Invité
| (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 20:24) |
belén bishop riviera neverland is home for lost boy like me
Nom bishop, comme le padre invisible. Riviera comme la madre étouffante Prénom(s) belén mais si t’es mignon, t’auras le droit de m’appeler Bébé Âge vingt-cinq ans. Naissance tu as vu le jour à Bogota, quelques secondes après ton frère joufflu et braillard, mais tellement attachant, un soir de six septembre mille neuf cent quatre vingt treize Nationalité colombienne par maman et néo-zélandaise par papa. Origines diverses, aléas de tous les sang-mêlés de la terre. Statut civil célibataire, ne leur en déplaise. Orientation sexuelle hétérosexuelle, mais embrasser des filles ne te déplaît pas. Occupation officiellement, étudiant en management. Officieusement à la tête d'un réseau d'étudiantes destinées à satisfaire des sugar daddys pour payer leurs études. Argent moyen. Caractère sournoise, versatile, manipulatrice, calculatrice, brillante, ordonnée, ambitieuse, attentionnée, perfectionniste, déterminée, ouverte d’esprit, passionnée, possessive, indépendante, intrépide, Groupe control freaks The Fortune Teller come at me if you dare. Avatar selena gomez. (️️️️tumblr)
Citation blablbalbalbalbalbal raisins abricots secs miam |
Partie anecdotes : one Bogota. C’est la ville qui a abrité tes premiers cris, tes premiers pleurs. Comme si déjà, ton frère et toi, vous aviez conscience de la merde noire dans laquelle vous aviez mis les pieds. Mais, soudés dès vos premiers instants d’existence, il n’était pas question que tu le laisses tomber, jamais two la vie n’était pas optimale mais c’était la vie que vous aviez. La madre. Rien qu’elle et sa honte, son déshonneur dont vous étiez l’incarnation double et parfaite. Quel genre de fille à la cuisse légère fallait-il être pour se faire engrosser puis lourder. Par un étranger en plus. Aux yeux de tous, elle méritait ce qu’il lui arrivait. Mais vous, vous n’aviez rien demandé three tu es de celle qui sont nées avec une petite bouille à laquelle on donnerait le bon dieu sans confession. Sauf que le bon dieu, il t’a jamais intéressé le moins du monde. On a toujours sous-estimé parce que tu étais une fille, et mignonne de surcroît, mais toi tu as toujours su que tu pouvais déplacer des montagnes par ta seule volonté. Et tu as compris que le manque de lucidité des gens pouvait s’avérer bien utile pour obtenir ce que tu voulais. Alors tu souriais, tu minaudais, tu leur montrais ce qu’ils voulaient voir, tu leur disais ce qu’ils voulaient entendre et tu les truandais par derrière. Pas forcément méchamment, mais tu avais toujours quelque chose à gagner à te comporter ainsi donc tu ne t’en privais pas four la vie, tu ne t’en es jamais plainte. Ce n’était pas toujours au beau fixe, vous ne rouliez pas sur l’or, loin de là. Mais c’était ta vie et tu avais pris le parti d’en tirer le meilleur possible. Et puis tu avais Luis, ton jumeau, ton double, ta moitié. Pour lui tu aurais n’importe quoi. Ta mère voulait toujours qu’il veille sur toi mais c’était toi qui veillait sur loin. C’était toi la prévoyante, toi la calculatrice. Il fallait bien, puisque tu ne voulais pas qu’il lui arrive quoique ce soit. Et il pouvait être tellement tête en l’air, ton Luis. Parfois, tu n’hésites pas à aller jusqu’à sortir les griffes pour le défendre. T’es pas bien grande, mais t’as pas peur five ta mère et toi, c’est le ying et le yang. Mais pas tant que ça dans le fond. Vous vous opposez sur tout ce qui est fondamental pour toi. Elle se complet dans des relations et des visions machistes alors que tu es une féminine qui s’affirme. Elle demande sans cesse à ton frère de te protéger alors que tu es foncièrement indépendante. La madre latina dans toute sa splendeur quand toi tu es une fille d’aujourd’hui, une fille du monde. Tu ne veux pas t’enfermer dans ses carcans qui te filent la gerbe. Tu l’aimes. Tu l’aimais. Mais vous vous engueuliez tellement que t’as jamais pensé à lui dire. Avant qu’il soit trop tard six la première fois que tu as posé les yeux sur ton père, t’avais aucune attente. Vous étiez là parce qu’il avait pas le choix mais, même s’il essayait de cacher, tu voyais dans ses yeux que vous dérangiez, Luis et toi. Mais tant pis pour sa gueule, vous aviez plus personne alors il faudrait bien qu’il se bouge le cul. Il te laisse complètement indifférent, ton père. C’est juste un type comme ça. Il a essayé, mais un peu tard. T’avais déjà plus besoin d’un père à ce moment-là. T’as jamais eu besoin de personne de toute façon, à par Luis. Il avait sa famille parfaite et puis vous étiez là seven tu te plaisais bien ici, en Nouvelle-Zélande. A des années-lumière de Bogota et sa chaleur étouffante. Ici, c’était l’occasion pour toi de faire de grandes choses… Enfin libre mais pas encore assez à ton goût. Ici, tu pouvais être quelqu’un, embrasser ton destin. Tu ne savais pas trop ce qu’il allait être mais tu serais prête dès que tu le rencontrerais. Tu ne comptais pas laisser passer ta chance eight en général, tu fais pas de vagues ou tu tâches