| | recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez | |
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| recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - (Dim 25 Aoû - 21:49) |
- saez harris - si j'ai plus d'étoiles dans les yeux, c'est pour mieux voir venir le vide | nom : harris, c'est ce nom qui ne lui appartient pas. harris, c'est le nom qu'il dit être le sien, en sachant parfaitement qu'il appartient certainement à quelqu'un d'autre, quelque part. harris, c'est le nom qu'il s'est approprié, parce que la simple idée de porter le même nom que son père, ça lui fout le frisson. ça lui fout la rage au ventre. colbung. colbung, c'est du passé, c'est du néant. colbung, c'est les souvenirs violents et acharnés. colbung, c'est la honte et la colère. harris, c'est le nouveau départ, le passé effacé, pour mieux recommencer. prénom(s) : autrefois, on l'appelait samuel. un prénom trop souvent crié, hurlé par un père alcoolisé. un prénom trop souvent pleuré par une petite sœur effrayée. un prénom trop souvent imploré par une mère blessée. un prénom qui a disparu, comme le nom. un prénom qu'il a renié, remplacé. saez. court. percutant. incisif. comme lui. comme le jeune homme qu'il est devenu. âge : les années défilent et passent. les gens naissent et meurent, mais lui, il est bien là, bien vivant, et jeune. à la porte de la majorité, il entame la vingtaine, la rage au creux de l'estomac, la haine au fond du cœur, la tête pleine d'incompréhension et de douleur. le manque. la peine. la tristesse. elle. naissance : une soirée glaçante et froide. une mère seule, une mère flippée, incapable de se déplacer, incapable de trouver du secours. une mère abandonnée par un homme qui aimait plus l'alcool qu'il ne l'aimait elle. un soir du mois de septembre, alors que les flocons s'installaient doucement mais sûrement, pour figer la ville, de même que sa naissance figeait son propre sort. saez est né quelque part, pas loin de Wellington. dans le froid et la solitude. (03/09/1999) nationalité : peu d'exotisme, pas d'originalité. un néo-zélandais comme on en trouve ailleurs. un néo-zélandais, comme son père. seul point commun qu'il a avec lui. du moins, c'est ce qu'il croit. origines : les origines, saez, il s'en tape. après tout, c'est rien de plus qu'un mélange de sang dans ses veines. statut civil : la liberté. la jouissance. puis la solitude. le silence. les filles qui se succèdent, qui apparaissent et disparaissent aussitôt. ces chambres qu'il retourne avant de s'en aller. ces draps souillés. ces corps parcourus et désirés. pourtant, jamais il ne se pose, jamais il ne s'attache. saez, il ne sait pas aimer. il ne sait plus. saez, il pensait ne pas le savoir, puis il l'a connu, et depuis c'est le néant dans son cœur, c'est un bateau chaviré. orientation sexuelle : ce qu'il aime saez, c'est les courbes -ses courbes-, les hanches -ses hanches-, les regards en coin -ses regards en coin-. c'est ses lèvres pulpeuses, sa poitrine et sa façon de dégager ses cheveux derrière son oreille. ce qu'il aime saez, c'est la gente féminine - elle. occupation : tout et rien. pas assez motivé pour faire des études, trop impulsif pour garder un job stable. dans le vent, il va et vient. il se pose où on a besoin de lui, gratte quelques sous, puis s'en va. fuit la monotonie, il revient pourtant fréquemment là où sa paye bien. à côté de ça, de cette vie connue, de cette vie presque normal, saez, il n'a rien de légal. saez, il n'a rien de bon. saez, c'est un voleur, pire c'est un dealer. depuis jeune, peut-être trop, il suit les ordres, jusqu'à ce que ça dérape. puis il fuit. il s'évade, se cache et recommence. il vole, revend, rachète et revend encore. il rend malheureux pour palier son malheur à lui. c'est le seul moyen qu'il a trouvé pour vivre mieux. pas nécessairement bien, mais mieux, c'est déjà ça. argent : assez pour vivre, assez pour survivre. des petits jobs, de-ci, de-là. la chance d'être un type manuel. la chance d'être débrouillard. s'en sort comme il peut, mais s'en sort bien. peut-être pas totalement légalement, mais qui a besoin de le savoir. caractère : explosif, comme une grenade dégoupillée, prêt à