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Girls like girls, like boys do'

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Girls like girls, like boys do' - (Ven 2 Déc - 22:47)
Mon amour, mon âme-soeur, mon rubis

Jade Deauclaire
feat Mathilda Benmark
nom Deauclaire
prénom(s) Jade
âge 22 ans
naissance 25 Décembre à Montpellier
nationalité Française
origines Française.
statut civil Célibataire...
orientation Lesbienne
profession Chanteuse, guitariste
argent Modeste
❇ ❇ ❇
Jade n'est pas parfaite et elle a bien des défauts, comme chaque humain peuplant cette Terre, mais s'il est une qualité qu'il faut lui reconnaître, c'est qu'elle n'est pas méchante le moins du monde. Au contraire, il s'agit d'une personne qui est bienveillante au possible. Une fois par mois, ce qui peut certains est peu, mais pour elle beaucoup, elle se rend dans un centre pour sans-abri et en plus de denrées alimentaires, elle offre un peu de réconfort aux personnes présentes en chantant, sans rien vouloir en retour que de voir face à elle de nombreux sourires.

Sa bienveillance fait qu'elle est effacée, réservée pour certains. Si elle prend plaisir à tendre la main, elle n'aime pas être au centre des attentions. Chose surprenant puisque son choix de carrière fait qu'elle se retrouve sur scène, parfois devant dix personnes, parfois bien plus que cela, mais elle ne s'associe pas à cette image commune de la star de la chanson, adulée de tous et qui signe des autographes à tour de bras. Bien sûr, elle est contente de réussir dans ce domaine qui lui plaît tant, mais elle garde la tête sur les épaules, consciente que la réussite musicale peut vous tendre la main un jour et, le lendemain vous faire plonger sans retour possible. Jade est donc une personne réaliste, consciente de ses capacités et des choses qu'elle doit encore faire pour devenir meilleure qu'elle n'est actuellement.

positive minds.
Play with the Fortune Teller.
Son job Son côté bienveillant Son attirance exclusivement lesbienne
Ce n'est pas sans raison, et ce n'est pas sans mal que Jade est devenue chanteuse. C'est au travers de ses chansons que la jeune femme raconte son parcours, ses épreuves. C'est grâce aux mots qu'elle a su faire face aux obstacles, aux réactions de ses parents et proches suite à son coming-out. Pas question pour elle de faire autre chose de sa vie, tant que sa santé lui permet, c'est sur scène qu'elle évoluera, le sourire aux lèvres.

Comme les Pokemons, on évolue en grandissant et Jade n'est pas une exception à la règle. Cependant, si elle sait parfaitement qu'elle changera sur certains points, pour elle il est hors de question qu'elle cesse d'être bienveillante. C'est sa façon d'être, sa façon de vivre et elle ne sentirait plus elle-même si elle n'était plus du genre à tendre la main.

Les hommes ? Jamais.La chanteuse n'a pas la moindre haine pour ce sexe, elle a de très bons amis masculin, mais jamais la relation avec le sexe opposé n'ira plus loin que cela. Elle n'a jamais eu la moindre attirance, même faible, pour un garçon. Son corps, son cœurs et son esprit ont toujours voulu être la cible d'une autre demoiselle, c'est comme ça, même si elle n'en a eu conscience qu'à ses quinze ans.

Jade c'est la joie de vivre incarnée, c'est un sourire aux lèvres du matin au soir. C'est une rêveuse qui se perd souvent dans les étoiles, mais qui garde les pieds sur Terre et réalise chaque jour un pas vers la concrétisation de ses nombreux souhaits. C'est aussi quelqu'un qui tend la main aux autres, qui aime faire des rencontres, c'est une fille positive au possible.

pseudo, prénom Moonstorm. âge 24 ans pays, région France, Occitanie connexion Un peu chaque jour, quand la wifi est pas capricieuse où as-tu connu le forum ? sur facebookpersonnagescénariodernière bafouille C'est bientôt noel <3.


This, is my story

Quand je prends la plume, c’est pour écrire une nouvelle chanson, en me basant sur un pan de mon histoire, pas toujours le plus rose, pour dire aux autres, à ceux qui apprécient ma voix qu’il ne faut jamais dire jamais et que rêver est l’une des choses les plus importantes au monde. Pourtant depuis peu et sous les conseils d’un ami proche,  je n’écris plus juste pour la scène, pour un prochain album ou un quelconque passage à la radio, refusant pour l’instant la télévision. Maintenant, j’écris aussi tout simplement pour moi, ce que je faisais un peu avant c’est vrai. Ce que je veux dire c’est que j’écris mon autobiographie parce que la vie est longue, ou courte, triste ou au contraire joyeuse et que c’est l’ensemble de ce que l’on traverse qui fait qui nous sommes. Ne pas changer sa façon d’être et ce, envers et contre tout. Ne pas se mettre dans le moule, comme dirait certains, ne pas vouloir être madame ou monsieur premier venu, mais au contraire être une personne unique. Enfin bon, voici mon histoire, l’histoire de Jade Deauclaire, jeune femme à la douce voix, bienveillante, lesbienne qui s’assume complètement et qui croque la vie à pleines dents.

