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(sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.

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(sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 14:40)
sybil O'Domhnaill
feat. félicity jones

Nom Née O'Domhnaill, ce nom d’origine irlandaise est celui de son père qu’elle a toujours gardé jusqu'à présent, n'ayant jamais pu effleurer l'idée d'unir son âme, et de fait son nom, à quelqu'un d'autre. Prénom(s)  Sybil est le prénom qui fut choisi pour elle à sa naissance, irlandais lui aussi. Aliénore, son second prénom, était celui de sa grand-mère maternelle d’origine française. Âge Trente ans. Naissance Elle est née le vingt et un novembre de l'année 1987, à Galway, en Irlande. Nationalité Irlandaise, elle n'a jamais demandé la double nationalité pour l'instant. Origines Irlandaises, elle parle toujours avec un accent guttural qu'elle ne s'efforce même pas de masquer, jurant et surnommant par ailleurs en gaélique irlandais. De légères origines françaises lui viennent également du côté de sa mère. Statut civil Célibataire esseulée, maman d'une petite lumière au caractère éclectique. Son portrait craché, en miniature, qu'elle a prénommée Eléalorsqu'elle lui a donné la vie, il y a cinq ans de cela, tout juste.  Orientation sexuelle Hommes, femmes, ses allégeances sont aux courbes singulières des corps et non des sexes. Le charme la subjugue plus que la beauté sculpturale. C'est d'une personnalité dont elle s’enivre, et non d'une coquille vide. Ainsi peut-elle être considérée comme bisexuelle.  Occupation  Ancienne pianiste de renom, elle a un jour abandonné ses rêves carriéristes pour se concentrer sur sa vie à reconstruire. La musique n'est plus qu'une anecdote, des cours qu'elle donne ici et là lorsque son nouveau métier de libraire de quartier le lui permet. Argent Modeste. Voire très modeste parfois, lorsque les affaires ne marchent pas aussi bien qu'elle ne le voudrait. Raison pour laquelle elle donne parfois des cours de piano, afin d'arrondir ses fins de mois. Groupe Positive minds. The Fortune Teller 1/ La vie, la sécurité de sa fille, Eléa. 2/ Sa cécité, pour l'heure sans remède. (©️️️faust)
Solitaire • altruiste • protectrice • sensuelle • rêveuse • minutieuse • exigeante • enthousiaste • attendrissante • magnanime • incertaine • créative • passionnée • entêtée • impérieuse • idéaliste • fantasque • fidèle • sensible • indépendante • gourmande • carriériste • perfectionniste • attentive.

"Tout le monde a besoin d'un zeste d'inattendu pour distinguer une journée de la précédente"


Pseudo/Prénom Coclico/Marie Âge Vingt-quatre ans. Pays Bretagne. Quoi c'est pas un pays ?  :samuel: Connexion Le plus souvent possible (variable donc). Où as-tu connu le forum? Par l'intermédiaire d'une amie.  (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  167779069 Personnage Inventé. Dernière bafouille Plein de keukineries sur vous.  :zoella:
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 14:42)


« Le bonheur de demain n'existe pas. Le bonheur, c'est tout de suite ou jamais. Ce n'est pas organiser, enrichir, dorer, capitonner la vie, mais savoir la goûter à tout instant. » René Barjavel, La Nuit des Temps.

Où es-tu, mon amour ? Bruissement qui immola mon cœur, étreignit mon âme de ton innocente candeur. Où es-tu ? Dans les soubresauts de la mémoire tu t’égares, deviens une image confuse. Reviens. Reviens-moi, quelque part, dans cet ailleurs qui n’appartiendrait qu’à nous. Je serais la gardienne de toutes les peurs qui te taraudent. Et tu seras mes lueurs. Toutes celles que j’ai perdues, toutes celles que je pourchasse. Reviens. Reviens-moi. Et je ne te quitterais plus.