tout casser, à tout envoyer balader, à tout moment. colérique, agressif. violent. bagarre, coup de poing, coup de pied. arcade ouverte, esprit embrumé, par l'alcool, par la douleur, par le manque. étourdissements. errant, perdu, à la recherche. elle. dans sa tête, dans son corps, dans sa peau, dans son être. dépendant d'une drogue vivante, une drogue aux courbes alléchantes, aux courbes qui le hantent. presque insomniaques, victime de ses cauchemars. victime d'une femme. victime de son passé, de ses décisions. victime de ses sentiments. rejet. regret. l'amour, c'est de la merde. solitaire solide. comme une armure. impénétrable derrière ces airs charmeurs. malin. manipulateur parfois, mieux vaut un sourire qu'une insulte. maître des mots, ou des maux. maître de sa langue, la manie avec dextérité -dans les deux sens. obsédé, entêté, têtu. sait se jouer des autres. désabusé, abusé par la vie. résigné, réaliste. groupe : murphy's law. the fortune teller : you know I love to play avatar : alex fitzalan. crédit images : lunaeye; juice. |
son regard me traverse le corps comme une longue aiguille Partie anecdotes : un accouchement dans la solitude. un rejet. des peurs et de la douleur. saez, il est venu au monde un peu par hasard, un peu comme un imprévu, sans s'annoncer, d'un coup, en surprenant sa mère, seule et blessée. seule et abandonnée à ses contractions et son nez en sang. les ecchymoses et les bleus apparents. la chemise trempée. des larmes en cascade. des cris de souffrances. puis le silence. une inquiétude. un instinct maternel soudain. et des pleurs. ceux d'un heureux évènement qui n'en était finalement pas vraiment un. une envie de fuir. mais nulle part où aller. un moment de bonheur éphémère. une étreinte. le sourire d'un nourrisson à sa mère qui donnera tout pour le protéger, mais qui n'en récoltera qu'ingratitude et mépris ◊ un lit trop petit pour lui. une chambre partagée avec ce petit monstre qui ne cesse de pleurer. ce petit monstre qui n'est autre que sa sœur, petit être fragile et sans défense. un père qui s'énerve, qui s'agace trop vite. une mère qui se précipite, qui supplie pour que ça s'arrête. qui prie dieu. les prières, saez, il les connait par cœur à force de les avoir entendu. il s'en souvient. il se souvient de ces mots qu'elle répétait en boucle, pour que dieu lui vienne en aide, pour que le bébé s'arrête de pleurer. pour ne pas subir une nouvelle fois les coups de son mari qui, on ne sait trop comment, a réussi à lui faire deux enfants. des prières vaines. saez, il l'a bien compris. dieu n'est personne. dieu n'est pas là. dieu n'aide pas ses fidèles, pas même les miséricordieux. tout ce que l'homme a pour se sauver, c'est lui-même. et une femme comme sa mère, n'avait rien pour s'en sortir ◊ tap. tap. tap. c'est le bruit des pas dans l'escalier. crac. crac. c'est le bruit du vieux plancher sous le poids d'un homme. cinq. quatre. trois. c'est l'enfant qui fait le décompte. c'est les grains de sable qui annonce sa venue. crash. c'est un bruit de verre qu'on casse. ou peut-être une assiette. c'est le bruit d'un projectile. c'est le bruit d'un objet du quotidien dont on fait une arme. paf. c'est le bruit d'une gifle. une. la première. deux. mais pas la seule. une longue série. cinq minutes, peut-être dix. une éternité. des sanglots. des supplications. des enfants qui entendent malgré eux. des enfants qui voudraient ne pas écouter, mais qui sont là et qui subissent. un garçon qui pleure des larmes de rage et de colère. un garçon qui voudrait aider sa mère, sans se soucier de ce qui pourrait arriver. sans se soucier du risque de devenir une victime de plus. la faute au courage. la faute à la bonne volonté. la faute à l'innocence. il croyait que son regard d'enfant apeuré l'aurait arrêté. il y croyait dur comme fer. pourtant... splaf. c'est le bruit d'un coup-de-poing. heureusement unique. pour ce soir-là ◊ t-shirt à manches longues. chaussettes hautes. pantalons trop longs. un costume, presque un déguisement. de quoi cacher. de quoi dissimuler. saez, c'est le plus mal habillé. saez, il avait des vêtements trois fois trop grands pour lui, qu'il étirait toujours, qu'il agrandissait