AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

(eliazar), let's call it hope.

Aller à la page : 1, 2, 3, 4  Suivant
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
(eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 21:55)

eliazar gonzalez
i need somebody to pick me up.

Nom gonzalez, un nom qui vient d'amérique du sud, tout comme lui. Prénom(s) Eliazar, ça aussi, ça vient de chez lui, souvent, on l'appelle juste el, son deuxième prénom c'est Jesus, à prononcer à l'espagnole, évidemment. Âge cinquante ans, un demi-siècle de passé et une belle crise de la cinquantaine à affronter. Naissance le 17 avril 1968, dans la ville de Tegucigalpa, en Honduras, un pays qu'il a fuit avec sa famille, il y a bien longtemps maintenant . Nationalité de naissance il est Hondurien, mais il a obtenu la nationalité Néo-Zélandaise, quand il était gamin. Origines c'est de l'Honduras qu'il puise ses racines, par ses deux parents, il n'a pas de sang néo-zélandais, même si c'est ici qu'il vit depuis des années. Statut civil marié, même si c'est compliqué et qu'il voudrait pouvoir échapper à ce mariage qui meurt à petit feu, au fur et à mesure que les souvenirs de son épouse s'effacent. Orientation sexuelle hétérosexuel, il n'a toujours été attiré que par les courbes des femmes et ce n'est pas près de changer. Occupation il est chirurgien, spécialisé en traumatologie, chef de service, il a été formé sur le terrain, il a été médecin militaire pendant plusieurs années.  Argent aisé, il n'est pas à plaindre, il a un métier qui paie plutôt bien ; une réussite pour sa famille, au moins, ils n'ont pas quitté l'Honduras pour rien. Caractère dynamique ; ambitieux ; extraverti ; altruiste ; sportif ; téméraire ; impulsif. Groupe carpe diem. The Fortune Teller son boulot, ses enfants, sinon faites vous plaisir  (eliazar), let's call it hope. 3810423794 . Avatar henry ian cusick. (©️️️️️tumblr)

Maybe we're close to finding out who we are.
(un), né au Honduras, il parle couramment l'espagnol, il parle aussi l'anglais, évidemment, il a bien été obligé de l'apprendre quand il a changé de pays, il parle également l'arabe, qu'il a appris quand il était sur le front, il y a des années. (deux), il est marié depuis vingt ans, son épouse a été sa petits amie du lycée, celle avec qui il a tout partagé depuis plus de trente ans, bien que leur histoire soit rythmée de séparations temporaires ; ils ont toujours fini par se retrouver. (trois), aujourd'hui, sa femme est atteinte d'un Alzheimer précoce, ça fait plusieurs années qu'elle perd la mémoire et la raison, peu à peu, même s'il essaie de la soutenir, c'est éprouvant pour lui et souvent, il ressent le besoin de fuir, tout autant que celui de reconstruire sa vie, conscient que cette partie de son existence est déjà finie. (quatre), officiellement, il a trois enfants, deux filles et un fils, qu'il a eus avec son épouse ; mais il a aussi une fille illégitime dont il ignore l'existence, une erreur de jeunesse, il n'était plus avec sa conjointe à l'époque et puis il est parti au front après cette histoire et c'est quand même sa femme qui l'attendait quand il est revenu, alors il n'a pas chercher à revoir cette autre femme. Il a également une petite fille de quatre ans, c'est un peu un coup de vieux pour lui de se faire appeler papy, mais bon, ça le rend aussi très heureux. (cinq), formé à la médecine militaire, il est un excellent chirurgien traumatologue, il sait agit vite et dans l'urgence, avec peu de moyens, afin de sauver des vies ; depuis qu'il a renoncé à l'armée, il travaille dans un hôpital de Wellington, dirige le service de traumatologie depuis quelques années et ça lui convient comme ça. (six), en quittant l'Honduras, la famille Gonzalez s'est d'abord enfuie vers les états-unis. Ils ont passé trois ans au Nouveau-Mexique avant d'avoir des problèmes avec l'immigration, ils ont réussi à fuir en Nouvelle-Zélande avant d'être renvoyé chez eux et là-bas, avec de l'aide, ils ont réussi à obtenir leur droit de résidence. (sept), il est sportif, du genre à savoir que c'est important faire du sport pour ne pas mourir trop jeune ; alors il fait régulièrement un peu de jogging, plus jeune il jouait au basket et maintenant, il a tendance à préférer les trajets en vélo plutôt qu'en voiture. (huit), il adore les animaux et vit avec deux chiens et cinq chats, heureusement, il a une grande maison pour que tout le monde ait de la place ; avec sa femme ils étaient famille d'accueil pour chats et par moment, ils ont craqué et ont décidé de garder certains matous, d'où les cinq chats. (neuf), sa femme était une excellente cuisinière, lui un peu moins, mais il a appris à ses côtés et maintenant, il est bien obligé de se débrouiller, parfois, ça ressemble à un véritable challenge, mais bon, c'est en se lançant qu'on apprend.(dix), il regarde très peu la télévision, ça lui arrive de temps en temps évidemment, mais il préfère encore passer sa soirée à dévorer un bon bouquin plutôt que de la passer devant la télévision, il n'est de toute façon pas le type le plus à l'aise du monde avec la technologie ; il arrive à se servir de son téléphone et d'un ordinateur, c'est déjà très bien pour lui. (onze), il a du mal à se mettre à jour en musique, si bien que ses playlists pourraient faire l'objet d'une bande original pour les gardien de la galaxie. Il assume ses goûts musicaux, après tout, ce n'est pas de sa faute à lui si les artistes d'aujourd'hui sont nuls comparés à ceux d'avant.