Mon prénom est donc Jade, mais cela n’a rien à voir avec le jour de ma naissance. Nœl, la venue au monde de Jésus, pour des croyants comme mes parents, cela ne pouvait qu’être un signe de l’être divin. J’étais pour eux une bénédiction alors que je me contentais de pleurer sans en avoir conscience. Ma foi pourquoi pas, vous me passerez le jeu de mot j’espère. En tout cas, de ce que je sais de ce jour quand même important pour moi, contrairement à ce que la ville avait pour habitude, même l’Hiver venu, Montpellier était sous la neige. Mon père, Arthur Deauclaire au passage, a toujours dit que le premier flocon a fait la rencontre du sol au moment précis de mon premier cri sur Terre. Je ne sais pas si c’est vrai, je ne le saurais jamais, cela ne changerait rien de toute façon. En tout cas, j’imagine la scène parfois et même si elle n’est que fictive, je lui trouve une agréable poésie. Pour en venir à mon prénom, c’est une idée de ma mère, Lucie Deauclaire née Lefebvre. Quand mon père lui a fait sa demande en mariage, c’est en lui présentant un anneau sur lequel dormait un beau morceau de Jade. Encore une fois, un brin de poésie autour de mon existence, puisque c’est en souvenir de ce jour magique pour eux que j’ai reçu mon joli prénom, que j’aime beaucoup pour ceux qui se poseraient éventuellement la question.

J’aurais pu être fille unique, mais non. Deux années après ma naissance, c’est au tour de ma petite sœur, Pearl, de voir le jour et de découvrir à son tour ce monde qu’est la Terre. Pour moi c’était la fin de toutes mes habitudes, du moins un temps. Jalouse ? Je l’étais bien sûr, je n’avais que deux ans après tout et voir ce petit être étrange ne m’a pas toujours fait sourire. Néanmoins, ses yeux qui ont rapidement prit une teinte verte pour ne jamais en changer ont eu raison de moi. En plus, des années plus tard, un peu plus d’une décénie en fait, elle fut le pilier important dont j’avais besoin, mais nous ne sommes pas encore à cette période de ma vie. Jusqu’à mes huit ans, nous avons vécus dans une maison aux abords de Montpellier, puis à l’approche de ma neuvième année, et donc de la septième de Pearl qui, au passage, aura elle aussi eu la bonne idée de venir au monde un vingt-cinq Décembre comme moi. Donc disais-je, alors que j’approchais de mes neufs ans, mon père a eu une promotion dont il rêvait depuis bien longtemps, ce qui résultat en d’autant plus de joie dans notre famille, du moins dans les normes stricts et religieuses de l’éducation qu’ils avaient tous les deux reçus. Le seul petit hic dans cette histoire ? C’est que nous avons dû partir de Montpellier, partir du sud de la France, en fait on a même dit au-revoir à notre patrie. Pourquoi ? Parce que le nouveau travail de papa c’était assez loin, genre Nouvelle-Zélande, future Terre du Milieu, avec ses hobbits; ses magiciens et ses nains.

