Aliénor • Je suis le maitre de mon destin, le capitaine de mon âme.

Partie anecdotes : aussi la partie où tu te lâches, tu peux écrire tout ce qui te passe par la tête sur ton personnage. Ça te permet de bien le développer dans ta tête, que ce soit sur son caractère, ses souvenirs importants, ses phobies, ses passe-temps, si il collectionne les timbres ou si il aime chanter sous la douche. Cette partie est facultative si tu décides de rédiger uniquement l'histoire! Cependant, si tu décides de ne pas rédiger la partie histoire, tu devras développer un minimum de 10 anecdotes. Have fun!

pseudo/prénom : c'est quoi ton blaz ? âge : et pas de mensonge hein. pays : pour savoir si t'as un accent pourri ou pas... connexion : écrire ici la fréquence à laquelle tu te co. où as-tu connu le forum ? : juste pour info. personnage inventé/scénario/pré-lien : (préciser le pseudo du créateur) dernière bafouille : vasy lâche toi.

Tu as pour prenom Aliénor Elisabeth, prenom donné par tes parents lors de ta naissance le 24 fevrier 1990 à Philadelphie. Tu arrives dans une famille très riche tu es sur que tu manqueras de rien. Tu es la quatrieme enfant de la famille Berkeley, tu as deux grands-frères et une grande sœur. Grace à eux, tu grandis et tu apprends tellement de choses a leurs côté. Ton enfance a était très strict, a la maison ça filait droit. Tes parents travailler beaucoup alors, ce sont des gouvernantes qui nous ont élevé. Malgré cela, tu étais heureuse dans cette grande famille. Comme tes frères et sœur, quand tu as eu 4 ans tu as eu le droit a des cours de musique. Tu as appris le piano, tu adore jouer du piano, tu as appris a chanter aussi.A l'âge de 5 ans, tu voulais faire de la danse, tu as donc été inscrite dans la meilleure des écoles de danse de la ville. Tu aimais te défouler, tu aimais apprendre de nouveau pas et chorégraphie. Ta famille était tes premiers fans. Quand tu as eu l'age d'aller a l'école, tu étais contente d'y aller, mais comme tes ainés, tu es allé dans une école privée comme toute famille riche. Alors que tu avais 8 ans, tu apprends que ton grand-père paternel est décédé d'une crise cardiaque, tu l'aimais tellement, tu es tellement touché par sa disparition, qu'il te faut quelques semaines pour te remettre de cette disparition. Ton père à hérité de sa société, il est devenu le PDG de sa société, il espère que l'un de vous reprennent les reines un jour. Avec cette promotion, ton père étais encore moins présent à la maison, déjà qu'il était souvent absent. Quand tu es rentré au lycée, à l'age de 17 ans, fini les écoles privées, tu rencontre un jeune homme, qui te plait. Il deviens ton meilleur ami, mais de son côté il est amoureux de toi et toi aussi tu as eu un coup de foudre pour lui. Personne n'avoue ses sentiments pour l'autre, tu le regarde discrètement en cours, des jeux de regards était bel et bien la, mais aucun de vous n'a franchi le premier pas. Un jour, ton père te présente un homme, un jeune homme qui va devenir ton mari. Tu ne pouvais pas refuser, car tes frères et sœur on eu la même chose que toi et c'était bon pour les affaires. Tu as du apprendre a le connaitre, vous avez vecue ensemble quelques semaines après votre presentation, tu as fait ta premiere fois avec ce jeune homme. Il avait l'air bien comme jeune homme, mais ta famille ne le trouvais pas assez bien pour toi, sauf ton père qui ne faisais que des éloges sur lui. Le mariage à eu lieu quelques mois plus tard, lors de tes 22 ans. Quelques mois après ton mariage, ton mari t'annonce, qu'il a une promotion et tout les deux vous demenager à Wellington en Nouvelle Zélande , il faut que tu te separe de tes proches et de ta familles, une choses bien dur pour toi. Tu sens que quelques chose à changé chez ton mari, il n'est plus aussi doux et tendre qu'avant. Tu avais été accepter à l'école de police, en rentrant tu devais t'occuper de la maison et de ton mari. Ton mari avait bel et bien changé, car tu avais remarqué qu'il te faisait faire de choses que tu ne voulais pas. Il lui arriver de vouloir faire l'amour alors que tu n'avait pas envie ou que tu été indisposée, il trouvait toujours un moyen pour se soulager et d'arriver à ses fins. On ne faisait plus l'amour, tu étais forcée de faire l'amour avec lui, il t'as violé plus d'une fois avec des marques sur le corps, ce n'était plus de l'amour entre vous. Plusieurs fois tu t'es retrouvé nue sur le lit, en pleure après l'acte, tu n'a jamais osé porter plainte. Tes amis et collègues de la police, sentait que quelques chose n'allait pas, mais tu leur disais que tout allait bien. Ton mari était vraiment devenu un autre homme, il te frapper, te rabaisser, il te disait que tu n'étais qu'une merde. Tu es tombé enceinte de ce monstre, après plusieurs viols tu es tombé enceinte. Comme tu ne voulais pas de bébé avec lui, tu faisais tout pour le perdre, tu ne voulais pas avorter ce n'était pas dans ta vision des choses. Un jour, alors qu'il n'étais pas la, tu as fais exprès de tomber des escaliers, les pompiers t'on amener à l'hôpital, tu était bien amochée de ta chute dans les escaliers, le fœtus n'avait aucune chance de survivre et les médecins te l'ont annoncé. Tu était triste, mais contente qu'il ne sois plus parmi vous, tu t'en ai voulue pendant les quelques jours où tu été à l'hôpital en observation. En rentrant chez toi, quelques jours plus tard, ton mari s'était demandé où tu été passé, tu lui a annoncé la mauvaise nouvelle, tu pensais qu'il allait comprendre, mais ce n'était pas le cas. Sa réaction ? Il t'a giflé, mais pas qu'une seule gifle, des coups de poings aussi. Il t'a fait tomber par terre, tu pensais qu'il allais s'arrêter, mais il a continuer alors que tu été par terre, il en à profiter pour te violer et il t'a laissé comme morte dans votre maison alors qu'il était dans le canapé avec une bière a la main. Les voisins, on entendu tes cris, tes hurlements, ils ont appelé la police. A moitié nue, le visage en sang, a peine consciente, ce sont tes collègues de la police qui l'ont arrêté. Tes collègues t'ont amené de toute urgence à l'hôpital, tu es tomber dans un coma après les coups que tu as reçu. Tu as eu quelques côte cassé, le visage tuméfié, mais tu ne te réveillé toujours pas. Cela fait quelques semaines que tu as repris connaissances, tu te souviens de ce qu'il s'est passé. Les médecins vont te laisser sortir et tes collègues attendent ton retour avec impatience.