Chaque fois qu’elle tente de se rappeler de son enfance, elle se souvient. De la vivacité de la brise irlandaise, humide et intrépide, qui courait dans ses ondulations brunes pour mieux les emmêler toutes ensembles. De la complicité délicate de ses parents, lorsqu’elle regardait son père venir se lover dans le dos de sa mère, les mains plongées jusqu’aux coudes dans l’eau de vaisselle, pour lui réclamer un peu de tendresse. De la ferveur de sa curiosité aussi, lorsqu’ils lui avaient offert, à l’aube de ses cinq ans, son premier synthétiseur. Ils ne pensaient pas alors, ils ne se doutaient pas, qu’entre elle et cet instrument, ce serait la rencontre ultime, unique. Celle qui surpasse tous les amours, nourrit toutes les obsessions, s’inscrit au-delà du temps et de l’espace. Ils lui ont payé ses premiers cours, bien sûr, en s’apercevant qu’elle en demandait toujours davantage. Frénésie curieuse et insatiable, forme d’excitation qui la poussait vers l’apprentissage singulier de la musique plutôt que vers tous les autres. Elle savait mieux lire les partitions de musique que les lignes de littérature. Et pourtant, elle était loin d’être la dernière à posséder cette imagination qui rêve de conter des histoires, de s’évader loin, dans un ailleurs, étrange, où ses camarades moqueurs disparaîtraient pour ne laisser place qu’à d’agréables visions éphémères.

Pour ses dix ans, ses parents lui offrirent son premier piano droit, qu’elle malmena, usa, jusqu’à briser les cordes. Toute jeune elle entra au conservatoire de musique, sortit du système scolaire traditionnel pour s’épanouir dans cet art dans lequel elle se révéla prodige. Ses parents, surtout sa mère, la poussaient jusque dans ses retranchements, nourrissaient parfois à sa place un rêve qu’elle ne comprenait pas de la même façon. Car où ils voyaient performance, elle, distinguait les émotions. Toutes les pressions qu’ils lui infligeaient, allant jusqu’à l’isoler du monde et la couper de relations avec les enfants de son âge, tout cela, Sybil les laissait déferler au bout de ses doigts sur les touches. Jouer était devenu plus qu’une habitude. Allant de la torture à la nécessité, il est des jours où elle avait simplement envie de tous les briser, tous ces adultes qui l’entouraient, lui murmuraient que si elle continuait ainsi, elle aurait une carrière brillante dans les plus hautes sphères de leur domaine. Mais rêve-ton d’une carrière, quand on est adolescent ? Non, pas vraiment.

Son premier amour était sans importance, presque accessoire. Ils avaient le même âge, le même tempérament. Il était un joueur émérite de violoncelle depuis l’enfance, comme elle. Leur histoire ne dura que le temps d’un soupire, rattrapée par leurs ambitions respectives de réussir qui ne valaient rien face aux plaisirs factices de la chair. Cette même ambition qui rendait toutes les histoires d’amour déliées de la musique impossible. Pourtant, un jour, quelques années plus tard, alors qu’elle fêtait ses vingt-quatre ans, elle fit une autre rencontre, plus décisive. Celle qui changea la vision qu’elle avait de l’existence, la nimba de délicatesses nouvelles. Il avait l’air sans âge, d’un charme délétère qui avait dû en attendrir plus d’une. Et il l’avait vue, plus qu’aucun autre avant lui. C’était un guitariste d’un boys band vieux jeu. Il avait une femme, deux enfants déjà grands, des rêves étouffés au profit d’un mariage qui ne le satisfaisait plus depuis des années. Il aimait la musique, presque autant qu’elle. Il avait cette fibre qui leur permettrait d’être liés l’un à l’autre. Mais voilà, son univers était ailleurs. Il avait beau se perdre dans ses rêves d’adolescents en venant jouer dans des pubs jusqu’à des heures indues, dès le lever du jour, il redevenait celui qui se calfeutre dans le carcan des règles imposées par la famille, et le mariage. Ils se sont aimés, sans entraves, sans fard. Quelques semaines, mois peut-être, guère plus. Sybil n’a jamais oublié le temps qu’ils ont passé ensemble. Elle sent encore, gravée dans sa chair, la marque de ses caresses sur sa peau blanche. Un jour alors qu’ils devaient se retrouver avant qu’elle ne monte sur scène pour jouer devant salle comble, il n’était simplement pas venu. A sa place, il avait envoyé un bouquet de lys dans lequel il avait simplement glissé une carte. De lettres manuscrites, i avait soigneusement écrit : « Je suis désolé, mon amour. » Et Sybil avait compris. Elle avait compris que toutes les beautés de leur histoire naissante étaient terminées, que tout était fini. Et en effet, dans un espoir désespéré de sauver les restes de son mariage brisé, il avait pris femme et enfants, et il était parti. Dans un ailleurs inconnu. Elle ne l’a plus jamais revu, depuis.