Bon c’est sûr Wellington ce n’est pas Montpellier et j’ai eu un peu le mal du pays, le mal du pays et de mes copines surtout. C’était déjà pas amusant de ne pas pouvoir les voir le week-end, en tout cas pas sans la présence de mes parents, qui ont toujours dit non pour que je passe la nuit chez l’une d’elle. C’est bon, c’est pas comme si je voulais dormir chez un garçon, façon les garçons c’est nul quand on a mon âge. Au moins, je me suis rapidement fait une super copine à l’école. Ruby c’est son prénom, faut croire que nous étions faite pour se connaître, rapport à nos prénoms venant chacune d’une pierre précieuse. Elle était un peu bizarre au début, faut dire aussi que l’on ne découvre pas qui est vraiment quelqu’un au bout d’une semaine et d’un goûter que l’on partage pendant la récréation. Par chance, notre amitié n’a pas durée juste le temps d’une tartine de nutella et un jus d’orange. On a pour ainsi dire évoluées ensemble, oui j’aime bien ce mot depuis que j’ai découvert Pokemon, et on ne se moque pas. L’école était d’autant plus agréable en sa compagnie, j’étais bonne élève, mais avec Ruby je savais relâcher la pression. Quand j’étais avec elle, au bahut comme disent certains, je pouvais être vraiment moi-même, exercer ma passion du chant sans la pression de ma famille. Non que mes parents étaient contre le fait que je chante, mais avec eux, j’ai pas vraiment une grande liberté sur ce que je peux chanter ou non. Encore une fois, je n’ai rien contre Jésus, mais si j’avais voulue faire du gospel, je l’aurais dis clairement. Hors ce n’est pas le cas. Heureusement que Ruby est là pour me comprendre. Ruby et Pearl. Même si je ne suis pas dans la même classe que ma sœur, nous fréquentons, au moins un temps durant, le même établissement scolaire et me soutient dans ma passion. Parfois même à la maison, quand nos parents me surprenne en train d’interpréter un titre qui selon eux, n’est pas correct pour une jeune fille de mon âge, elle me défend. comme quoi, c’est cool d’être grande sœur non ?

Reparlons quand même de Ruby, parce que mine de rien, c’est pas qu’elle soit devenue importante à mes yeux, mais beaucoup quand même. Vous savez, dans la vie on rencontre beaucoup de personnes. Certaines nous font du bien, d’autre du mal. Certaines ne sont là que le temps d’une nuit, d’autres le temps d’une vie. On ne sais jamais à l’avance sur quel pied danser, car la vie elle-même est une surprise chaque jour qui passe et nul n’est capable de prévoir de quoi sera fait demain. Ruby c’était pas juste une rencontre d’un goûter, d’une nuit, d’une semaine, d’une année, ni même d’une vie. Non c’était plus que ça, c’était La rencontre, celle que l’on espère toutes, celle que l’on désire tous dans notre cœur. Celle que dont on se contente de rêver, car bien souvent, elle n’a jamais lieu. Elle a eu lieu pour moi. Ruby était une inconnue. Elle est devenue une connaissance à l’école. Puis au fil du temps une amie et ce qui ne devait pas se faire, a pourtant eu lieu. Comment prévoir les sentiments ? Contrairement à mes parents je ne crois pas en dieu, je suis davantage une femme de science, mais même la science a ses limites. Un jour, une heure précise, un instant figé dans le temps et l’espace, Doctor Who fan et j’en suis fière. Un regard différent des millions d’autres que nous avons eue l’une pour l’autre. Un sourire plus timide qu’il ne devrait l’être, et nous voilà dans une histoire qui nous prit de court toutes les deux, une belle histoire, une histoire agréable, une histoire réelle. C’est grâce à Ruby que j’ai pris conscience de mon orientation sexuelle. J’étais, je suis et je serais à jamais lesbienne. Mieux, à cet instant, à ce premier baiser, je pensais même que je serais à jamais rubyenne. J’étais heureuse, je me sentais enfin épanouie. Je n’ai rien dis à mes parents, pas de suite. Par crainte de leur réaction. Déjà que je ne pouvais pas dormir chez une amie, alors leur apprendre qu’elle était devenue ma petite amie ? Même pas en rêve. Je me suis néanmoins confiée à ma petite sœur. Je ne pouvais rien cacher à Pearl et une fois de plus, j’ai eu raison. Parce que c’est ma sœur, parce que c’est une partie de moi. Parce qu’elle n’a jamais dit mot à nos parents et qu’elle était rayonnante de bonheur de me savoir si heureuse, en étant dans les bras de ma belle, ma douce Ruby.