Pseudo/Prénom sweet poison, anaïs, on m'appelle pas mal laz aussi, dans le coin  (eliazar), let's call it hope. 167779069  Âge l'âge d'eliazar, divisé par deux  :elias: . Pays toujours le centre de la france, parce qu'avec @vivian sawyer on a dit que c'était la meilleure région de France  (eliazar), let's call it hope. 4079941090  Connexion trop souvent je crois (eliazar), let's call it hope. 3782170742  Où as-tu connu le forum? dans ton cul, hahaha  (eliazar), let's call it hope. 4240345067  Personnage inventé, mon cerveau carbure un peu trop  :elias: Dernière bafouille mon père regarde le foot, l’entraîneur allemand est au bord de la dépression  (eliazar), let's call it hope. 3782170742 bha nan en fait l'allemange a gagné à la dernière seconde, ça va être oktoberfest en avance ce soir  (eliazar), let's call it hope. 3782170742
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 21:55)


santa fe, usa (1981).
« On s’en va encore ? » Sa mère était en train de s’agiter, à emballer le peu d’affaires qu’ils possédaient, pendant que son père était en train de discuter un type que lui, il n’avait jamais vu de sa vie. Il était encore bien jeune, trop pour comprendre ce qui avait bien pu de passer. Il n’avait eu que dix ans quand il avait quitté son pays d’origine et déjà à ce moment-là, il n’avait rien compris. De nouveau ses parents avaient dit qu’ils devaient partir et c’était encore bien flou pour lui tout ça. Ça l’était d’autant plus pour son frère et pour ses sœurs qui étaient plus jeune que lui. « On a pas le choix, va chercher tes affaires. » C’était la seule réponse de sa mère, y avait pas d’explication, juste des indications auxquelles il se contenta d’obéir sans poser de question. Il n’y connaissait rien lui en lois et tout ce qui allait avec, alors on pouvait bien lui parler des services d’immigration, ça ne lui parlait pas du tout. Les explications ne servaient à rien de toute façon, il était encore à cet âge où on avait la naïveté de croire qu’on pouvait vivre n’importe où dans le monde sans que ça ne pose de problème. Evidemment, quand il vieillirait, il aurait moins de mal à comprendre tous les problèmes que ça pouvait causer d’essayer de vivres aux Etats-Unis quand on n’était pas de là-bas. Il comprendrait pourquoi ses parents avaient décidé de partir, seulement trois ans après qu’ils soient arrivés, mais pour l’heure, c’était trop compliqué, alors il se contenta de réunir ses quelques affaires avant d’aider ses frangins à en faire de même. Ils n’avaient pas grand-chose avec eux, ils n’avaient pas beaucoup de moyens de toute façon. Mais, leur père, il leur avait dit qu’ils allaient en Nouvelle-Zélande, qu’il y avait du monde qui allait les aider là-bas et que tout irait mieux. Tout ce qu’il pouvait faire du haut de ses treize ans, c’était de faire confiance à son père. Ça irait mieux en Nouvelle-Zélande, tant pis s’il était complètement incapable de placer ce pays sur une carte.

