle puisse croire qu'il abandonnerait, c'était une chose qui était totalement  impensable pour lui. Dès lors qu'elle s'était endormie,  il partit avec son père voir le médecin qui s'occupait depuis des années de sa soeur, d'eux pour être certain que lui-même ne développe pas une quelconque maladie par la suite, quand vous naissez avec un gêne pathologique de cette envergure le risque était finalement de 50/50 par chance comme on lui avait souvent dit il allait bien. Bien qu'à cet instant si physiquement il allait très bien émotionnellement il était totalement désemparé et c'était d'ailleurs ainsi qu'il était apparu devant le médecin qui était resté silencieux en le voyant arriver. « Pourquoi n'est-elle pas sur la liste ? Vous sauvez des ordures alors pourquoi pas ma soeur ?! » à écouter ses mots cela aurait pu paraître simple, sauf qu'elle était la plus gravement malade et la plus jeune elle n'aurait pas pu supporter, mais plus ils attendaient, plus tous savaient que les heures et les minutes étaient comptés. « Vous devez la sauvez ! Vous m’entendez ? Alors bougez-vous au lieu de restez planter là sans rien faire ! » il avait senti une main se posé sur son épaule avant de se retourner et de voir Amy dont il s'était rapproché au fur et à mesure du temps et qui avait été un soutient à la fin de sa relation avec June. Elle avait été présente dans cet hôpital de Cleveland, le meilleur service de cardio du pays il parait. Pourtant, à cet instant, il se demandait si tout ce que disait ces médecins, ces brochures étaient pas une simple foutaise. Amy avait insisté pour qu'il la suit et l'avait emmené près de la cafétéria où il pourrait pendant un bref instant se calmer ou au moins tenter d'y parvenir. William sait parfaitement qu'il lui devait énormément, mais aussi à quel point cette relation été compliqué pourtant l'avoir près de lui avait été une aide précieuse. Leur rencontre s'était fait simplement lorsqu'elle celle-ci l'avait aidé à remplir ses documents administrative pour l'obtention de sa licence de pilote de ligne ou du moins ce qu'il prétendait. Depuis cet instant ils avaient sympathisé et il devait bien se l'avouer que William appréciait énormément sa présence. « Ça n'aurait jamais dû lui arriver tout ça c'est ma faute, c'est moi qui devrait être à sa place et elle respirer sans souffrir alors pourquoi ce n'est pas moi. » il ne s'agissait en aucun cas d'une question et Amy l'avait bien remarqué, il avait pas bougé d'un pouce tandis qu'elle avait eu le simple réflexe de lui prendre la main comme pour tenter par ce geste de le réconforter même si elle savait que ça ne serait pas forcément le cas, mais au moins elle espérait qu'il verrait qu'il était pas seul dans cette dur épreuve  « Et elle serait dans cette même chaise à se poser la même question que toi sauf que toi et moi on sait que peu importe la réponse cela ne t'aidera pas plus »  il avait rien dit simplement écouté laissant sa main dans la sienne le regard dans le vide ou il fut silencieux, il ne pensait à rien si ce n'est l'espérance qu'un miracle se produit sauf qu'il était conscient que ce genre de choses existaient pas, mais pour une fois il voulu tenter le coup l'espérant à plein souhait c'est tout ce qu'il désirer dans ce monde, simplement voir que sa sœur irait mieux et qu'enfin elle pourrait vivre comme tout personne normal. « Ça te ferait peut-être du bien de parler avec June, je sais que vous êtes plus ensemble, mais je suis certaine qu'elle aimerait être là pour toi surtout maintenant, je ne sais pas tu devrais essayer au moins de l'appeler et aussi pensé à manger quelque chose si tu ne le fais pas pour toi fais le au moins pour ton père il a déjà beaucoup à s'inquiéter » il avait durant les secondes qui avait suivi la réponse de Amy rien dit, il arrivait pas tellement il souffrait que sa gorge en était plus que nouée, elle avait pu le sentir tout autant lorsqu'il avait resserré la main de la jeune femme dans la sienne et qui était resté près de lui « La seule chose que je souhaite c'est juste qu'elle aille mieux rien d'autre et puis de toute façon elle ne répond pas à mon message donc je crois que je ne vais pas insister, de toute façon j'en ai pas la force. »  elle n'avait pas insister si ce n'est de sortir quelques biscuits de son sac qu'il avait malgré tout mangé avant que dans la nuit ils apprirent que sa soeur était tombée dans le coma. Les miracles étaient qu'un leurre et il le savait mieux que personne et encore plus à cet