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judge me when you are perfect. ada.

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judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 3:46)

ada lievesley
we tell ourselves stories in order to live

Nom Lievesley, c’est un nom de famille du père malade, aux soins intensifs. C’est une volonté déstabilisante, massacrée par des cellules souches cancéreuses. C’est le murmure dans le creux d’une oreille qui te fait promettre de ne jamais abandonner et de pousser toujours plus loin. Rompre les barrières, lever les bras sous le succès. C’est verser une larme à chaque victoire et chaque défaite, accourant sur ton téléphone portable pour te tenir aux nouvelles. Parce que les Lievesley, c’est la fragilité sous une immense armure.  Prénom(s) Tes parents le murmure encore sur leurs lèvres tremblantes dans sa totalité. Un prénom de princesse, selon ta mère, qui ne collait pas à l’approche du petit garçon manqué que tu arborais dans ta jeunesse. Légalement prénommée Adeline, tu t’es longtemps battu pour qu’on se contente de te nommer avec un surnom que tu portes cher à ton cœur : Ada. Ta vraie identité, ton vrai savoir, ta vraie motivation pour les compétitions. Et il sonne si bien dans le souffle ardent de ces jeunes hommes.   Âge Vingt bougies soufflées auprès de ta famille ou autour d’une petite table lors d’une compétition à l’étranger.  Vingt gâteaux engloutis sans craindre les répercussions sur ton poids ou sur tes performances. Vingt années de passions et de doutes à vouloir tout donner mais sans vouloir avancer. Vingt hivers écoulés d’un ciel gris et d’un temps morose, deux mille dix-huit à peine entamé et déjà regretté.  Naissance Les flocons et les vents glaciaux, ça te connait. Les deux jambes dans les aires après avoir chuté sur un cercle de glace, aussi. Ton accent se dissimule bien dans cette perte de racine, mais tu as vu le jour dans les quartiers hivernaux de Calgary. Ce petit bout de pays canadien qui pourrait être bien beau sur des cartes postales, mais qui se ternit au fil des années. C’est le sept décembre quatre-vingt-dix-huit que tu as poussé ton premier cri. Et c’est quelques mois plus tard sur le plancher de bois-franc du salon que tu tapais le sol de tes petits pieds au rythme de la musique. Nationalité Tu as la petite feuille d’érable de tatoué sur le cœur. Première nationalité présente sur un passeport valide qui peut te permettre de déployer tes grandes ailes colorées. Mineur et sous la responsabilité d’un adulte, tu n’as jamais eu besoin d’un visa pour résider dans un nouveau pays. Mais depuis le temps, tu as tout de même acquis les papiers nécessaires pour te considérer néo-zélandaise. Le Canada est maintenant loin derrière toi. Tes racines si frêles se sont faufilées dans ce sol étranger où mille et une merveilles résident.  Origines Malgré un nom familial qui semble te lier davantage aux pays américains, tu es bel et bien Canadienne des deux côtés de la médaille.  Peut-être qu’au niveau des ancêtres, le taux d’appartenance peut varier. Même que tu pourras t’étonner de retrouver des souches d’Asie dans ton sang. Tout est possible aujourd’hui avec les nouvelles technologies.  Statut civil Tu as peut-être trop rêvé au prince-charmant, le nez collé contre la page d’un bouquin fraichement entamé. Tu t’es peut-être aussi dit que l’amour, c’était un principe stupide, parce que tu ne parvenais pas à le vivre. Les garçons, ils ne te regardaient pas deux fois et toi, tu ne voulais pas t’époumoner à courir après le garçon idéal. C’est simplement tomber sous ton nez. Littéralement. Une chute, mais rien de grave. Et ça devenait ton partenaire. Maksim. Partenaire de danse, partenaire de vie. Des promesses menues, enthousiasme d’une nouvelle relation. C’était écrit dans le ciel, cette paire. Mais… T’arrives plus à soutenir ce regard empli de tendresse. Tu fais semblant de tousser, tu détournes le regard, tu fuis tes responsabilités. Si seulement…Ah si seulement il l’apprenait… S’il entendait ce cœur battre à un rythme différent, mais semblable à un autre qu’il reconnaîtrait si bien.  Orientation sexuelle Le regard droit devant, tu ne t’es jamais attardé à ce concept de relation. De couple. D’amour. Le cœur pourtant qui palpite dans ta poitrine lorsqu’un regard moelleux se pose sur ton âme. Mais tu n’approches pas, tu te refermes et tu continues de danser. Effleurer les lèvres d’une fille sous un jeu ridicule de bouteille, pas de problème. Mais jamais un arrêt du cœur devant les courbes d’une silhouette particulière. Occupation La vibration de la musique parcourt tes veines, ton corps se tend et tu deviens grâce.  