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You can go to Hell, mother nature (heather)

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You can go to Hell, mother nature (heather) - (Dim 18 Sep - 19:53)

You can go to Hell, mother nature
heather & clarissa
Elle n'en pouvait plus, littéralement. Cela faisait au moins une heure que Clarissa était presque paralyser. Enfin, c'était un bien grand mot, c'est juste qu'elle n'arrivait pas à trouver le courage et la force de sortir de son lit. Auparavant, la jeune néo-zélandaise n'avait jamais eu aussi mal que cela. Comme toutes les femmes, elle était confronté à ce genre de problème chaque mois. Pour vérifier que le cadeau mensuel arrive à chaque fois au bon moment et surtout qu'elle ne se retrouve pas avec un enfant sur les bras dans moins de neuf mois, Clarissa avait installé une application sur son téléphone portable. C'était très utile surtout quand on sait qu'elle a un peu tendance à prendre du bon plaisir avec la gente masculine. Aussi féminine mais il y avait moins de problèmes de ce côté là pour cette histoire. Et puis clairement, vu sa manière de vivre, Clarissa n'était pas fait pour être mère. Tant pis, ce n'est pas avec elle que la lignée familiale perdurera par la suite, elle devra se contenter des gènes de son frère. Elle était sûre que ses parents n'y verraient aucun inconvénient à cela puisqu'à leurs yeux, elle était un peu comme la paria de la famille. Et elle, de son côté, ça l'arrange pas mal, tant qu'elle peut faire tout ce qu'elle veut de sa vie.

Son lit était complètement défait, ses draps étaient à moitié emmêlé et sur le sol de sa chambre. Elle se roulait en boule puis le moment d'après, quand elle se rendait compte que cette position n'était pas capable de calmer la douleur, elle essayait de rouler sur l'autre côté. C'est dans ces moments là qu'elle se disait que Dieu était en réalité une femme et jalouse de ses congénères. Après faut dire que Clarissa est pas du genre croyante donc elle peut très bien être une cible facile. « Le karma est une p*** » dit-elle comme s'il y avait quelqu'un dans la pièce alors qu'elle était complètement seule. Clarissa se rendit à l'évidence, elle avait besoin d'une aide extérieure si elle voulait survivre à cette épreuve. Pour cela, elle prit son téléphone qui se trouvait sur sa table de nuit et appeler Heather. Elle aurait pu lui envoyer un message mais elle n'avait pas assez de volonté pour taper sur les écrans. Vu son état, elle aurait probablement tapé n'importe quoi et Heather n'aurait pas compris donc autant aller plus vite. « J'ai l'impression que je suis en train d'accoucher ou voir de mourir, j'en ai marre... s'il te plaît, viens ». Au téléphone, Clarissa avait une voix qui se voulait être très faible. « J'ai pas fermé la porte à clef, il me semble donc tu pourras me trouver en train de mourir dans mon lit ».
electric bird.

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Re: You can go to Hell, mother nature (heather) - (Mar 20 Sep - 19:27)
But you don't wanna be high like me. Never really knowing why like me. You don't ever wanna step off that roller coaster and be all alone. You don't wanna ride the bus like this. Never knowing who to trust like this. You don't wanna be stuck up on that stage singing. Stuck up on that stage singing. All I know are sad songs, sad songs. Darling, all I know are sad songs.
Nolan, son fils, passait une fois encore la nuit chez son meilleur ami, Callem, un camarade de classe. Au début, Heather se retrouvait paniquée d’avoir son enfant aussi loin d’elle et surtout, sans savoir ce qu’il pouvait bien faire. A quoi pouvait-il bien penser ? Etait-il réellement en sécurité ? Son appréhension, que son portable sonne et que ce soit le père de l’autre enfant au bout du fil pour lui annoncer que Nolan était à l’hôpital. Heather était bien trop paranoïaque quand il s’agissait de son bébé. Elle en prenait soin comme la prunelle de ses yeux. C’était sa vie, son unique rayon de soleil. Les premières fois, Heather ne trouvait pas le sommeil de toute la nuit, vagabondant entre son lit et le canapé. Puis ce soir, elle a finit par prendre l’habitude. Peut être même un peu trop ? Allongée sur le canapé, avec de grosses chaussettes mickey mouse pour lui tenir chaud, elle s’empiffrait d’un immense paquet de chips à la sauce barbecue devant un film d’horreur. Un spin-off de The Conjuring, Annabelle. Elle avait toujours eu envie de voir ce film mais ce n’était jamais évident de se libérer pour aller le voir au cinéma, sans Nolan bien évidemment. Toujours une obligation familiale lui tombait sur le nez. Un rendez-vous parents-profs à l’école où elle était bien évidemment la seule mère célibataire de tous les enfants de la classe. Ou alors, emmener Nolan à ses activités extrascolaires. La vie d’une mère est mouvementée et fatigante. Alors ce soir, elle prenait cette nuit de tranquillité comme une récompense pour ces huit dernières années de dur labeur.

Peut être avait-elle parlé trop tôt. La sonnerie de son téléphone portable déposé sur la table basse de son salon se mit à retentir accompagné du vibreur. Elle mit un moment à décrocher, se demandant si elle ne pouvait pas tout simplement prétendre qu’elle n’était pas là. Perdue dans ses pensées, elle n’a pas fait attention à son portable qui s’est déplacé avec le vibreur et qui est tombé au sol. « Merde ! »  Lâchait-elle en tendant le bras pour le ramasser. La photo de Clarissa avait pris possession de tout son écran. Un sourire se glissait sur les lèvres en même temps qu’elle acceptait l’appel. « Bonsoir jolie brunette ! »  lançait Heather. Mais la voix de Clarissa à l’autre bout du fil lui effaçait directement son sourire. On sentait clairement qu’elle n’était vraiment pas bien, malade même. Mais quand elle lui expliquait vraiment la cause de son malheur, Heather ne pouvait s’empêcher d’éclater de rire. « Ah, c’est ça d’être une femme ma pauvre lucette ! » Riait-elle aux éclats en entendant son amie rouspéter. « Je suis chez toi dans vingt-minutes. » Terminait-elle en raccrochant. Mère un jour, mère toujours et pour tout le monde en plus. Elle prit un sac en plastique dont elle se servait pour faire les courses et le remplit de diverses cochonneries pour passer cette soirée entre fille. Comme promis, vingt minutes plus tard, Heather était devant la porte de l’appartement de la brune. Suivant ses instructions, elle poussait la porte qui était ouverte pour la fermer à clé derrière elle. Réflexe qu’elle avait même chez elle, les rues ne sont plus aussi sûres qu’autrefois. « C’est moi ! »  S’annonçait-elle. Elle entendit simplement une faible voix émanant de la chambre de son hôte. C’est affalée en position fœtus dans son lit qu’elle trouva Clarissa. Elle vint s’installer alors rapidement vers elle, en posant ses sacs aux pieds du lit. « Oh ma pauvre, je t’ai apporté plein de réconforts ! » S’exclamait-elle en la prenant dans ses bras dans un premier temps, comme elle le faisait avec son fils quand il était malade.
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