instant. Il ne sait pas combien de temps il était resté a attendre dans sa chambre tandis que son père ne cessait de trouver un moyen quelque chose qui puisse la sauver, mais plus le temps passé plus William se rendait compte qu'elle souffrait à un point qu'elle avait de plus en plus mal et rien d'autre. Elle ne pu s'empêcher de se demander s'il en était pas devenu égoïste. Bien évidemment qu'il voulait que sa soeur vive, mais pas au prix de la voir si mal, pas quand il savait qu'elle souffrait et il savait que la seule chose qu'elle voulait c'était un regard, un geste qu'il lui permettrait de vivre en paix chose qu'elle n'était pas. Il arrêtait pas de penser à ses regards, ses moments ou ils s'étaient toujours promis d'être présent l'un pour l'autre et cela quoiqu'il arrive facile ou non, ils formaient une seule et unique personne alors oui il savait que s'il était à sa place il voudrait qu'on le laisse partir alors comment pouvait-il être au fond égoïste pour ne pas voir la souffrance qu'elle vivait ?  Sa main dans la sienne il ne pouvait pas la lâcher, croire qu'une chance pouvait être possible il en avait presque prié même s'il savait au fond de lui que le peu de chance sans cette greffe sans cet organe dont elle avait besoin les chances était néant ou le mot injustice prenait tout son sens. C'était plus qu'injuste comment le voir autrement ? Personne ne mérite de mourir si jeune et encore plus Cara. Cependant, la réalité se trouvait là et là était la difficulté. « William ... c'est toi ? » Lorsqu'il entendit la voix de sa soeur, William avait releva la tête, elle avait eu peine à ouvrir les yeux elle était plus blanche que jamais et il avait pu voir au regard de sa soeur à quel point elle était fatiguée, pas uniquement moralement, mais de se battre, il est vrai qu'elle s'était battu comme jamais sauf qu'arrivait à ce stade elle ne pouvait plus l'envisager et en la voyant tout comme ses larmes couler le long de son visage tellement la souffrance en était forte, il s'était pincé la lèvre comme pour ne pas craquer à son tour. Elle ne pouvait rien avaler ni même presque parler, elle avait d'ailleurs du faire un énorme effort autant pour parler que pour garder ses yeux ouvert. Elle se sentait comme un légume, elle avait pas besoin de le dire son regard avait parlé pour elle. Il aurait voulu dire quelque chose, mais en la voyant dans cet état aucun mot était sortit. C'était bien trop dur. Elle avait tenté de parler, mais sa voix se perdait «  Chut ne dis rien, je suis là je vais appeler papa et ... », mais elle avait tenté de le retenir comme elle pouvait hochant négativement de la tête pour qu'il n'en fasse rien.  Il savait  qu'il aurait fait la chose, qu'elle ne voudrait pas ni de tout ses médicaments, des perfusions qui ne changerait rien. Il le savait autant qu'elle, elle ne pouvait plus et même si elle c'était battu elle ne voulait qu'une chose. Être enfin libre et ne plus être le pantin de cette vie qui elle le savait tout aussi bien que lui, ne lui appartenait plus. Elle l'avait regardé de ce regard ou il savait que tout ce qu'elle voulait c'était avoir la dignité qu'on la laisse partir en paix, elle ne demandait pas grand chose et elle savait qu'une unique personne pouvait comprendre et c'était William. Il l'avait regardé posant un doux baiser sur son front avant de finir par s'allonger près d'elle tenant sa main dans la sienne. Il ne sait pas combien de temps ils étaient restés ainsi. A lui parler, à lui rappeler ses bons moments, ses souvenirs qu'elle était en train d'emporter en elle, elle avait laissé un simple je t'aime s'échapper auquel il avait fini par lui répondre d'une voix complètement brisé. Il savait que jamais personne ne comprendrait comment il avait pu faire ça, la laissé partir, mais il savait qu'il lui devait cela, il savait que si les rôles avaient été inversé, elle aurait été la seule à pouvoir comprendre « Soit libre Cara personne ne t'en voudra je te le promets, tu peux t'endormir je reste là. » il avait pu sentir l'apaisement de sa soeur avant que finalement doucement elle finisse par s'endormir ou d'un baiser il ne fit par entendre que le bruit de la machine ou il se rendait compte que tout était fini, qu'elle était partie, que définitivement il ne verrait plus jamais le sourire de sa sœur, ni entendre le son de sa voix et d'un geste il se laissa emporter par la douleur et éclata en sanglots d'avoir perdue sa soeur, mais se disant au moins qu'elle était libre et ne souffrait plus.