Ta respiration se détend, mais ton cœur s’accélère. Tu ouvres finalement les yeux devant ce faible public et tu courbes l’échine. Danse semi-professionnelle, assez confiante pour faire partie des pros, pas assez pour faire le pas nécessaire. Tu t’assoies à l’école et tu dessines une ligne droite sur ce plan fastidieux. Ta minutie t’amène loin dans ce programme de design intérieur. Parce que si un jour tu tombes, au moins tu pourras te rattraper sur quelque chose d’autre. Argent L’argent, elle vient en partie d’une famille qui te considère toujours comme une étoile montante. Un peu par la victoire de concours légers. Puis, tu déposes la pointe d’une pizza toute-garnie sur une table en souhaitant au client de se régaler. Tu te retournes et tu replaces ton tablier en rêvant au jour où tu pourras le jeter au sol et vivre de tes rêves définitivement. Mais t’as l’impression de devoir rompre les ponts pour vraiment le faire. Caractère Une artiste jusqu’au bout de tes doigts, dans ta créativité, ta minutie et ta dévotion. Une passion à tout épreuve dans la sueur et les foulures. Tu cries, tu te dévoues, tu fonces. Les nuits blanches s’accumulent dans ton corps, mais tu t’appliques tout de même. Parce que tu es appliquée, perfectionniste et compétitrice. Ton assiduité te plante un clou dans le pied, t’apportant l’impatience à la conscience et optant pour une mine boudeuse et une saute d’humeur si on te fait attendre inutilement. Mais tu restes une jeune femme ambitieuse, généreuse et attentionnée. Ton obstination et ton désir de contrôler irrite une once, mais ta grâce et ton affection compense le mal que tu peux parfois faire. Les cœurs en peine peuvent pleurer contre tes épaules, connaître la vérité sous tes traits allumés et expressifs. Tu t’es toujours considérée loyale, fidèle, mais c’est ton honneur qui se brise en mille miettes, sans comprendre comment tu as pu faire ceci ou cela. Tu es un être humain avec ses failles, qui veut se surpasser et voler de ses ailes déployées, mais qui s’arrache les plumes une journée à la fois. Ton empathie t’étouffe et tu soudes tes lèvres dans un secret douloureux.  Groupe positive minds. The Fortune Teller Ada est lâchée dans la gueule du loupppp ~ Avatar Lisa Teige (©️️️️️muggle.)

we gonna dance till the night dies
Partie anecdotes : [X] L’image est noire, inexistante, mais on entend les cris éclater de tout bord et de tout côté. C’est une voix douce qui précise que la lentille n’est pas dégagée. Puis, un rire rauque et masculin avant qu’on n’aperçoive un éclat de lumière et une scène drôlement cadrée. Le silence est quémandé avant qu’une musique de noël retentisse dans la pièce. Des petits enfants se présentent sur scène vêtus d’habit de lutins et tu apparais à l’arrière. Tu replaces constamment ton petit tablier et le chapeau trop grand contre ta minuscule tête brune. Et c’est dans un manque de coordination que vous vous mettez tous à remuer d’un côté de la scène, puis de l’autre. Tu tournes sur toi-même, tu fais quelques pas de travers, tu accroches un autre enfant. Mais tu souris. Tu es bien. Tu rayonnes. [X] Tes doigts se glissent contre cette main qui a vieillit trop rapidement. De cet homme qui t’as inculqué son savoir et sa passion du monde artistique et musical. Tu effleures les tuyaux qui ne font qu’un avec ses veines. Tu regardes son visage endormi et tu te perds sur cet écran aux chiffres futiles et mystérieux. Tu ne comprendras jamais pourtant cette vague immense de malheur s’était affairée sur votre famille. Comme quoi tout bonheur doit se freiner contre un mur une fois dans sa vie. Tu poses ta tête contre le matelas et tu sers tes doigts aux siens en fermant les yeux. [X] La bouche grande-ouverte, le regard figé sur une tuile jaunâtre du plafond, tu laisses le métal claqué contre tes dents blanches avant que le petit miroir se glisse entre ta lèvre inférieure et ta gencive. Un petit froncement de sourcils de la part de ta dentiste qui descend le masque qui couvrait sa bouche. Elle retire tout instrument de la tienne pour te permettre de réagir à son commentaire. Il était impératif que tu cesses de te mordiller l’intérieur de la lèvre. Semblable à la mutilation si tu en venais jusqu’au sang. Tu risquais de te paralyser une partie de la bouche si tu mordais trop fort. Elle te conseillait de mâcher un chewing-gum sans sucre pour combattre le stress. Tu passes l’extrémité de ta langue contre la parois de tes lèvres, finalement consciente du mal que tu t’infligeais à cause de l’angoisse des compétitions. [X] Lui qui se tient difficilement contre le bras de sa femme, ta mère. Elle