wellington, nouvelle-zélande (1993).
« Pourquoi tu fais la gueule ? » Il leva les yeux, lâchant son verre du regard pour fixer la jeune femme qui venait de le rejoindre au bar. Il ne la connaissait pas, ne l’avait jamais croisée avant ce soir. Habituellement, il ne s’intéressait même pas aux femmes qui pouvaient s’adresser à lui. Il avait été en couple pendant des années, il avait eu un bébé aussi, beaucoup trop tôt, qu’on lui avait dit, alors même qu’il était en pleine galère avec ses études de médecine. Il avait été heureux avec sa petite-amie, tout était parfait avec Daisy, si bien qu’il avait encore cette bague au fond de sa poche, avec laquelle il avait prévu de la demandé en mariage. Une demande qu’il n’avait pas faite, parce qu’elle n’avait pas accepté ses choix. Il s’était engagé dans l’armée, il était encore interne à l’hôpital et il se disait qu’il n’y avait pas de meilleur moyen de finir sa formation que de le faire sur le front. Elle avait dit qu’elle ne voulait pas de cette vie-là que s’il partait, c’était fini entre eux. Il avait accepté sa décision, parce que lui, il savait ce qu’il voulait et il était trop jeune pour mettre sa carrière entre parenthèse pour une femme. Ou peut-être qu’il était trop égoïste, ça dépendait des points de vue, sans doute. « Ma copine m’a largué. » Qu’il répondit à la jolie blonde à côté de lui avant d’avaler une gorgée de son verre. « Et je pars pour le front dans deux semaines. » Un enchaînement pas terrible d’après lui, il aurait quand même préféré se lancer dans tout ça en ayant l’esprit tranquille, mais c’était perdu d’avance, il ne savait même pas si elle allait le laisser revoir leur fille. « Ça craint, tu pourrais mourir là-bas. » Il lâcha un léger rire, ça n’avait rien de drôle et pourtant, la façon dont elle disait ça, avec une légèreté déconcertante, ça avait quelque chose d’amusant, d’attendrissant même. « Je suis juste médecin, mais peut-être bien ouais. » C’était le risque, c’était la raison pour laquelle sa petite-amie l’avait laissé tomber, il le savait, mais ce n’était pas tout ce qu’il y avait à retenir de cette expérience. « Deux semaines avant une potentielle mort, tu devrais faire en sorte que chaque jour compte. » Y avait ce sourire en coin qui était venu se dessiner sur ses lèvres, elle avait probablement raison, il fallait qu’elles comptent ses semaines. « Comment tu t’appelles ? » Qu’il lui demandé et elle fit mine de réfléchir, comme si ça pouvait être une question compliqué. « Mieux vaut pas qu’on s’attache si tu dois mourir, alors mieux vaut éviter les vraies présentations. On va dire que je m’appelle Kate et toi ? » Il fronça légèrement les sourcils avant de rigoler. « Donc, je dois pas te donner mon vrai nom, c’est ça ? » Elle hocha la tête. « J’m’appelle John, alors. » Elle tendit la main pour la lui serrer, il ne la connaissait pas cette fille, elle était jeune, plus jeune que lui en tout cas, mais jamais elle ne lui avait donné plus d’informations sur elle-même qu’un faux nom. Elle avait fait en sorte que chaque jour avant son départ soit important, il avait apprécié son temps avec elle, mais il ne l’avait jamais revue après son départ.

