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big or small, lies are lies.

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big or small, lies are lies. - (Ven 12 Mai - 19:44)

Boti Ruiz
feat. lydia graham

Nom ruiz. Prénom boti. Âge vingt-quatre ans. Naissance 1993. le 15 février en nouvelle zélande, éclat de verre posé sur la terre aux embruns salées. Nationalité anglaise. Origines spanglish de part son paternel, espagnol à l'exode fantasque. Statut civil souvent compliquée, cœur fragile qui n’a de cesse de tomber amoureux ne sachant plus comment aimer. Orientation sexuelle hétérosexuelle. Occupation femme de ménage. Argent à coup d'heures supp', convenable. Groupe positive minds. The Fortune Teller l'amputation, la mort… what else ?

❇️ ❇️ ❇️

elle, elle fait partie de celles qu’on ne remarque pas, des fantômes transparents, qui n’entrent pas en ligne de compte, qu’on choisit par défaut. qu’ont la peau terne, les traits tirés, les regards éteint, des visages pales, des teints gris. de celles qui se délavent de jour en jour, qui ont du mal à s’entendre penser, à se maîtriser, qui mettent mal à l’aise en public, de cette franchise mordante et de cette innocence déplacée. de celles qui dérapent dans les escaliers des bibliothèques, qui font l’amour en deux temps, qui s’y prennent à l’envers avec les autres. de celles sur lesquelles on ne parie jamais, qui ne savent plus raisonner de façon logique, qui ont tout fait comme il faut mais qui n’y arrive pas. des semi-défaites, des victoires sans panaches, rongées par cette timidité qui fait baisser les regards. de celles qui ne tiennent pas la pression, se font balayer à répétition, qui se font assister. des baltringues, des éclopés, des faibles qui prennent des trucs pour tenir le coup. de celles qui ne savent pas dire non, qui ne connaissent pas la rébellion, qui ne soutiennent pas les regards. pourtant… pourtant, boti c’est aussi cette femme enfant qui ne renonce pas. chien enragé, teigneuse et acharnée. boti c’est cette femme enfant qui établie des stratégie dans l’obscurité pour rependre la main, jouer selon ses propres règles et forcer le destin. boti c’est cette femme enfant qui cherche à taire ses sales travers. qui cherche à rejoindre les rands des lions, des maquisards, des résistants, des sentiments. boti c’est cette femme enfant qui espère croiser la vie, un soir, au détour d’une rue, pour le séduite, le ramener et lui faire l’amour de façon brûlante. c’est les yeux écarquillés en permanence. ahuris. ébahis. boti c’est cette femme enfant qui guette les comètes, les planètes et les épiphanies. qui cherche à déterrer ce qui est enfoui. caché. ce qui demande qu’à être sorti. boti c’est cette femme enfant qui veut rétablir le contact avec ceux qui sont partis trop tôt. c’est cette femme qui continue à courir comme si elle était poursuivis par des balles mais qui ne desserrera jamais les mâchoires sauf pour sortir les crocs…

Dis peu, mais dis-le bien.

fille unique, maman éternelle dépressive, femme enfant enferrée dans ses tourments, papa l’exode fantasque à la peau basané, le sourire rassurant et tendre. souvent à la maison, à jouer seule dans sa chambre, princesse solitaire, sa mère, sans boulot, à écumer le canapé et la cuisine à la recherche de quelques bouteille et papa qui trime. l’alcoolisme. invité invisible, jamais désiré, pourtant omnipotent, s’accrochant aux veines, aux membres et à cette langue lourde, le palabre difficile et l’enfant qui contemple cette déchéance. malgré les frasques, malgré les cachets, malgré les pleurs et les suppliques d’aller mieux, d’aller de l’avant, de s’en sortir, loin d’être un enfant délesté, aimé par ses paires, d’une façon différente mais indéfectible. le temps de l’école, comme un obstacle pour la gamine qui a pourtant cette volonté farouche de s’en sortir. soutenue par sa mère, femme au foyer, essayant de l’aider, d’appliquer l’algèbre, de ces maigres souvenances d’enfants. éternelle insatisfaite qu’un rien fait pleurer, fait basculer la vie tranquille de la famille dans les lamentations, maman à cette putain et fâcheuse tendance de se laisser noyer par les affres de la vie. entre gémissements, bouteille de sky bon marché et lexo, maladie qui doucement phagocyte l’unité familiale, papa qui fou de plus en plus le camp et maman qui s’oublie, oublie le rôle de mère courage pour celle de soulard. le temps des premières fois, des émois et des rencontres. entre amis, à sortir, l’après-midi ou tard en soirée, maman cuvant douloureusement sur le canapé et papa à ramasser des heures supp’ pour alléger un peu plus les fins de mois, l'ado se sent pousser des ailes et devient de plus en plus cette gosse à parcourir les rues la nuit que les bancs de l'école le jour. déconnades, les études qui lui échappe, la rencontre de trop qui fait qu’on a envie de rien d’autre que de le voir. encore et encore et encore. jesse. comme une envie d’exil, de prendre la tangente, de s’émanciper loin des effluves d’alcools, des jérémiades et de cet amour médicamenteuse que lui dévoue sa mère, les regards tendres, parfois sévères de son père, y a cette volonté farouche de ne vivre que pour l’être aimé, de lui donner une dévotion disproportionnée. erreur amère, sans diplôme en poche, dans le conflit certain, la violence et les cris silencieux, les pleurs et les suppliques criants de vérités. s’appartenir à s’en faire mal. à oublier ce qu’est la tendresse des débuts. vivre dans le déni, se dire qu’on s’aime et que ça peu suffire et continuer d’avancer, de se relever et d'occulter les ombres maculants leurs vies pavées de mensonges. tom. les mensonges qui s’accumulent, ceux qu’ont murmures, qu'ont distilles, qu’ont balances. comme ça. et voir si ça germe. si la fêlure s’approfondie, se déchire et cela, jusqu’au point de non retour. au final, n’a jamais aimé qu’un seul homme. lui a donné des années de sa vies, son adolescence et les prémices de sa vie d’adulte. s’est longtemps rabaissée, diminuée, ne se sentant jamais assez bien pour lui, pour eux. comme maman. faible et débonnaire. a tout plaquée du jour au lendemain. à prit ses clics et ses clacs. a fermée la porte, a coupée les liens et brisée ses chaînes qui entravaient sa vie pour rejoindre le coton familiale. cette famille bancale mais toujours présente, malgré ses frasques, malgré ses pas incertains, ses défauts et ses remords. pour ne pas ressembler à sa génitrice, pour s’oublier, se lance dans le seul travail qui lui laisse sa chance de s’émanciper. de s’abattre dans les tâches plutôt que de s’appesantir sur ses sentiments bafoués et cette vérité vraie, comment un goût amère de gâchis…