qui t’envoie la main, le visage submergé de larmes. Déjà nostalgique d’une enfant qui a grandit trop vite. Mais ça leur prenait au cœur de te voir te morfondre en regardant la télévision. Tu voulais être avec les autres. Avec ces belles promesses et ces meilleurs tuteurs. Ton oncle s’était bien occupé de toi à ce niveau, en plus d’avoir été inscrite à des cours spécialisés. Mais il avait tout à envier aux entraîneurs de Wellington. Tu voulais être sous la tutelle des meilleurs et plus rien n’était à ton goût au Canada. Si jeune, mais tant de volonté. Pour avancer, tu étais obligée de t’éloigner. Car tes parents, beaucoup trop affligés par la vie, ne parvenaient pas à te suivre. [X] Première grosse compétition dans les entrailles de Wellington. C’était ta première tentative à faire des compétitions en duo et étrangement, ça se passait extrêmement bien. Peut-être parce que ton coéquipier était talentueux et qu’avec son frère, vous deveniez une sorte de trois mousquetaires. T’étais certaine de leur taper sur les nerfs, surtout lorsque tu leur annonçais la veille que vous alliez vous rencontrer au studio à 4h30 du matin. Parce que tu avais une nouvelle chorégraphie à pratiquer que vous ne pouviez pas vous asseoir sur vos lauriers. Bien évidemment, tu attendais les frères Rygg avec ton fameux « shake énergétique » préparé par ton oncle, alors qu’ils arrivèrent en traînant encore leur lit avec eux. Définitivement, t’allais les achever. [X] Tu raccroches le téléphone en essuyant une larme qui fuyait contre ta joue rosie. Tu regardes lentement ton reflet dans la glace avant de t’armer d’un nouveau sourire et de quitter la pièce pour prendre place à la table auprès de la famille Rygg. Même ton oncle avait été invité dans ce temps des fêtes. Vous étiez loin de votre famille, de votre univers et avoir cette nouvelle source de vie dans un pays étranger, ça réconfortait constamment ton mal du pays. Tu t’assoyais toujours entre Sebastian et Maksim. Déjà parce que ça évitait qu’ils se lancent de la nourriture et parce que tu n’arrivais jamais à choisir une place mieux que celle-là. Ton oncle aidait en cuisine alors que tu jetas un léger regard d’admiration face à la femme qui s’affairait aussi dans cette pièce. Ton petit cœur qui butine pour devenir aussi talentueuse qu’elle. On te pince les côtes et tu reviens sur terre en donnant un coup sur l’épaule de Seb. [X] T’as le cœur serré, t’as l’impression de vouloir être malade. Tu vois bien qu’il ne prend plus soin de lui et l’odeur de fond de bouteilles qui se dégageait de ses vêtements te lacérait l’âme. Tu tends la main pour attraper la bouteille qu’il maintenait contre lui et tu cherches des yeux le bouchon. Tant pis. Tu la vides sur le côté en faisant gaffe de ne pas le sortir de son état d’inconscience. Pas maintenant. Tu glisses tes cheveux derrière tes oreilles et tu redresses tes manches afin de te préparer. Tu lui prends une main, puis la seconde et tu le vois ouvrir les yeux. Tu lui souris, sans rien dire. Parce qu’il n’y avait définitivement rien d’assez bien à murmurer dans des temps aussi durs. Tu le tires pour qu’il se lève. Qu’il ne laisse pas la vie l’accabler. Et tu lui sers difficilement de béquille alors qu’il s’accroche à toi. Et tu poses tes mains dans son dos en lui offrant une certaine friction de la paume de la main. Tu lui murmurais que tout ira bien. [X] Tu déposes la boite de pizza sur la table et tu prends place sur la banquette, du côté de Maksim. C’était devenue une habitude de tout faire à ses côtés et pas simplement que de la danse. Il y avait une nouvelle énergie naissante entre vous deux, quoi qu’écrasé par la tension du groupe. Tu ouvres le couvercle de carton et tu tires sur une pointe de la nourriture alors que les deux frères firent la même chose. Mais à peine une bouchée de prise que les flèches furent lancées. La tension se brisait. Les mots fusèrent avec violence. Et toi, tu restais silencieuse. Les deux avaient raisons dans leurs tords. Et au lieu de se crier après, ils devraient s’entraider. Tu roules des yeux en soupirant et tu claques une main contre la table lorsque le ton augmentait. Tu refusais qu’ils se sautent à la gorge de cette manière. Parce que ça te faisait mal et que tu n’avais aucun contrôle sur toute cette misère. [X] On dit que les danseurs savent s’y faire. Ton cœur ne bat plus sur aucun rythme et tu ne sais pas quoi faire de tes deux mains. Tu les plaques sur ton visage qui changeait progressivement de couleur. Tu remues légèrement sous le contact timide de ses doigts contre ton corps et tu écartes les doigts pour voir son visage. Tu décides de tendre une main