Avec le temps la douleur fini par s’atténuer cette phrase qui ne l'a jamais entendu après une tragédie ou la souffrance prenait une place trop importante qu'elle finissait par nous envahir pour ne laisser qu'une simple douleur qui ne pouvait être stopper durant un temps c'était cette sensation qu'avait l'impression de vivre William, il avait l'impression de sombrer comme jamais. Il avait perdu sa soeur, mais à la fois June qui avait disparu sans laissé de trace et qu'il n'en comprenne les raisons assez pour qu'il eut la difficulté de remonter à la surface. À vrai dire, la mort de sa soeur fut un véritable choc qu'il n'avait pas pu l'accepter de suite, dès lors qu'on lui avait parlé de voir quelqu'un, un psychologue, c'était d'un ton agressif qu'il avait rechigné finalement la seule personne qui pouvait encore avoir un contact avec lui autre que son père fut étrangement Amy qui avait été présente dans le pire moment de sa vie. Si pour Cara il avait commit la chose qu'elle avait tant désiré de partir libre et de ne plus souffrir dans cette réalité les choses étaient bel et bien différentes. Pour son père la perte de sa fille, fut une véritable épreuve auquel le choc fut bien trop énorme à tel point qu'il était tombé dans une sorte de choc dû au lésion crânien qu'il avait déjà auparavant sans compter la nouvelle qui était tombé plus tard sur son alzheimer précoce. Le désespoir avait envahit son père qui n'avait pu rien faire pour sortir de ce traumatisme, selon les médecins ils pouvaient aller mieux un jour ou l'autre ou au contraire resté ainsi, cela ne dépendait en réalité que de lui. Pour William ce n'était guère facile, mais il avait pris malgré tout cette responsabilité de s'occuper de son père ou du moins la première année avant qu'il ne soit envoyé en mission par l'armée auquel il s'était engagé quelques temps après la mort de sa soeur, une façon comme une autre de s'échapper de cette vie et cette douleur et oublier le tout face aux balles et protéger son pays.  En réalité, être à Boston ne l'aidait pas,  il avait l'impression de ne plus savoir ce qu'était la réalité, il se demandait parfois même s'il ne devenait pas dingue, il savait simplement une chose, il ne pouvait pas rester ainsi au risque de réellement s'auto détruire et bien qu'une part de lui aurait pu se laisser aller une autre part de lui ne le voulait pas et jamais il ne voudrait être la cause des larmes de gens qu'ils aimaient en particulier son père qui souffrait déjà assez comme ça. Lorsqu'on lui avait annoncé sa nouvelle mission dont il ignorait la durée, mais auquel il savait les raisons de cette mission plus spéciale que la précédente. Il avait que quelques heures pour se préparer, bien entendu lorsqu'il était parti pour la première fois on lui avait dit qu'il fuyait et que ça ne l'aiderait pas, mais que cela ne tienne il se fichait royalement des dires des gens tant qu'il pouvait penser à autre chose que le regard de sa soeur avant que celle-ci ne s'en aille certainement dans un monde meilleur. Sauf que cette fois-ci c'était plus compliqué, il s'était rapproché de Amy qui passait beaucoup de temps avec lui. « Je comprends tes raisons qui sont parfaitement honorable, c'est juste que je ne veux pas que tu partes et que tu ne reviennes jamais comme beaucoup avant toi bien que je n'ai pas à donner mon avis. » il s'était doucement avancé vers elle pour la serré contre lui ou d'un geste elle s'était enfoui dans ses bras bien évidemment que lui promettre que tout irait bien elle n'y croirait pas, car personne ne sait jamais ce qui peut se passer, mais pourtant il avait pas pu s'empêcher de la rassurer de trouver ses mots dont il avait le secret « Je sais tout ça, mais je reviendrais sois en sure et pour des raisons précis et crois-moi ton avis est beaucoup plus important que tu ne le penses » Il s'était doucement retiré d'elle, elle savait très bien qu'il avait appelé un taxi quelques heures auparavant lui qui détestait les au revoir. « même si tu en a pas conscient, je te trouve héroïque et pas uniquement par rapport à l'armée. » c'était le genre de phrase qui le mettait assez mal à l'aise bien qu'il se sentait touché sans pour autant être d'accord avec elle « Je ne suis pas un héros Amy » « Tu en es un pour moi  » il l'avait regardé posant tendrement sa main sur la joue avant de revenir à lui en entendant le klaxon du taxi qui l'avait interpellé. Il avait gardé la main de la jeune femme dans la sienne qui l'avait accompagné jusqu'à l'entrée prenant au passage son sac que le chauffeur pris pour le mettre à l'arrière, il mis quelques secondes avant de partir ou dans un geste il regarda Amy avant de doucement déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Elle l'avait