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la liberté. (perry)

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la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 19:03)
Ça vous fait pas mal à la tête de glandouiller 24h/24 ?

Perceval Richard Rhodes
feat nikolaj coster-waldau
nom Rhodes, pas grand chose à dire là dessus à part que c'est le nom de mon père, un nom connu en Angleterre, mais pas ici.
prénom(s) mes parents m'ont affublé du doux et très facilement portable prénom qu'est Perceval. Pour des raisons évidentes, je préfère qu'on m'appelle Perry. Mon deuxième prénom est Richard, déjà plus banal que Perceval.
âge quarante-deux ans, déjà, mais encore en pleine forme, quoiqu'en disent certaines.
naissance 28 août 1974 à Londres, sur la terre de Shakespeare.
nationalité je réfléchis à prendre la nationalité néo-zélandaise puisque cela fait maintenant deux ans que je vis ici. Mais je suis bien britannique, tout comme l'est mon fils.
origines je suis anglais, un rosbif, comme diraient certaines.
statut civil divorcé depuis quatre ans, maintenant. C'est moi qui ait la garde de notre fils unique.
orientation je n'ai jamais ressenti la moindre attirance pour d'autres hommes, hétérosexuel, donc.
profession avant, j'étais cadre dans la finance à la City et j'étais tout le temps stressé. Maintenant, je combat les incendies et sauve des gens en étant pompier, et ça va beaucoup mieux.
argent moins aisé qu'avant, mais on ne manque de rien.
❇️ ❇️ ❇️
Quand les gens me rencontrent pour la première fois, ils voient tout de suite que je suis quelqu'un qui n'hésite pas à l'ouvrir, quelqu'un qui sait ce qu'il veut. D'ailleurs, sans vouloir me vanter, je penses être charismatique et avoir une sorte d'autorité naturelle qui fait que les gens veulent bien me suivre. Même si ça a du mal à s'appliquer à Simon, mon fils. Et à cette sorcière de Zelda. J'avoue que j'ai tendance à être plutôt impulsif, surtout depuis que j'ai changé de vie : je réfléchis toujours, bien évidemment, mais je me laisse davantage porter par le flot de la vie. J'ai néanmoins gardé mon côté plus cérébral et curieux, ce qui fait que je ne peux me passer de lecture, et même d'écriture. J'avoue que je peux souvent me montrer arrogant et trop confiant, ce qui me dessert parfois. Mais j'imagine que c'est parce que j'aime les défis, et un peu par ambition, aussi. J'ai une bonne grosse tendance au sarcasme et je ne peux réprimer un langage assez cru. Disons que les mots grossiers sont un peu des mots de liaison pour moi et ce serait presque Simon qui ferait la leçon à son père, le monde à l'envers ! Je suis également quelqu'un de têtu et déterminé, j'imagine que c'est en partie pour ça que mon mariage n'a pas fonctionné. Ceci, et l'ancien dentiste de la famille très séduisant et entreprenant, aussi. Pour finir, je pense que je ne suis pas un trop mauvais père et surtout, je suis plus sensible et aimant que je ne veux bien le dire.
carpe diem.
Play with the Fortune Teller.
son fils
Depuis tout petit, j'ai été habitué à être un maniaque du contrôle, toujours à travailler dur pour être le meilleur en à peu près tout. Et puis ma femme est partie, nous laissant tomber, Simon et moi. Ce fut le déclic : je me rendais compte que je ne pouvais pas avoir d'emprise sur tout. Mes parents, au lieu de compatir m'ont sommé de faire quelque chose, de la reconquérir ou d'en trouver une autre. J'ai simplement fini par tout laisser tomber, tout, sauf mon fils évidemment. J'avais toujours rêvé d'aller vivre ailleurs, de toute façon. Depuis que je suis en Nouvelle-Zélande, je lâche prise, je vis de nouvelles expériences et je vis un peu au jour le jour. J'ai changé radicalement de carrière, délaissant les bureaux et les réunions interminables pour l'adrénaline. En fait, je suis bien plus heureux ainsi.