sans même s'en rendre compte. des vêtements comme un armure. des vêtements pour recouvrir les marques, les bleus, les preuves d'une violence trop lourde à supporter pour un enfant, qui pourtant l'encaisse en silence, parce qu'à ce moment-là, saez, il croyait encore pouvoir la sauver ◊ mauvaises notes. mauvais comportement. dispersé, agressif parfois, ne participait pas. ne disait rien, ni à la maitresse, ni à personne. quand on lui demandait si tout allait bien, il faisait le sourd d'oreille, il tournait la tête, il se braquait. saez, il ne voulait pas dire ce qui se passait. saez, il voulait une famille comme celle des autres, parce que les autres, ils avaient des familles normales, et même s'il était trop jeune pour vraiment le comprendre, saez, il le savait que rien n'était normal, dans ce qui se passait chez lui ◊ renfermé, réfugié dans le silence, on survit. saez, il avait survécu. méprisant sa mère pour son manque de courage. dans l'attente du moment qui lui permettrait de se tirer de cet enfer. il grandissait, il se fortifiait, il gagnait en assurance, en rage, en colère. il n'en avait pas fallu plus. splaf. c'est le bruit d'un coup-de-poing. le premier. le sien. plein de force. plein de rancoeur et de dégout. un coup-de-poing violent. un coup-de-poing puissant, comme retenu depuis des années. comme chargé de tous ceux qu'il avait du encaisser toutes ces années. comme une vengeance. comme une délivrance. comme une porte de sortie. un sac à dos, quelques affaires. un départ. une vie à vivre et à découvrir, loin de lui. loin de tout ça. pas de regard en arrière. une étreinte à sa sœur, un regard qui dit tout. mais un abandon, qu'il n'oubliera jamais, et qui le hantera toute sa vie. l'abandon des deux femmes les plus importantes de sa vie. un abandon forcé parce qu'il le savait. pas de retour à la case départ. c'était lui ou son père et pour la première fois depuis longtemps, il s'était choisi lui ◊ débauches. déboires. bagarres. galères. solitude. errance. seize ans. une jeunesse désenchantée. une vie gâchée. une vie sombre et noire. une vie hors du système scolaire. une vie loin de la violence paternelle mais soumise à la violence de la rue. une vie de petits boulots ◊ des petits boulots qui ne suffisent pas. des petits boulots qui ne permettent même pas de survivre. alors, il y a eu cette rencontre, un soir, tandis qu'il sortait de ce restaurant dans lequel il faisait la plonge. il y a eu cette voiture trop luxueuse pour s'arrêter devant lui, qui pourtant était là. il y a eu cette femme, cette chevelure d'un roux envoutant et ces yeux qui vous transperce. il y a eu cette discussion et il y a eu cet échange. et cette décision, ce choix de la facilité. et la descente, alors même qu'il ne pensait pas possible de descendre plus bas. alors même qu'il voulait éviter de finir dépravé comme l'était son père. les vols, passaient encore, mais la drogue, il la vendait et il la consommait. et tout à coup, tout était devenu tellement plus facile. l'argent ne pleuvait pas, mais il goûtait, d'un robinet qui semblait sans fin. jusqu'à l'erreur. parce que toutes les bonnes choses ont une fin. ◊ mais heureusement, il y avait eu elle. erin. erin et son âme en peine. erin et son regard perdu. erin et sa tristesse qu'il voulait absorber sans se soucier du mal que ça lui ferait. erin et son charme sans équivalent. cette beauté douce et fragile. cette naïveté. cette flèche en plein cœur que cupidon lui avait décoché sans même qu'il s'y attende. cette passion électrique, cet amour, cette attirance irrépressible. ce besoin de la voir, de la sentir, de l'aimer. cette corde qui l'avait sorti de son trou, cette fenêtre qui lui permettait de voir la vie différemment, de l'appréhender plus facilement. il avait connu l'amour dans ces bras, alors qu'il n'y croyait pas. il avait connu une existence apaisée, tandis qu'ils se réchauffaient pendant ces nuits trop froides d'hiver, dans leur appartement misérable tout en haut de cet immeuble. saez, il s'était perdu dans ses yeux, dans son affection. saez, il l'avait dans la peau, dans la tête. saez, il ne pensait qu'à elle. mais saez, il avait ce truc, toutes ces magouilles, toutes