Cœur brisé, esseulé, l’homme avait laissé dans son sillage un souvenir, dont neuf mois plus tard, Sybil ne put se résoudre à se séparer. Sa mère, outrée que sa fille si « pure » ait pu engendrer une petite fille en dehors des liens sacrés, ou au moins d’une relation officielle, avait bien tenté de la convaincre. En vain. Elle l’avait gardée, l’avait prénommée Eléa, comme le personnage si beau de Barjavel, dont son père lui avait lu et relu l’histoire. Petite fille qui lui ressemblait trait pour trait, mais qui avait les yeux de son père, à l’évidence. Frein considérable pour sa carrière en devenir, elle se consacra tout de suite à son bonheur, vit en elle une perspective de vie inattendue. Un choix qui déplut à ses parents, surtout sa mère. Une dispute éclata entre elles, et les liens, momentanément, furent brisés. Sybil s’installa toute seule avec Eléa, pu grâce à ses économies leur offrir un train de vie décent. Mais dans son métier, on lui en demandait toujours plus. Représentations tardives, répétitions à n’en plus finir. Avec Eléa qui peinait à faire ses nuits, elle s’enlisait lentement, jusqu’à tomber dans un gouffre de fatigue qui ne pouvait avoir pour issue qu’une tournure dramatique. Cette dernière ne mit pas longtemps à arriver. Alors qu’en plein hiver, sur les routes humides, elle rentrait d’une représentation, elle s’assoupit au volant de sa voiture, sortit de sa trajectoire, et percuta un autre véhicule qui arrivait en face. Des deux passagers dans la voiture d’en face, il n’y eut aucun survivant. Quant à elle, son corps fut brisé.

Transportée dans l’un des meilleurs hôpitaux de la ville, le pronostic vital fut rapidement mis en place. Les médecins s’employèrent à sauver son corps, fracturé à plusieurs endroits. Son dos par exemple, qui avait encaissé des chocs éminemment brutaux. Ses jambes ensuite, qui avaient été en partie écrasées.  Par chance, aucune blessure ne lui avait été fatale. Et après une période de coma artificiel, suivi de plusieurs lourdes opérations, on en arriva à la conclusion qu’avec une rééducation prononcée, elle finirait par remarcher correctement. En revanche, pour ce qui était de cette cécité qui l’avait accablée lorsqu’elle s’était réveillée du coma, cela demeurait un mystère. La violence du choc, un coup reçu à la tête, les médecins ne pouvaient rien faire à part espérer qu’un jour, son état finirait par s’améliorer. Mais en attendant elle demeurerait aveugle, plongée dans l’obscurité. Une noirceur qui la terrorisa, tout de suite, la désorientant, rendant tous les contours de ce qu’elle connaissait très abstraits. Ses parents étaient revenus pour la soutenir bien sûr, pour s’occuper de leur petite fille aussi, qui n’était même pas en âge de comprendre. Le temps de sa convalescence, Sybil retourna dans la maison de son enfance, apprécia le soutient de ses parents qui se rendirent vite compte que tout en elle était à reconstruire. La cécité n’évoluait pas, demeurant présente. Les scanners ne révélèrent rien de plus que ce qu’ils savaient déjà. Une année passa, puis une autre. Deux ans à infliger à son corps une rééducation drastique, à crier de toutes les douleurs que ses propres membres lui faisaient subir, à apprendre une langue sensorielle, le braille, qu’elle ne connaissait pas du tout jusqu’alors. Tout cela, en délaissant sa chère musique, rêve brisé qu’elle se devait d’abandonner pour l’heure pour se concentrer sur sa vie en devenir.