de pas te faire prendre. Mais là, ça avait été plus fort que toi. Tu avais remis ce mec à sa place, il avait pas supporté, interventions extérieures dont Luis, gigantesque bagarre et tout le monde au poste. Vous aviez écopé de TIG, hermano et toi. C’est là que vous les aviez rencontrées, Winnie et Grace. Et paf, ça a fait des chocapics. La mayonnaise a pris. Et là t’es à court de métaphores culinaires. Tout ça pour dire que vous étiez inséparables depuis, jusqu’à vous foutre en coloc tous les quatre quand Luis et toi avez fini le lycée. nine tu t’amusais d’un rien quand tu l’avais rencontré, mais surtout des hommes. Il était là à te regarder en silence, mais il bougeait pas, il venait pas. Alors c’est toi qui avait été à lui. Avec ses airs proprets de genre idéal, sa culture à fleur de peau, son intérêt à peine voilée pour ta vie. Mais toi tu voulais juste te le faire, t’oublier dans ses bras quelques heures et reprendre ta route comme si de rien n’était. Et puis t’étais revenue le même soir, la semaine suivante, au même endroit. Et il était là, à la même table, comme s’il t’attendait. Pourquoi ça te plaisait ? Ce type c’était ta petite bulle hors du temps. Sans calcul, sans pression, sans rien. Juste vos deux corps qui se comprennent comme personne. Puis la bulle avait explosé quand t’avais compris, au détour d’un repas de famille, que c’était le fiancé de Tessa jolie, la seule âme supportable de la famille Bishop. La seule que tu appelais ta sœur, du bout des lèvres. Tu lui en avais voulu, à ce salaud, de lui faire ça, de te faire ça. De te faire quoi au juste ? Tu voulais pas savoir, tu voulais plus le voir. Ca te donnait envie de crever mais c’était comme ça. ten tu t’es lancée dans des études de management, bien décidée à mener ta barque, et à dépendre de personne. C’est là-bas que t’es venue l’idée de ton « business ». A entendre les filles se plaindre sans arrêt de pas pouvoir boucler les fins de mois et à côtoyer des hommes en mal de jeunes femmes cultivés et charmantes… le plan était tout fait dans ta tête. Tu as lancé ton réseau d’étudiantes à disposition de « sugar daddys » désireux de se retrouver en charmante compagnie, avec une jolie comm’ pour toi au passage. En ce qui te concerne, qu’il y ait sexe ou pas tu t’en branles. C’est leur problème, c’est des adultes. onze y'a bien un truc qui te fait vraiment ici c'est leur racisme nauséabond. Au début, ils se demandent pas trop d'où tu viens. Peut-être que t'as du sang maori et que t'as juste été vachement dilué. Mais suffit que ton frère ou toi vous parliez espagnol pour que les regards et les murmures se fassent hostiles voire haineux. Des fois, tu leur fous le nez dedans, comme un pied de nez mais des fois c'est franchement trop dangereux mais ça te met tellement hors de toi...
Pseudo/Prénom may Âge vingt-six petits pains Pays France Connexion cinq sur sept Où as-tu connu le forum? j’y ai déjà été jadis. Personnage inventé Dernière bafouille vous êtes pas prêts :3
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Invité
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 20:32) |
Le pseudo + Selena Re-bienvenue parmi nous du coup |
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Invité
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 20:32) |
bb gomez :cara: la fameuse bande qui débarque rebienvenue parmi nous |
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Invité
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 20:47) |
La más bella de las mujeres, Bebe |
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Invité
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 20:51) |
Merci à vous deux ! @Luis Bishop-Riviera lo sé jaja pero eres muy bonito también, Hermano |
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Invité
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 20:54) |
Bienvenue ici! |
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Avery Thompson carpe diem › admin jazzy comme un grizzli
Who you are› posts : 5125 › faceclaim : boyd holbrook ©zuz' › multinick : liam , noor › âge : trente-trois ans
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 21:08) |
oh la bande débarque (re)bienvenue parmi nous |
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Invité
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 21:14) |
bienvenuue j'adore le pseudo |
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Invité
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 21:17) |
bb selena , puis ce titre et le pseudo bienvenue dans le coin :cara: |
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Invité
| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - (Lun 10 Sep - 21:18) |
comme dit au jumeau, j'adore le pseudo bélen c'est hyper beau puis bébé c'est la base selena est divine aussi hâte de voir ce nouveau duo de jumeaux en rp bienvenue officiellement parmi nous :cara: bon courage pour ta fiche |
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| Re: (bebe) on ne laisse pas bébé dans un coin - () |
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