ces merdes dont il n'avait rien dit. parce que saez, il avait trop de secret. saez, il était dans la galère jusqu'au cou, mais erin, elle n'en savait rien. elle ne savait rien de tout ce qu'il faisait, de ce qu'il volait, de ce qu'il vendait, de ce qu'il consommait parfois, quand elle n'était pas là. saez, c'était un menteur ◊ menteur et déserteur. s'enfuir. l'abandonner. la quitter lâchement. c'était ce qu'il avait fait. quand il avait déconné, il n'avait pas su trouver d'autres solutions. c'était la seule idée stupide qu'il avait eue. l'abandonner, en espérant mieux la protéger parce que, cette femme, cette rouquine, elle n'était pas de ceux avec qui on plaisantait et les nombreux pochons qu'il n'avait pas vendu, qu'il avait consommé et qu'il n'avait pas payé, c'était trop d'argent perdu et ce n'était pas recevable. ce n'était pas acceptable. et dans ce milieu, tout finissait par se payer ◊ paris, berlin, londres, et tout un tas d'autres villes paumés. une vie de voyage. une vie de survie à se faire oublier. à récolter quelques sous pour se renouveler dans l'espoir de revenir, parce que malgré tout, elle est là. erin était toujours là, en lui. quelqu'étaient les nationalités des demoiselles qu'il se tapait, qu'importait leurs dons entre les draps, la seule à laquelle il parvenait à penser, c'était erin. sa peau, son souffle au creux de son oreille tandis qu'il était au creux de ses reins. rien n'arrivait à la hauteur de ce qu'il avait pu vivre avec elle, mais tout ça, ce n'était rien de plus désormais qu'une une de journal chiffonnée qu'on aurait jeté à la poubelle ou du moins tenté. le tir avait échoué. la feuille était tombée à côté et saez n'avait pas su faire le deuil, lui qui ne croyait plus en l'amour, qui ne savait d'ailleurs pas vraiment ce qu'il espérait en réservant son vol pour la nouvelle-zélande par l'intermédiaire d'une connaissance qu'il avait connu durant son errance et qui lui offrait une escapade au prix plus qu'attractif. il ne savait pas trop pourquoi il y retournait, ni même si ça valait le coup, mais cette nuit-là, il avait eu le déclic qui lui manquait. il avait compris ce qui rendait sa vie si monotone. il avait le mal du pays, mais surtout le mal d'elle ◊ mais saez n'a pas changé. oh, si. il s'est endurci, il est devenu cet homme froid et distant. il est devenu dur et costaud comme il ne l'aurait jamais cru possible. il a connu la peur, la détresse. il a connu l'angoisse et même peut-être les armes mais tout ça, c'est si flou et il est si silencieux, qu'il n'en parle pas et qu'il ne dira probablement rien à erin, parce que la raison pour laquelle il l'a quitté est toujours d'actualité. parce que saez n'a pas su en finir avec ses démons et c'est en chassant le naturel qu'il revient au galop. behind the screen pseudo/prénom : artie âge :la vingtaine entamée pays : on dirait le sud connexion : compliquée en ce moment parce que je travaille, mais wait a little. où as-tu connu le forum ? : c'était il y a bien longtemps. personnage scénario : @erin pearson dernière bafouille : . |
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| Re: recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - (Dim 25 Aoû - 21:50) |
ce qu'il avait remarqué en premier chez elle, c'était la couleur de ses yeux. un bleu presque vert à faire tomber par terre. ce genre de couleur qui transperce, qui sonde l'âme jusque dans ses plus profonds recoins, qui y décèle vos secrets les plus enfouis, qui sait tout, d'un simple coup d'oeil. comme elle. ensuite, il avait prêté attention à ses cheveux. châtains. ou blonds. un peu des deux. mi-longs. tout en légèreté. et puis, il y avait cette façon qu'elle avait de dégager cette mèche un peu rebelle derrière son oreille. comme elle. puis il y avait aussi eu ce rire. un rire mi-enfantin, mi-femme fatale, qu'il avait remarqué et retenu. un rire qui donne envie de faire un tas de choses stupides pour l'entendre encore. comme le sien. depuis ce moment-là, depuis qu'il l'avait vu dans ce train berlinois, il n'avait eu qu'une seule idée en tête, qu'une envie, soudaine et violente. irrépressible. l'embrasser. ces lèvres pulpeuses et rosées. comme les siennes.