Après deux années de convalescence, et à l’aube des trois ans d’Eléa, Sybil voulut partir, loin. Elle voulait leur offrir une vie qui n’appartiendrait qu’à elle, recommencer à zéro loin de tout ce qu’elles avaient pu connaître, et loin des gens qu’elles avaient eu l’habitude de côtoyer au quotidien. Alors après s’être renseignée, Sybil tomba sur une annonce. Un libraire de quartier, à Wellington, en Nouvelle-Zélande, revendait son fonds de commerce avant de partir à la retraite. Une opportunité qu’elle saisit, avec la peur au ventre de ne pas y arriver. Quelques semaines plus tard, aidée bien sûr par un organisme qui aidait les personnes souffrant d’un handicap à se réintégrer dans la société, elle arriva à Wellington, s’installa avec Eléa dans le petit appartement juste au-dessus de la libraire qu’elle venait d’acquérir. Cela fait deux ans désormais qu’elle y a ses habitudes, son quotidien. Un an plus tôt elle a racheté d’occasion un petit piano, avec lequel elle renoue lentement avec la musique, proposant en même temps des cours particuliers aux jeunes enfants du quartier pour arrondir ses fins de mois.




Bonjoour ! Je viens de voir que le nom de famille "O'Dalaigh" était déjà pris (ouijesuisunboulet (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  1846787581 ), du coup, sauf si @Seylan O'Dálaigh cherche un membre de sa famille, serait-il possible de changer mon nom en "O'Domhnaill" s'il vous plaît ? (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  2150563227
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 14:46)
bienvenue ici. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  1318934201 n'hésite pas si besoin. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  3471241513

pour le nom de famille, je demande à seylan de suite sinon, je fais le changement dans la foulée. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  4207362787

(et si tu es décidée pour félicity, peux-tu mettre le nom de ta célébrité en sous-titre de son sujet, s'il te plait ? (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  613702535)
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Lazaro Vasquez
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 14:48)
felicity 🤤
bienvenue sur le forum (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  2227089788 bonne chance pour ta fiche (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  2969373730
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 14:49)
Ma femelle aka la boulette.
Bienvenue ici my love (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  1106308784 (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  1106308784
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 14:50)
@Nohea Hastings Mercii (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  613702535
Parfait alors, merci beaucoup !
(Normalement, c'est fait !  (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  41734297 )

@Lazaro Vasquez Merci de ton accueil !

@Eleanore Forbes ; T'es pas mal seksy en blonde, femme. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  167779069 (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  1106308784
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 14:53)
seylan (ou un de ses autres comptes (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  3782170742) t'enverra un message dans la soirée pour en parler. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  613702535 donc je verrais avec elle s'il faut te changer ton nom au moment venu.
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 14:56)
felicity, quel choix parfait. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  3838048998 bienvenue parmi nous ! (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  2201629221
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 15:06)
ce choix (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  843243092 (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  843243092
bienvenue parmi nous :cara:
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - (Lun 1 Jan - 15:28)
Felicity, cette petite déesse brune, j'en suis folle. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  589507572 (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  3445291383 (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  2221190684
Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche, j'ai vraiment hâte de lire tout ça. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  2227089788
Je viendrai pour un petit lien. (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour.  2804261376
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Re: (sybil) j'ai dû faire demi tour, longer la rivière sans retour. - ()
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