regardé sans rien dire si ce n'est de sourire promettant qu'il reviendrait avant que celui-ci ne monte dans le taxi s'en allait a une destination jusqu'ici tenu secrète avant que le verdict tombe dans l'avion : L'Afghanistan l'attendait. Six mois c'était exactement le terme de sa mission pas un jour de plus aucune extraction ne serait possible s'il allait au-delà de ses mois, il avait pour mission de s'infiltrer comme il le savait si bien dans un groupe de mercenaires. Il avait tout mis de côté, ses quelques sentiments qui se développer pour Amy et encore plus ce deuil auquel il arrivait pas à véritablement faire, présent sur place il savait qu'il avait pas le droit à l'erreur, mais il savait très bien que les gens qui lui disait que quoiqu'on en dise on ne revient jamais indemne d'une telle mission. Quand il était rentré, ce n'était pas exactement de la façon que ses patrons avaient imaginé. En réalité, il ignore ce qui s'était passé, une erreur dans leur calcul qui l'avait mis dans le pétrin et s'était retrouvé extrader par chance après avoir subit un grave traumatisme sans compté une plaie par balle où Amy avait joué avec le temps une véritable infirmière à s'occuper de lui et qu'il choisisse de véritablement faire une chose qui semblait valoir la peine à cet instant précis : S'investir sur cette nouvelle relation naissante avec Amy, elle lui avait redonné foie en quelque chose qu'il ne pensait pas trouvé et même s'il souffrait et qu'il gardait nombreux secret, il voulait prendre le risque aujourd'hui deux années étaient passé et il venait de se fiancer à une femme qui était devenu importante dans sa vie. Assis sur la chaise de son bureau il semble ailleurs avant de voir une main passé devant lui « Désolé de te sortir de tes rêveries, en espérant que c'est bien de moi que tu rêvais, mais plus sérieusement Henley veut te voir. Elle a d'ailleurs préparé une tasse de thé ! » il avait pu constaté le regard suspicieux lorsqu'il avait prononcé sa dernière phrase. Henley était la chef des opérations, celle qui l'avait engagé il y a plusieurs années et dont il devait énormément, mais qui était du genre à être une femme qui était beaucoup plus une énigme tellement qu'il était difficile de savoir qui était Henley Winston si telle était bien son véritable prénom nulle ne l'aurait su si ce était elle-même. « Tu voulais qu'elle prépare quoi d'autre, tu sais bien qu'elle ne boit que ça puis elle m'a toujours préféré à toi que veux-tu je suis bien meilleur que toi. » avec les années il avait pris du galon où lui-même était devenu le chef de sa propre équipe, cela ne l'empêchait pas de savoir rire quand il fallait et se montrer sérieux quand ils avaient une mission  « Elle veut plutôt t'empoisonner ouais ! » Il avait rien de plus si ce n'est de sourire avant de rejoindre Henley à son bureau toujours assise dégustant déjà sa tasse de thé, elle lui avait demandé de refermer la porte derrière lui ce qui annonçait déjà quelque chose d'énorme. Il s'était assis face au thé qu'elle lui avait préparé, qu'il est eu soif ou non cela ne changeait guère. « Comment va donc votre chère fiancée j'espère que tout se passe bien entre vous ? » Il semblait intrigué par ses quelques propos, mais avait confirmé que tout allait bien entre eux se doutant que ses mots n'étaient pas dit uniquement pour prendre de ses nouvelles encore moins de sa relation, il la connaissait bien pour savoir qu'elle choisissait ses mots pour une raison bien précise. « Tant mieux parce que vous avez une nouvelle mission solo auquel je vous demanderai toute votre attention en espérant que les bestioles de la Nouvelle-Zélande ne vous effraie pas » une mission solo qui voulait donc dire un témoin a protéger face à un gros dossier important et dangereux. Il était intrigué, d'habitude elle lui aurait donné un dossier en complet tandis que là elle en avait que très peu dit poursuivant qu'il aurait le dossier entre les mains une fois arrivé dans le pays où on l'attendait. « Je peux savoir exactement de quoi il retourne et peut-être l’identité de la personne ? » il avait malgré tout tenté le coup bien qu'à son regard, il connaissait déjà la réponse. « Vous le serez bien assez tôt agent Ryder. » il avait pas chercher à en savoir plus, de toute façon c'était perdu d'avance, il savait que quoiqu'il arrive il ferait ce qu'il savait mieux faire, son boulot bien qu'il se demandait bien qui pouvait être cette personne pour que Henley soit si mystérieuse.

bienvenue parmi nous

BÉBÉ ASHA!!!!!
bienvenue et bon courage pour ta fiche!
j'ai hâte de nous trouver des liens de folies, comme à l'habitude!

bienvenue parmi nous.
hâte de voir ce que vous préparez toutes les deux. :cara:

bienvenue . hâte de voir votre duo .