cette image en boucle, ces souvenirs qui se bousculent, comme se bousculent les corps de ces deux inconnus qui se sont croisés par hasard, tandis qu’ils rejoignent péniblement l’appartement de cette jeune fille qui n’a rien qui lui plait vraiment, à part qu’elle lui ressemble. elle a ses habitudes, ses manières. elle a ces petites choses qu’il cherche malgré lui, tandis qu’il les fuit. et pourtant, il y revient toujours. quand il caresse ce corps au teint halé, c’est à elle qu’il pense. quand il l’embrasse, c’est à elle qu’il pense. quand il lui fait toutes ces choses qu’il lui faisait à elle, c’est inévitablement à elle qu’il pense. alors, il se fait plus violent, plus entreprenant. la colère en lui, c’est comme ça qu’elle s’exprime parce qu’il est incapable de la retenir. il est plus fort, plus dur. elle n’est plus rien. plus rien sinon une femme de plus qu’il baise pour oublier, dans l’espoir de passer à autre chose, de trouver mieux ailleurs. mais ça n’arrive pas, parce qu’elles ont beau lui ressembler, elles n’ont pas le tiers de ce qu’elle avait elle. elles ne lui arrivent pas à la cheville. elles n’ont pas son odeur. elles n’ont pas son sourire, ni même son regard. elles n’ont rien. et tandis que toutes ces réalisations, tous ces déclics se font en lui, il donne ses derniers coups de bassin avant de s’effondrer sur le côté, sans un regard, ni un mot pour celle qu’il vient d’ajouter à sa longue liste. il n’a rien à dire, tout à penser. son cerveau est fumant de remords, de souvenirs, de pulsions. tout ce qu’il veut maintenant, c’est rentrer, c’est l’appeler. entendre sa voix. y trouver un sourire. y trouver le réconfort. y retrouver l’amour.
"tu pars déjà ? - oui. - ah d’accord… au fait ! je m’appelle emily. - je sais. - alors pourquoi tu m’as appelé erin ?"
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| | | Invité
| Re: recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - (Dim 25 Aoû - 21:58) |
wesh, y a maman Georgia en moi flemme de changer de compte qui est prête à t'éclater les rotules avec un rouleau à pâtisserie si tu fais mal à sa fifille rebienvenue à la maison contente que tu restes parmi nous puis tu fais un excellent choix avec le scénario d'Erin, elle écrit divinement bien si tu as besoin de quoi que ce soit, tu connais la maison |
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| Re: recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - (Dim 25 Aoû - 22:03) |
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| | | Invité
| | | | Invité
| Re: recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - (Dim 25 Aoû - 22:12) |
quel excellent choix de scénario. ravie de voir que tu restes avec nous. rebienvenue ici, tu sais où nous trouver si besoin. |
| | | Invité
| Re: recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - (Dim 25 Aoû - 22:13) |
merci beaucoup. eh oui, quel scénario. y'a des petites merveilles ici quand même
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| | | Invité
| Re: recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - (Dim 25 Aoû - 22:57) |
Rebienvenue par ici avec ce super choix |
| | | Invité
| Re: recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - (Dim 25 Aoû - 23:19) |
merci beaucoup |
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| Re: recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez - () |
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| | | | recharge mes batteries/j'ai besoin de ton regard ‹ saez | |
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