Mais je vous emmerde, mon petit pote !
je veilles à lire le plus régulièrement possible, cela me détend et je suis particulièrement friand de littérature fantastique. malgré mon statut bien assumé d'anglais, cela va peut-être vous surprendre, mais je n'ai jamais aimé le thé : je carbure au café noir, moi ! j'ai choisi la Nouvelle-Zélande parce que c'est un pays magnifique, que la culture maorie m'intéresse, que c'est loin de mes parents et que j'ai toujours beaucoup aimé le rugby. d'ailleurs, bien que je sois loin d'avoir le niveau d'un all black, j'y joue régulièrement avec mes collègues. je suis devenu pompier un peu par hasard : je ne voulais plus travailler dans la finance, je cherchais un autre boulot et j'ai vu qu'ils recrutaient. J'ai alors tenté et ma condition physique loin d'être médiocre m'a permis d'obtenir le job. j'ai toujours tendance à être assez maniaque sur la propreté de la maison et mon fils, qui l'a très bien compris, s'amuse souvent à me faire criser en laissant des miettes trainer un peu partout. Mais ça marche moins bien qu'avant, étant bien plus zen à présent. Et souvent crevé en rentrant, en fait. j'essaie de ne pas reproduire l'attitude de mes parents envers Simon, à savoir que je ne suis pas constamment sur son dos à le pousser à devenir le "meilleur mâle viril à tout prix". Et je crois que cela porte ses fruits, c'est un chouette ado et on s'entend bien, malgré nos chamailleries. en arrivant, nous avons adopté un labrador sable qui fout des poils partout et qu'on a appelé Dagobert.  autant je n'ai pas peur des animaux considérés comme dangereux comme les mygales ou les serpents, du vide, de l'eau, du feu et compagnie, autant je n'aime vraiment, mais alors vraiment pas les clowns. Moquez-vous si vous voulez, mais je les trouve flippants et inutiles. mon caractère fier et ambitieux fait que je suis très mauvais perdant, c'est pour ça que Simon a renoncé à me faire jouer à ses jeux vidéo avec lui. Mais quand je suis à la maison et qu'il n'est pas là, je m'en donnes à cœur joie et j'explose tout ses scores. Ou pas, d'ailleurs. Mais je l'aurais. j'ai toujours eu un faible pour... Les rousses. Mais ça reste entre nous. j'ai du mal à faire confiance aux gens depuis que j'ai trouvé mon ex-femme au lit avec un autre et je n'ai pas vraiment réussi à ressortir avec quelqu'un depuis ces quatre ans, à chaque fois, ça tournait court. et puis aucune ne me plaisait vraiment, d'ailleurs. bon, peut-être pas tout à fait aucune. Mais Zelda est trop jeune et c'est une sorcière. cette femme passe son temps à me lancer des défis idiots. Et comme je suis moi-même un idiot, je cours les relever. quand j'étais à la fac et que j'étais bien trop bourré lors d'une soirée, je me suis fait tatouer. Je voulais le caractère japonais de "courage" (肝) sur le biceps et au final, sans trop savoir comment, et bien... Je me suis retrouvé avec le mot "viande" (肉) tatoué sur la fesse gauche, que je n'ai pas eu le courage de me faire enlever. tout ça parce que le frère de mon ex-petite copine japonaise n'était pas très content de notre relation, qui a tourné court par la suite. je pourrais me dire maudit en amour, mais au final, ça va, je ne me porte pas si mal et je suis plutôt du gens à prendre la vie comme elle vient, surtout maintenant.
pseudo, prénom Panda. âge vingt-deux ans. pays, région France. connexion 5/7. où as-tu connu le forum ? en glandant sur les internets au lieu de bosser. (a) personnage inventé. dernière bafouille  la liberté. (perry) 2978044755
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 19:04)
« Y'a trop de clampins qui se disent poètes qui sortent la licence poétique dès qu'ils pondent trois merdes que personne comprend. »