vers son menton pour exercer une minime pression afin de lui exiger de revenir près de ton visage. Tu presses tes lèvres aux siennes en fermant les yeux et tu tentes un mouvement afin de te poster au-dessus de son corps encore vêtu de son linge d’entraînement. Mais, à peine parviens-tu à le tourner afin de te positionner comme tu le désirais, tu ne calcules pas l’espace restant du lit et ton genou disparu dans le vide en te faisant chuter sur le côté sans que Maksim ne parvienne à te rattraper. La pression tombe d’un coup comme un seau d’eau froide versé contre ta tête et tu éclates de rire alors qu’il te regarde avec inquiétude et qu’il joint son rire au tien. Il te tend une main afin de t’aider à te relever, mais t’attires d’un mouvement vif contre lui afin d’anticiper un baiser empli de sentiment enflammé. Et que vous finissez par vous avouez cette flamme cachée dans la noirceur de cette nuit spéciale. [X] Tu bouges tes orteils contre la chaise, les jambes complètement ramenées vers toi afin de déposer ton menton contre tes genoux. C’était difficile de tenir cette conversation. Alors que vous vous démenez depuis tant d’années, tous les deux, afin d’être les meilleurs. Et voilà qu’un banal accident vous balance un bâton dans les roues. Tu soupires et tu serres ton élastique dans tes cheveux pour te donner un peu de courage, mais t’avais les épaules complètement au sol. T’avais beau lui dire que ce n’était pas sa faute, ça t’emmerdait un peu de devoir abandonner les prochaines compétitions jusqu’à ce qu’il aille mieux. Tu te penches vers l’avant pour attraper un pan de la couverture et tu te tires jusqu’au lit en faisant rouler la chaise et tu ouvres le crayon que tu avais volé sur le bureau de sa chambre. Tu gribouilles des bêtises sur son plâtre avant de te lever, de l’embrasser sur le bout des lèvres et de quitter sa chambre. Mais c’est sur Seb que tu tombes et il te regarde les bras croisés. Il a quelque chose à te dire et tu l’écoutes. Plus une proposition qu’une discussion. Tu tournes la tête vers la porte entre-ouverte et tu hésites. Une conversation devra être tenue entre les trois mousquetaires pour prendre une telle décision. Laisser un Rygg guérir pendant que tu danses avec le second. Une bonne idée ? [X] T’avais encore la médaille qui pendait à ton cou alors que tu avalais la dernière goûte d’un verre à la substance forte et étrange. C’était la dernière compétition de la saison et vous l’aviez gagné. Avec férocité, avec une énergie hors du commun. La troupe de danse semi-professionnelle avait organisé une fête et tu t’étais lancé sur l’idée de te détendre pour une fois. Entre les cours et les compétitions, tu gérais très mal ta propre vie. Tu déhanches ton corps à des tonalités qui ne t’avantageais pas. Tu trinquais à des subtilités qui ne faisaient aucun sens. Tu attirais Seb dans tes bêtises et dans l’incapacité à ton corps de bien tolérer l’alcool. Il t’arrivait plus souvent qu’autrement de devoir t’appuyer sur des meubles ou contre le mur pour te tenir debout. Tu n’avais plus conscience de l’état de ton corps et de ton esprit. Alors que dans un mouvement qui dépassa l’entendement, tu attiras ton coéquipier et meilleur ami contre toi en plaquant des lèvres brûlantes et sucrées contre les siennes. Et le temps s’arrête, subitement. Passion prolongée, sans comprendre le drame que ce geste promet. La musique revient à tes oreilles alors que tu rigoles timidement contre ses lèvres et que tu plonges ton regard dans le sien, sans comprendre pourquoi ton cœur voulait te sortir de la poitrine. [X] Tu tousses et tu raccroches le téléphone en le creusant contre ton coeur. Il ne cessait de te téléphoner en te demandant si tout allait bien, s’il pouvait venir te voir et si tu revenais pour les entraînements. Et tu fuyais, parce que pour une fois, tu perdais le contrôle de ta vie et ça t’effrayait un tantinet. Tu faisais semblant d’être malade, d’être contagieuse. D’avoir une grippe musculaire et de ne pas pouvoir bouger. Tu évitais toute conversation vidéo et tu refusais parfois tout simplement de décrocher. Tu te jettes sous tes draps et tu sers l’oreiller contre toi en regardant l’écran de ton téléphone s’illuminer sous un énième texto. Faudrait se parler, dit-il. Et tu fermes les yeux en quémandant à ton corps de se calmer et laisser ton esprit reprendre le dessus. T’espérais que ta trahison n’était qu’un mauvais rêve. Mais même lorsque tu te pinçais le bras, tu faisais face à une réalité brutale. Tu fixes le plafond, les yeux embués alors qu’on cogne à la porte de ta chambre. Ton oncle t’apportait ton chocolat chaud à la menthe comme tu l’adorais.