EN BREF : est partie il y a peu de chez ses parents. vivant pour le moment en collocation, économise pour pouvoir avoir enfin son chez soi. fêtarde invétérée, s’oublie dans les soirées sans lendemain. n’a jamais connu qu’un seul homme dans sa vie, néophyte en la matière, ne sait (plus) comment draguer, véritable boulet en la matière. fille unique, ses colocataires, comme une véritable famille hétéroclite à ses yeux. bordélique dans l’âme, à des rêves d’artiste, des rêves fânés qu’elle gribouille de temps à autres, en cachette. à un cousin en nouvelle-zélande qu’elle considère comme son frère. aimerait reprendre ses études, reprendre sa vie et gommer ses erreurs de jeunesses pour tout reprendre du début…

Post-scriptum : laisse sa tasse de café sur le lavabo de la salle de bain / sur la table du salon / sur sa table de nuit / aux toilettes… bref, anywhere out of the lave-vaisselle. × mange ses céréales au lit et laisse le bol sur la table de nuit ou par terre, à côté du lit. × met trois réveils qui sonnent les uns après les autres (longtemps). × ferme jamais la porte de son placard, et est même capable de s’endormir devant cette infamie. × une gorgée d’eau = un verre posé n’importe où. × fait pipi la porte ouverte. × perd ses clés tous les jours. × une fois par mois, a une révélation : nan mais c’est l’bordel dans ce frigo c’est n’importe quoi ! × remet la boîte de céréales vide dans le placard. × laisse le carton d’emballage des yaourts dans le frigo même quand il ne contient plus de yaourts (sait-on jamais). × pour faire le lit, rabat mollement la couette, sans en tirer les coins d’un coup sec (what else ?). × mange tous les chocolats des Special K au chocolat, qui deviennent alors des Special K nature. × prend un tee-shirt en bas de la pile, tire dessus avec force, créant un tsunami de coton dans le placard. × quand elle est malade, se traîne, agonisant, en vieux peignoir et jogging, exigeant de se nourrir de pom’potes qu’on doit lui apporter sous la couette (elle souffre.)

Pseudo/Prénom lalla ou mandine. Âge vingt-vieille… ça suffira j'assume plus big or small, lies are lies. 3422237806. Pays bleu/blanc/rouge. Connexion régulière, j'essaie de passer tout les jours, c'est parfois difficile, mais plusieurs fois par semaine. Où as-tu connu le forum? bazzart. Personnage scénario de @jesse blackson. Dernière bafouille le forum est beau avec ces couleurs pastels, j'adore. le concept aussi, très original… et puis, vous être beaux  big or small, lies are lies. 180640823 .
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Re: big or small, lies are lies. - (Ven 12 Mai - 19:59)
lydia est tellement belle big or small, lies are lies. 4135354924 et puis ses yeux omg big or small, lies are lies. 2223749420
bienvenue et bon courage pour ta fiche big or small, lies are lies. 2150563227
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Re: big or small, lies are lies. - (Ven 12 Mai - 20:00)
bienvenue et bon courage pour ta fiche big or small, lies are lies. 4203373176
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Re: big or small, lies are lies. - (Sam 13 Mai - 13:08)
bienvenue et bon courage pour ta fiche big or small, lies are lies. 613702535
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Re: big or small, lies are lies. - (Sam 13 Mai - 22:50)
Bienvenue sur TGP avec ce superbe choix d'avatar big or small, lies are lies. 613702535 :cara: big or small, lies are lies. 1318934201
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Re: big or small, lies are lies. - (Sam 13 Mai - 22:53)
tant de beauté big or small, lies are lies. 180640823
bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche big or small, lies are lies. 1835002710
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Re: big or small, lies are lies. - (Sam 13 Mai - 23:03)
j'adore le pseudo big or small, lies are lies. 589507572 bienvenue :boubou:
bonne chance pour ta fiche big or small, lies are lies. 41734297
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Re: big or small, lies are lies. - (Sam 13 Mai - 23:13)
bienvenue big or small, lies are lies. 4125275393
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Re: big or small, lies are lies. - (Sam 13 Mai - 23:14)
bienvenuuue big or small, lies are lies. 2227089788
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Re: big or small, lies are lies. - (Sam 13 Mai - 23:19)
bienvenue parmi nous big or small, lies are lies. 180640823 big or small, lies are lies. 2150563227
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