Aujourd'hui était un jour de fête chez les Rhodes, et pour cause : on fêtait la naissance du deuxième enfant, le premier fils, surtout. Balthazar Rhodes y voyait déjà l'opportunité d'avoir un successeur à la tête de sa grande entreprise d'assurance en plein cœur de la City de Londres. Il y avait bien Margaret, mais pour le patriarche, il était plus question d'en fait une parfaite femme d'intérieur et de la marier à un bon parti que lui et Virginia, la mère, lui choisirait dès qu'elle en aurait l'âge. C'est dans cette famille londonienne aux mœurs quelque peu ancrées dans le passé que Perceval grandit. Inutile de dire que malgré le luxe, ce ne fut pas évident tous les jours.

Alors bien sûr, il y eut les grandes écoles privées dont le prix à l'année était tout simplement vertigineux. Les cours de piano interminables. Les cours du soir pour « prendre de l'avance sur le programme et toujours rester le meilleur ». Avec ses vêtements de marque et tout le confort dont il pouvait rêver, Perry n'était sans doute pas à plaindre, mais il lui manquait quelque chose d'essentiel : la liberté de sortir, d'aller courir dehors, se salir. Heureusement, après maintes supplications, il réussit à convaincre ses parents de lui laisser faire du rugby, car ça, c'était « un sport d'homme ».

Ainsi alla l'enfance et l'adolescence de Perry : luxueuse, sans grande liberté. Au moins, il arrivait à avoir des amis dans son équipe de rugby et c'était toujours ça de pris. C'est pour cela que son entrée à l'université fut en quelque sorte une délivrance passagère. Bien sûr, il fallait travailler dur, il était destiné à succéder à son père et au moins à travailler à haut niveau en attendant. Rien que le fait de se trouver à quatre-vingt-cinq kilomètres de ses parents, à Oxford, était génial. Là bas, il étudiait la finance, il allait à des soirées étudiantes... Que cela soit au goût de son père ou pas. Il put vivre un peu sa vie avant d'entrer dans le monde impitoyable des « vrais » adultes.

Une fois son diplôme en poche, Perry fut contraint de rentrer à Londres. Là bas, ses parents avaient organisé une grande fête en son honneur. C'est là qu'il rencontra celle qui allait devenir son épouse, Abigail, fille d'un collaborateur de William Rhodes. Inutile de tergiverser, le père Rhodes avait les mêmes projets pour son fils que pour son aînée : le marier, lui faire doucement gravir les échelons jusqu'au sommet, lui faire avoir des enfants – de préférence des garçons – et ainsi, assurer la pérennité de son « œuvre ».

Au final, ça ne colla pas si mal que cela avec Abigail. On ne pouvait pas forcément parler du grand amour, mais la belle brune se montrait vive d'esprit et impliquée dans la vie de la haute société londonienne. Après quelques années, ils eurent même un fils, Simon. A sa naissance, Perry fut surpris de découvrir à quel point il aimait s'occuper de son fils, malgré son travail qui lui prenait énormément de temps.

Et puis la vie à trois continua. Perry savait pertinemment qu'il n'y aurait pas d'autres enfants : il avait vu ce soulagement dans les yeux de son épouse lorsque Simon était venu au monde. Ce n'était pas du soulagement après un accouchement difficile, non. C'était simplement le fait qu'il s'agissait d'un garçon et que le patriarche les laisserait tranquille, pas besoin de faire un autre « moutard ». Perry s'était senti désolé pour elle, d'être ainsi forcée. Mais en attendant, il ne valait supposément pas mieux qu'elle. Après tout, il n'était que la marionnette de son père, aussi bien sur le plan professionnel que personnel : il faisait un travail qu'il n'adorait pas et était marié à une femme dont il n'était pas amoureux.

Le début de la fin fut lorsque Perry surprit Abigail avec un autre homme, le dentiste de la famille. Il avait beau ne pas être amoureux d'elle, il la respectait et n'avait jamais été infidèle. C'est pour cela qu'il prit plutôt mal cette adultère et ne chercha même pas à recoller les morceaux, demandant le divorce. Au final, c'était plus un prétexte qu'autre chose, pourtant, la voir ainsi lui fit quand même plutôt mal et porta un sacré coup à la confiance qu'il pouvait accorder aux gens, surtout en « amour ». Abigail n'opposa pas franchement de difficulté au divorce et lui laissa même la garde de Simon sans trop de problème. Elle n'avait jamais eu la fibre maternelle, de toute façon, et fils et père étaient plus proches que fils et mère.