Pseudo/Prénom ève, mais on m'surnomme slug. Va savoir pourquoi.  Âge j'mens si je veux, namého ! j'approche le quart de siècle et j'accomplis rien dans ma vie. Pays l'bel accent québécois. soyez pas jaloux. Connexion le plus souvent qui m'est permis de toucher à un portable ou un pc. Où as-tu connu le forum? bazzart ! Personnage scénario du bg @sebastian rygg Dernière bafouille alors, j'étais déjà inscrite et j'ai eu des complications monstres dans ma vie qui m'a éloigné des réseaux sociaux. j'suis prête à tout reprendre en main et j'recommence avec cette perfection de scénario. j'vous promet d'avertir s'il m'arrive quelque chose !
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 6:47)
judge me when you are perfect. ada. 4207362787 judge me when you are perfect. ada. 4207362787 judge me when you are perfect. ada. 4207362787 :bianca: :bianca: :bianca:
je l'aime déjà judge me when you are perfect. ada. 2101133513 judge me when you are perfect. ada. 2224896922 judge me when you are perfect. ada. 4135354924 (et je retombe amoureuse de lisa avec le gif tout choupi judge me when you are perfect. ada. 180640823)
merci merci merci de tenter ma ada judge me when you are perfect. ada. 3740144490 judge me when you are perfect. ada. 3740144490
bon retour du coup judge me when you are perfect. ada. 3471241513 encore une fois n'hésite pas à me harceler de mps judge me when you are perfect. ada. 41734297
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 8:54)
Elle est trop choupi cette demoiselle. judge me when you are perfect. ada. 180640823 Très bon choix de scénario. judge me when you are perfect. ada. 613702535
Bon retour parmi nous et bon courage pour la suite de ta fiche. :bianca:
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 9:00)
Bienvenuuuuuuue parmi nous judge me when you are perfect. ada. 1f618

Bonne chance pour ta fiche judge me when you are perfect. ada. 2227089788
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 9:12)
Bienvenue à la maison ! Bon courage pour finir ta fiche judge me when you are perfect. ada. 2201629221
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 9:26)
OUIIIIIIII judge me when you are perfect. ada. 4125275393 judge me when you are perfect. ada. 4125275393 judge me when you are perfect. ada. 4125275393 judge me when you are perfect. ada. 4125275393 judge me when you are perfect. ada. 4125275393
rooh cet excellent choix que tu fais là judge me when you are perfect. ada. 843243092 le scénario, le pseudo, bb lisa + le ship OHMYGOOOOD judge me when you are perfect. ada. 2223749420 judge me when you are perfect. ada. 2223749420 judge me when you are perfect. ada. 2223749420 judge me when you are perfect. ada. 2223749420 t'es parfaite un peu judge me when you are perfect. ada. 41734297
bienvenue parmi nous judge me when you are perfect. ada. 4207362787 bon courage pour ta fiche :cara:
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 11:30)
Bienvenue et bon courage pour ta fiche judge me when you are perfect. ada. 107302656
Hâte de lire du Ada/Sebastian judge me when you are perfect. ada. 1957564982
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 13:59)
bienvenue ici judge me when you are perfect. ada. 107302656
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 14:10)
Bienvenue parmi nous et bon courage pour la suite de ta fiche. judge me when you are perfect. ada. 2675816969 judge me when you are perfect. ada. 1027507281 judge me when you are perfect. ada. 3011978105

Super choix. judge me when you are perfect. ada. 137138102
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Re: judge me when you are perfect. ada. - (Jeu 13 Déc - 15:55)
awww, elle est trop choupette judge me when you are perfect. ada. 1846787581
bienvenue par ici judge me when you are perfect. ada. 1318934201
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Re: judge me when you are perfect. ada. - ()
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