wellington, nouvelle-zélande (2018).
Il était revenu et c’était Daisy qu’il avait revue à son retour. C’était elle qu’il avait épousé, celle avec qui il avait construit toute sa vie. Il la connaissait depuis le lycée, trente-quatre ans et des millions de souvenirs gravés dans sa mémoire. Ils avaient été heureux tous les deux, elle avait été sa grande histoire, son grand amour, sa vie. Mais le temps effaçait tout, qu’on disait et pour elle, c’était particulièrement vrai. Elle avait commencé par oublier des mots, des trous de mémoire, rien de bien inquiétant, pourtant, elle avait été intelligente, cultivé, psychologue, elle avait travaillé sur la mémoire, pendant ses études, elle savait comment ça se passait, quand on commençait à la perdre. Lui, aussi il savait. Il n’était pas neurologue, mais il était médecin et il avait noté les oublis, les confusions et tout ça, ça avait fini par se multiplier trop rapidement pour que ce soit juste les premiers signes de l’âge. Elle n’était pas vieille, cinquante ans, ce n’était pas non plus le bout de la vie. Ils avaient tous les deux su ce qui se tramait et le diagnostic avait été posé, une forme précoce de la maladie d’Alzheimer, qui se dégradait à vive allure. Elle perdait la mémoire et la tête, tout à la fois. Y avait des jours où ça allait, d’autres où elle était incapable de reconnaitre ses enfants. Lui, en général, ça allait, comme s’il était le repère le plus fixe de sa vie. Mais c’était dur, insupportable même, pour lui, de la voir dans cet état. Il était fatigué, et il se demandait souvent, si cette vie, ce n’était pas trop dur, même pour elle. Elle n’était plus elle-même, elle perdait tout ce qui faisait d’elle ce qu’elle avait été, c’était terrible. Il ne savait plus pourquoi il se battait Eliazar, il ne savait plus si tout ça avait un sens. Souvent, il repensait à Kate, à sa jeunesse, à leur histoire aussi éphémères que les souvenirs de son épouse. Ça n’avait été que deux semaines, ça n’avait été qu’une courte histoire, mais il s’était senti en vie pendant ces deux semaines, il avait profité de son quotidien comme s’il était un homme condamné par la guerre. Il avait survécu à cette guerre, mais plus il regardait sa femme, plus il se disait que la vie pouvait être courte, elle était comme morte sa femme, sans ses souvenirs, sans son sourire, elle s’éteignait un peu, jour après jour. La vie était peut-être trop courte pour être gâchée. Dans un soupire il quitta la chambre d’hôpital pour aller chercher un café à la cafétéria de l’hôpital. « Pourquoi tu fais la gueule ? » Il sursauta en relevant rapidement la tête vers la jeune femme qui venait de lui parler. Il aurait cru entendre Kate, presque vingt-six ans plus tôt. Ce n’était pas elle, pourtant, elle lui ressemblait, ou du moins, elle ressemblait à ce que ses souvenirs avaient faits d’elle. « Euh, rien, je travaille ici, c’est pas tous les jours facile. » Il esquissa un léger sourire, la main au fond de sa poche, il fit glisser l’alliance de son doigt. « Eliazar. » Il lui sourit et elle aussi. Il avait oublié les leçons de Kate, si c’était voué à s’arrêter, il ne fallait pas s’attacher, fallait pas donner son vrai nom. Tant pis. « Liesel. » Qu’elle lui répondit. La vie était courte, fallait rendre chaque jour important hein ? C’était toujours mieux que de se morfondre dans son coin. « Le café craint ici, mais y a un pub en face, eux, ils assurent. J’peux t’inviter ? » Il savait de quoi il parlait, il travaillait vraiment ici, il n’inventait rien, même pas l’existence de ce petit pub qui faisait un excellent café, ou quelque chose de plus fort, au besoin. « Okay. » Il jeta son café bas de gamme dans la poubelle avant de sortir de l’hôpital en compagnie de la jeune femme, direction ce fameux pub, bien décidé à oublier son mariage.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 22:02)
omg je me suis arrêtée bien cinq minutes sur ton pseudo, je connais quelqu'un avec ce nom-là irl (très intéressante comme remarque, j'en conviens (eliazar), let's call it hope. 4240345067)

bref (eliazar), let's call it hope. 3782170742. rebienvenue dans le coin, hâte de voir ce que tu nous prépares cette fois (eliazar), let's call it hope. 2201629221.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 22:04)
rebienvenue chez toi (eliazar), let's call it hope. 1485733704 (eliazar), let's call it hope. 2227089788
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 22:05)
@Rhea Dardo (eliazar), let's call it hope. 3782170742 c'est cool comme nom moi je dis (eliazar), let's call it hope. 4079941090
merci beaucoup (eliazar), let's call it hope. 2804261376

@Beatriz Delfino merci (eliazar), let's call it hope. 2227089788
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 22:16)
Rebienvenue parmi nous (eliazar), let's call it hope. 2150563227 Je sais pas comment tu fais pour toujours autant carburer avec tous ces personnages, lovres-moi ton secret. (eliazar), let's call it hope. 4135354924
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 22:19)
ooooh, mais ça promet d'être encore un personnage de fou. (eliazar), let's call it hope. 2223749420 (eliazar), let's call it hope. 2223749420 (eliazar), let's call it hope. 2223749420
et il nous faudra un lien avec lisea, entre chirurgien traumato. (eliazar), let's call it hope. 41734297 (eliazar), let's call it hope. 41734297
rebienvenue à la maison. (eliazar), let's call it hope. 2201629221
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 22:22)
@Callum Ewing merci (eliazar), let's call it hope. 2227089788 le secret c'est que j'ai pas de vie sociale (eliazar), let's call it hope. 3782170742

@Nohea Hastings c'est ma marque de fabrique (eliazar), let's call it hope. 4203373176 (ou pas (eliazar), let's call it hope. 3782170742)
oh oui, un lien (eliazar), let's call it hope. 2227089788
merci beaucoup (eliazar), let's call it hope. 2227089788
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 22:26)
rebienvenuue (eliazar), let's call it hope. 613702535 (eliazar), let's call it hope. 613702535
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - (Sam 23 Juin - 22:42)
Rebienvenue parmi nous (eliazar), let's call it hope. 2221190684
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Who you are
Bad Karma



(eliazar), let's call it hope. Empty
Re: (eliazar), let's call it hope. - ()
Revenir en haut Aller en bas
(eliazar), let's call it hope.
Aller à la page : 1, 2, 3, 4  Suivant
 Sujets similaires
-
» (neva), some call it foolish, guess i'll call it art.
» New life, I hope
» New life, I hope - Ian
» répertoire d'eliazar gonzalez
» Shea + we believe, we have hope, we are nothing.

Sauter vers: