| | we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan | |
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Invité
| we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Ven 26 Aoû - 19:23) |
You should go and love yourself
Lachlan Westbrook feat dylan o'brien | | nom westbrook. prénom qui se fait entendre auprès des riches hommes d'affaires ou encore auprès de quelques réalisateurs à la recherche de talents. toi, t'es juste le fils. le gars qui a tout foiré, mais qui en est fier. prénom(s) lachlan. un prénom que ton grand-frère avait choisi parce que son meilleur ami s'appelait ainsi. stewart. ta mère adorait tout simplement ce prénom, aucune histoire derrière cela. âge vingt-quatre ans. tu te rapproches du quart de siècle, mais tu n'y portes pas grande importance. t'es toujours aussi jeune dans ta tête. naissance t'es né un quatre mars 1992. quand tu étais gosse, tu avais droit à des fêtes d'anniversaires avec des gosses que tu n'aimais pas et tes parents n'étaient là que pour une trentaine de minutes. le travail, qu'ils disaient. nationalité tu es né en floride, américain de nationalité. origines ton père est américain ainsi qu'australien alors que ta mère est néo-zélandaise. statut civil tu n'es pas très doué avec les filles, la drague, ce n'est pas pour toi. célibataire, tu as toi-même largué ta copine : elle ne sortait avec toi pour la simple et bonne raison qu'était celle-ci : t'es un westbrook. orientation les yeux rivés sur les filles, les mignonnes, les rires cristallins et les yeux pétillants. hétérosexuel depuis ta plus tendre enfance. profession pâtissier à la boulangerie kaida. le sourire toujours collé aux lèvres. argent riche, mais tu refuses l'argent de tes parents. tu vis par tes propres moyens même si ton père veut t'aider et que ta mère suit le mouvement, comme à son habitude. tu refuses. tu es donc dans la moyenne, tu te vois parfois rêver de plus, mais ce n'est pas pour toi. Lachlan, il bosse dans une boulangerie et chaque matin, il a droit à des compliments différents. Il a ses clientes fidèles et il les apprécie. Elles sont marrantes, attentionnés et elles le maternent presque. Elles sont toujours présentes, toujours à raconter leurs mésaventures et Lachlan, il écoute. Lachlan est l’épaule sur laquelle on peut se poser et parler pendant des heures. Attentionné, d’après ces vieilles dames, il n’est pas rare qu’il ajoute un ou deux croissants dans les sachets, qu’il glace des petits mots sur les pâtisseries, des blagues, des rappels. En bref, il a toujours une idée derrière la tête. Ensuite, on dit de lui qu’il est mystérieux. Il ne dit jamais rien sur lui, ni sur son passé ou encore sur sa famille. Il n’apprécie pas cela. Lachlan ne parle pas de sa famille car il en a honte, car cela lui rappelle James et James, ça lui fait mal. Sa famille bien trop connue et appréciée de tous alors que ce ne sont que des hypocrites avides d’argent et d’une réputation hors du commun. Ils sont en haut de l’échelle et Lachlan fait partie de ses personnes en bas de l’échelle, d’après les Westbrook. Se lever tôt le matin, travailler pour gagner son argent et ne pas user des autres et de leurs confiance pour réussir. Courageux, d’après ta petite soeur. Parce que tu as continué à sourire après tout ce drame, parce que tu as préféré aller de l’avant et surtout, parce que tu ne suis pas le chemin de tes parents. Tu es toujours présent, t’es là et tu s’ras toujours là et ça, Hailee, elle le sait. Tu n’abandonnes jamais rien. Lachlan, c’est aussi un garçon très souriant et peu sérieux, il ne cherche pas à se prendre la tête. Il est libre de faire ce qu’il veut. Libre. Sans règles, il avancera comme il en a envie. Il a du mal à garder son sérieux, même dans les situations où il doit l’être. C’est con, mais il est ainsi et ne s’en cache pas. Ses parents le disent têtu et ils s’avèrent qu’ils n’ont pas tort du tout. S’il a quelque chose en tête, il fera tout pour y arriver. Il se bat pour ce qu’il croit juste et il est rare qu’on sache lui faire changer d’avis. Il n’est pas impulsif, cependant, une fois en colère, il l’est vraiment et a du mal à gérer cette colère. Il est donc violent quand ses nerfs chauffent et qu’il ne va pas réellement bien. Mais, habituellement, Lachlan est quelqu'un d’aimable, d’optimiste et de souriant. | positive minds. |
Play with the Fortune Teller. | amusez ≈ vous bien ≈ avec lachlan, keurC’est une optimiste né. Il a vécu énormément de choses, dont le suicide de son aîné et il a toujours gardé le sourire, même si intérieurement, il souffrait. Il tente de toujours rester positif, même quand les pires crasses lui arrivent. Il privilégie le bien des autres avant le sien. Il voit les choses ainsi, lui est moins important. Il n’est que ce petit Lachlan perdu dans ses rêves alors que les autres sont au-dessus. Ses parents l’ont toujours traités ainsi et forcément, cela a laissé une marque. Il vit dans son monde avec ses idées, ses rêves et ses règles. Il croit en tout et en rien, il garde le sourire quoi qu’il puisse arriver. En bref, Lachlan c’est un rayon de soleil. |
pseudo, prénom md, pauline. âge quinze ans. pays, région belgique/vancouver d'ici le 28. connexion 3 voir 4 jours sur sept. où as-tu connu le forum ? bazzart. personnage inventé. dernière bafouille |
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| Re: we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Ven 26 Aoû - 19:24) |
send my love.
Tu fermes ton bouquin, ranges ton bic et fous tout cela dans ton sac à dos. Tu quittes ta chaise pour ensuite te faire bousculer dans les couloirs du lycée. Tu n'as jamais été un grand fan de la foule, tu n'aimes pas cela, tu te sens trop serré et les gens ne font jamais attention à où ils mettent les pieds. Tu te sens mieux après avoir posé un pied en dehors de l'enceinte. Ta journée de cours est terminé, tu peux retourner dans ton trou à rat, autrement dit, votre habitat. Mal entretenu, trop petit et peu apprécié. Tu n'aimes pas l'endroit où tu vis, mais malgré cela, tu fais avec. Tu te vois encore heureux de pouvoir suivre des études, de pouvoir manger et de tenir debout. T'es pas le plus chanceux des garçons, mais tu te vois forcer de faire avec. Tu sais que ta mère sera à là-bas, elle ne travaille que la nuit et elle ramène parfois un homme à la maison : Ta mère est une prostituée. Quand la prof à demander de ramener un parent pour présenter son travail, tu as refusé, tu as dit qu'elle était trop occupée. Tu ne voulais pas présenter ta mère à tes camarades, tu aurais reçu encore plus de moqueries que tu en avais déjà. T'étais plus la victime que la brute, à cet âge là. T'as chopé tes clés dans la poche de ton pantalon, à peine la porte ouverte que tu as compris que ça allait recommencer. La voix d'un homme, ce n'était pas ton père, mais bel et bien un inconnu. « Allez Abbey, ton fils n'est pas là, profitons-en. » Tu fronces les sourcils, tu as quatorze ans et tout cela n'est que ton quotidien. Des inconnus qui franchissent le pas de ta porte, qui font des avances à ta mère, tu dois leur servir à boire, faire à bouffer et ranger l'appartement car ta mère ne le fera pas à ta place. T'es l'esclaves des conquêtes de ta mère et ça te tapais sur le système. Tu n'avais pas de remerciements, ni même de formule de politesse. Tout ceci était normal, et même-toi tu avais trouvé une certaine normalité là-dedans. Tu l'avais fait pour ton bien, pour ne pas pleurer, pour ne pas crier. Tu ne t'es pas caché, tu as traversé le salon, mâchoire serrée. Tu n'as pas regardé ta mère, ni l'homme. Tu as juste trouvé réconfort en le bousculant, faisant semblant que ce n'était pas voulu, tu lui as fait ton baratin pour finalement, ne pas t'excuser. Tu es parti t'enfermer dans ta chambre, tu as balancé ton sac à travers la pièce et tu t'es allongé sur ton lit qui avait échappé quelques grincements, d'ailleurs. Tu as soupiré avant de tourner vivement la tête vers la porte, tu avais entendu un gros bruit et tu n'étais pas rassuré. Tu te sentais désolé pour ta mère, mais cet homme faisait le double de ta taille, tu ne pouvais rivaliser. Elle devait gérer cela par ses moyens, parce que toi, enfant fragile, tu n'avais ni la force, ni l'envie de faire face à la conquête de ta mère. Tu n'avais pas encore perdu la raison, tu savais réfléchir et voir où menait tout cela : toi, à terre. C'est tout ce que tu pouvais voir. Tu as entendu un autre bruit, ensuite ta mère qui marmonnait des mots, lentement au départ avant qu'elle ne se mette réellement à crier. Tu n'as pas pu rester dans ta chambre, tu est sorti de là et dans le salon, tu as poussé l'homme. Il n'a bougé que de quelques centimètres, pour ne pas dire un seul centimètre, en réalité. « Ne touche plus à ma mère ! » Il a rigolé et tu as pu voir dans les yeux de ta mère qu'elle avait peur. Tu savais ce qui allait suivre, mais tu restais de marbre, tu ne pouvais montrer ta peur. T'étais quelqu'un de fort. Pas un garçon fragile qu'on pouvait ridiculiser. Il s'est redressé et a rapidement regardé ta mère, il n'était pas le plus heureux des hommes à cet instant. « Une saloperie. Comme sa mère, on dirait bien. » Tu as grogné et serré tes poings. Tu n'étais pas de taille, c'était une certitude. Tu as déglutis et tu as couru. Tu étais plus rapide que lui, tu pouvais t'en réjouir. Enfin, jusqu'à ce que tu te retrouves coincé dans la cuisine. Là, tu étais dans la merde. Tu avais prier pour que ta mère vienne t'aider, le mettre à terre ou qu'elle appelle les voisins, par exemple. « M'man, appelle Cal ! » Tu t'abaissais en voyant un verre voler. Il venait de te balancer un foutu verre à la gueule, et ce n'était que le début. Tu te retrouvais agenouillé au sol, te protégeant le visage. Tu priais pour en sortir vivant et pas trop amoché, mais tu ne comptais pas sur lui pour t'épargner. Il puait l'alcool et la cigarette, comme tout les autres et cela te répugnait. Tu n'avais pas entendu la porte s'ouvrir, ni se refermer, ta mère n'était pas sortie, pas encore. Tu avais eu le temps de relever les yeux et de voir ta mère broncher en tentant de l'éloigner de toi. C'était facile pour lui, il avait suffit qu'il ne la pousse pour qu'elle se cogne violemment au mur. Seulement, ta mère avait été d'une grande aide. Tu avais eu le temps de choper un couteau de cuisine, rien de bien grand, mais tu savais que c'était efficace. « CALUM RAMENE TON CUL. » Que tu avais crié en tapant sur le mur de la cuisine, qui te faisait dos. Tu savais qu'il entendrait, les murs n'étaient pas insonorisés, ici, dans vos deux loft pourris. Calum, âgé de deux années de plus que toi, tu l'vois comme ton grand-frère. Il sait ce que fait ta mère, il sait tout de toi et surtout, il connaît les mauvais gars comme celui-ci. Calum, c'est pas le plus clean, mais tu lui fais confiance. Il s'approche, tu grimaces et tu te relèves. Tu n'as pas le temps d'agir que tu te retrouves collé au mur, violemment, comme ta mère. Sa main serre ta gorge, tu deviens rouge pour cause, tu ne sais plus respirer. Tu te débats, tu tentes de lui shooter dans la jambe, mais rien y fait. La seule option que tu trouves, c'est user de ce fameux couteau contre ta volonté. Tu sais que ce n'est pas rien, mais tu es tellement en colère et tu dois le faire, tu dois lui foutre ce couteau en plein dans le bide pour qu'il te lâche. Et c'est ce que tu as fait, les yeux humides par peur manque d'air, tu as pu lui mettre le couteau d'abord dans la hanche, ensuite un peu plus vers le bide. Il t'a lâché et tu t'es laissé tomber au sol, comme un faible. Calum s'est ramené juste après, il n'a pas compris, mais il a eu le bon reflex d'appeler directement les urgences. Non pas pour l'homme au sol, mais pour toi. Il y avait du sang partout et il n'a pas cherché à savoir d'où celui-ci provenait. Ce n'était pas le tien, mais bien celui de l'homme. Tu avais bien terminé à terre, mais t'étais pas le seul à être tombé : Il était tombé avec toi. Tu déposes une fleur sur sa tombe, la mâchoire serrée. Toute la famille est réunie : Ton père plein aux as, une mère changée et désormais connue, une petite soeur en pleurs ainsi que des grands-parents dévastés. James, il vous a quitté. Il est parti sans rien dire. Vous êtes seuls, désormais. Le trio devient un duo, comme indiqué sur la lettre qu’il vous a laissé. Un au revoir, un adieu. Tu n’as rien pu lui dire et merde, ce que tu peux te haïr pour cela. Tu recules, jettes un vague coup d’oeil au reste de la famille avant de baisser la tête. Tu t’en veux, tu as cette boule dans la gorge et les larmes qui s’écoulent presque le long de ta joue. Tu as retrouvé ton frère mort dans votre appartement, des comprimés sur le sol, un tabouret et une corde. Ton frère aîné s’est pendu après avoir ingurgité une tonne de médicaments et tu as découvert ce cauchemar. Tu as été sous le choc pendant un bon moment et même lors de l’enterrement, tu étais à moitié là. Désorienté, tu as du voir un psychologue et parler, encore et encore. Le début commençait toujours par ton prénom et la cause de ton trouble. « Lachlan, on y va.» Tu relèves ta tête avant de suivre le reste de la troupe. Laissant ton frère derrière toi, tu avances. C’est le conseil que tu as reçu à toutes les reprises : Restes fort et continues d’avancer. Sauf que jamais, ils n’ont su te dire comment tu devais faire cela. On te donne la moitié du puzzle et tu es censé te débrouiller avec cela.
- Page 131. Deuxième journal.
Mardi 4 mars 2016, 7h00.: « James, Je sais que tu ne verras jamais ses mots, mais on me l’a conseillé. On m’a conseillé bien des choses, tu sais ? Depuis ta mort, les conseils filent et je n’ai pas le temps de réaliser. Fais-ci, fais cela, on se perd rapidement. Hailee va bien. Du moins, c’est ça qu’elle me dit chaque jour. Je sais que ce n’est pas vrai : Tu lui manques, maman et papa aussi. C’était son anniversaire, il y a moins d’une semaine et les parents ne sont pas venus. Le travail. Elle a changé, maman. Depuis qu’elle a été engagée, c’est différent. Son film est sorti, on la reconnaît, on demande des autographes et même si tu es parti, sache qu’on parle de toi ici. Twitter, Instagram, Facebook, il parle du défunt Westbrook; James. Tu manques, Jamie. Terriblement. J’me souviens encore des promesses, de cette visite de Los Angeles, du surf et même d’un possible mariage entre Maïa et toi. Maïa me parle souvent de toi, de l’amour que tu lui portais et Maia me fait comprendre qu’on a toujours quelque chose, même si on t’a perdu. Elle me fait croire, encore. Elle me dit que tu nous observes et je t’avoue que cela me fait un peu flipper. C’est glauque. Elle est marrante, toujours là pour Hailee. C’est réconfortant. La vie était noire et blanche et désormais, elle reprends de la couleur. Je devrais probablement la remercier ou encore remercier notre petite soeur. Elle dessine, elle te dessine, elle nous dessine. Et c’est beau. J’admire Hailee. Elle est restée forte et peu à peu, j’y arrive moi aussi. C’est tout pour aujourd’hui. Une demie-page, simplement. Un bref de nouvelles avant de retrouver ma vie quotidienne. Avec tout mon amour de petit frère, Lachlan. »
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| | | | Invité
| Re: we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Ven 26 Aoû - 19:26) |
PAULINEEEEEE J'approuve tous tes choix, du pseudo, à l'avatar, au titre, et j'ai hâte de voir ce que tu vas nous pondre Bienvenue parmi nous chaton, bonne rédaction N'hésite surtout pas à harceler le staff pour tes questions ou juste comme ça :hii: :hii: :hii: |
| | | Invité
| Re: we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Ven 26 Aoû - 19:26) |
OH UN BÉBÉ DYLAN bienvenu toi |
| | | The Fortune Teller
Who you are› posts : 1742 › faceclaim : amor fati.
| Re: we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Ven 26 Aoû - 19:31) |
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| | | Invité
| Re: we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Ven 26 Aoû - 19:36) |
dydy le plus beau, trop bon choix bienvenue sur tgp, bon courage pour la rédaction |
| | | Invité
| Re: we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Ven 26 Aoû - 21:12) |
Olala comment Dylan me manque là Du coup, ça fait plaisir de voir de voir sa bouille dans le coin, j'suis pressé de voir ce que tu vas en faire et puis bienvenue évidemment |
| | | Invité
| Re: we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Sam 27 Aoû - 6:36) |
Tu sais que j'ai de très très très vilaines idées quand j'te vois là ? :creep: Réserve moi un lien avec BB O'Brien Bienvenue sur TGP |
| | | Invité
| Re: we'll be lucky if we ever see the sun ◊ lachlan - (Sam 27 Aoû - 12:03) |
JCOZHUZOFIO cette histoire je Réserve-moi un lien, entre gosses de riches, avec Millie Bienvenue sur The Great Perhaps ! Ca y est, tu es enfin validé ! N'est-ce pas merveilleux ? Tu vas pouvoir pleinement participer à la vie active de the great perhaps. Mais avant toute chose, laisse moi te guider pour débuter ton aventure. :heart2: Dans un premier temps, vérifie que ton avatar et pseudo soient bien dans les bottins. Parce que nous sommes parfois tête en l'air Une fois que tu as bien vu que notre boulot d'admin a été fait (ou pas), il faut passer à la deuxième étape qui est de s'enregistrer aux listings. Don't panic ! Il n'y en a pas beaucoup, juste deux. Pour ta convenance personnelle, un guide des lieux est disponible afin que tu puisses t'y retrouver quand tu veux rp ! Après, libre à toi de te créer ta fiche de liens, tes scénarii et de blablater avec les membres pour créer une superbe communauté ! Tu as du remarquer aussi que tu avais été ajouté à deux groupes. L'un correspond à ton personnage et le second est un groupe de flood. Pour faciliter l'intégration entre les membres de the great perhaps, nous les dispersons en trois groupes qui sont chaperonnés par un membre de l'équipe admin. Celui-ci sera ton admin référent, c'est-à-dire que si tu as besoin de quoique ce soit (ou même de rien), il te suffit de l'harceler bien comme il faut Nous avons donc fait le tour de la situation, il nous ne reste plus qu'à te souhaiter un très bon jeu sur the great perhaps ! | bottin d'avatars bottin des pseudos les listings récap des lieux
groupe de flood les kiwis. admin référent : luke davis |
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