Les deux ans qui suivirent le divorce ne furent pas les plus facile pour Perry et pour Simon. D'un côté, le père était harcelé par ses parents qui le sommait de recoller les morceaux avec Abigail en dépit du divorce déjà prononcé ou au moins de retrouver une autre femme, car cela « faisait désordre » d'être célibataire. Le travail lui plaisait de moins en moins, mais il s'obstinait. Simon, quant à lui, se sentait un peu mal dans sa peau. Sa mère l'avait au final un peu abandonné, même si elle n'avait jamais été très maternelle, elle avait toujours été là. A présent, une baby-sitter devait le garder jusqu'à ce que son père rentre et il se sentait seul.

Et puis Perceval fini par craquer, tout bêtement. Son côté impulsif qui était resté endormi tant d'année venait de se réveiller, pour le meilleur comme le pire. Simon avait presque treize ans, maintenant, il ne se débrouillait pas trop mal à l'école et n'était pas très heureux. Lui non plus n'était pas très heureux. Alors pourquoi ne pas tout simplement tout plaquer et partir loin ? Père et fils s'étaient toujours dit qu'ils iraient en Nouvelles-Zélande, un jour. Pourquoi ne pas tenter l'aventure ? De toute façon, les relations familiales n'étaient pas au beau fixe et ils étaient un peu seuls contre le monde. Ils ne pourraient que mieux se reconstruire là bas.

Perceval et Simon Rhodes traversèrent donc le monde jusqu'à leur nouveau chez eux, Wellington, Nouvelle-Zélande. Ils surent vite qu'ils ne s'étaient pas trompés tandis que tous deux se faisaient plein de nouvelles connaissances et étaient charmés par la culture locale et les paysages. Perry se remettait ainsi au rugby, bien qu'un peu rouillé et postula pour devenir pompier, un peu au hasard, finalement. Mais il se rendit rapidement compte que c'était ça qu'il lui fallait : des sensations fortes, autres que celle provoquées par l'achat d'actions. Chaque jour, il rentrait chez lui éreinté mais fier d'avoir sauvé des vies et aidé des gens. Et puis Simon le remarquait, le petit sourire en coin de son père qui n'était pas là au début, et surtout pas quand ils étaient encore à Londres.

C'était peut-être l’œuvre de cette jeune femme rousse que Simon avait une fois aperçu à la caserne ? Celle avec qui son père se chamaillait sans arrêt, comme un gamin la traitant de sorcière tandis qu'elle se moquait ouvertement de lui. Simon avait assez vécu avec ses parents pour voir deux personnes qui n’éprouvaient pas grand chose l'une pour l'autre. Son père et Zelda, c'était peut-être une autre histoire.
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 19:10)
Bienvenue par ici, bon courage pour ta fiche :heart2:
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 19:20)
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Nikolaj la liberté. (perry) 1431878288 la liberté. (perry) 1431878288 la liberté. (perry) 843243092 la liberté. (perry) 843243092
Excellent choix la liberté. (perry) 2879480199 la liberté. (perry) 2879480199
Bienvenue parmi nous, et bonne rédaction la liberté. (perry) 2101133513 la liberté. (perry) 2101133513 Si tu as besoin de quoi que ce soit, le staff est là la liberté. (perry) 365303401 :hii:

(Je te réserve le bonhomme pour 5 jours la liberté. (perry) 2227089788)
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 20:05)
Bienvenue avec ce bel homme la liberté. (perry) 613702535
Bon courage pour la rédaction, n'hésite pas si besoin :heart2:
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 20:27)
Merci à vous la liberté. (perry) 180640823

(c'est normal que je bave à chaque fois que je jette un œil à mon propre avatar ou pas ? la liberté. (perry) 2477874054 )
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 20:35)
moi je dis que oui, c'est normal la liberté. (perry) 41734297
bienvenue par ici et très bon choix la liberté. (perry) 2101133513 la liberté. (perry) 4135354924
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 20:38)
Bienvenue parmi nous courage pour ta fiche la liberté. (perry) 3262432699
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 20:53)
Merci :heart2:
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Re: la liberté. (perry) - (Sam 26 Nov - 21:10)
Perry Rhodes a écrit:
(c'est normal que je bave à chaque fois que je jette un œil à mon propre avatar ou pas ? la liberté. (perry) 2477874054 )

tout à fait normal la liberté. (perry) 1321790767 la liberté. (perry) 1321790767
sir Jaime, en pompier, je suis fan :hii: bienvenue parmi nous et bonne rédaction la liberté. (perry) 2227089788
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