Et puis l’apothéose. Si le premier baiser, hésitant, que nous avons échangées était magique, parfait. Cette nuit, cette première nuit l’était d’autant plus. La première fois ce n’est jamais drôle, ce n’est jamais simple et ce n’est clairement jamais le pied, contrairement à ce que certains gars prétendent dans les couloirs du lycée. C’est vrai que ce fut particulier, en même temps nous étions, nous sommes lesbiennes, j’imagine que ça complique d’autant plus cette fameuse première fois. Pourtant, découvrir le corps de Ruby, lui offrir le mien en échange fut la chose la plus agréable au monde que j’ai pu faire jusqu’à présent. Je me suis sentie comme sur un nuage, peut-être pas au septième ciel, mais un nuage c’était un bon début. Pour moi plus rien n’était impossible, je pouvais tout faire, tout dire. Tout dire… C’est là que j’ai fais erreur, une grosse erreur, la plus grosse erreur de ma vie. Heureuse comme jamais, j’ai pris la décision de tout dire à mes parents. Il était temps pour eux de savoir qui je suis au fond de moi, il est temps que j’assume non seulement ma relation avec Ruby, mais tout simplement le fait que je ne serais jamais avec un homme. Vivre libre, vivre pleinement. Je pensais que leur amour de parents serait plus fort que leur religion. J’ai eu faux sur toute la ligne. Même si Pearl intervint en ma défense, rien ne changea. Le temps de faire les valises et nous quittions la Nouvelle-Zélande. Sans même l’occasion d’un au-revoir à Ruby, d’une explication. Sans que je ne puisse vraiment défendre mon point de vue. Mon monde s’est brisé ce jour là, tout comme mon cœur, et le respect que j’avais malgré moi pour mes géniteurs, que j’ai eu du mal à voir depuis comme mes parents. Ouais New York c’est sympa, c’est grand, les gens y sont ouvert d’esprit etc… Mais mes parents c’est pas les gens. Encore, si c’était pour une nouvelle promotion, ou mutation de mes parents niveau travail, j’aurais compris. Compris, pas nécessairement acceptée, mais même pas. Ils sont homophone, c’est tout. C’est malheureusement aussi simple que ça. Contrôle parentale sur toute ma vie. Les réseaux sociaux ? Je suis pas libre d’y ajouter qui je veux. Mes mails ? Mon téléphone ? Ils ont droit absolu de consulter et de bloquer toute personne n’étant pas bien selon eux. La liberté ? Un bien grand mot, juste quelques lettres, rien de plus. J’ai fais ce que j’ai pu pour garder ma joie de vivre, j’ai fais quelques rencontres oui, mais pas une ne pouvant remplacer Ruby et puis j’ai bien compris que j’étais de toute façon raide dingue d’elle et qu’elle serait la seule à pouvoir vraiment me comprendre, à pouvoir conquérir à la fois mon cœur et mon corps. C’est comme ça, le principe des âmes sœurs. Avec le temps, sortir avec une autre fille, peut-être que cela se fera, mais je n’oublie pas Ruby et quand j’en aurais l’occasion, je compte bien prendre mon envol.

Au moins, à défaut d’être d’accord avec mon orientation sexuelle, mes parents ont fait un effort sur la musique. Ils n’ont plus étaient aussi rigide sur le choix de ce que je pouvais ou non interpréter. J’imagine que c’était pour eux un geste de bonne volonté, histoire de ne pas perdre leur fille aînée. Dans le fond je comprends, et j’imagine bien que cela est sincère, du moins je veux le croire, mais à choisir je préfère tourner le dos à la musique, mais avoir à la fois mes parents et ma copine. J’ai rejoins le Glee Club de mon école. Au moins, chaque fous que nous nous réunissions, j’étais avec des gens me comprenant et partageant ma passion. Gagner le grand concours organisé chaque année n’était pas notre but et d’ailleurs, nous n’avons jamais réussi, mais nous n’étions pas mauvais pour autant et surtout, c’était pour le plaisir que nous répondions présent. J’ai eu de la chance dans mon malheur américain en fin de compte. Parce qu’en dehors du Glee Club, j’ai écris plusieurs chansons, les cachant généralement à mes parents, étant donné que le sujet principal était l’acceptation de chacun et ce, quelque soit l’orientation sexuelle, les origines, le niveau scolaire ou tout autre critère sur lequel les gens ont tendance à juger.

J’ai bien fais d’être une élève exemplaire et n’ayant que des bonnes notes, ainsi qu’un comportement agréable en cours. Les efforts payent toujours et j’en ai eu la preuve le jour ou, ouvrant mon courrier, j’ai reçu une réponse favorable de Yale. Yale, la grande Yale, la magnifique Yale. Une des prestigieuses Universités du pays, du monde même. Je n’y pensais pas, pour moi je voulais juste tenter un coup de poker, sans vraiment croire en mes chances et pourtant, ce bout de papier était bien réel. Ce n’était pas seulement le fait de savoir que je pourrais apprendre la musique dans l’un des meilleurs endroits possible dans l’univers, c’était aussi le fait que je serais chez moi, vraiment chez moi. Alors ça ne sera pas un grand chez moi c’est sûr, mais j’aurais ma chambre rien qu’à moi et ça, c’est déjà tellement énorme, vous imaginez ? Je ne serais plus sous le joug constant de mes parents, je pourrais vraiment être moi. Je n’ai pas mis longtemps à faire mes valises et avoir en main l’ensemble des papiers requis dans le courrier. Alors bien sûr, faudra que je me serre la ceinture pendant un moment et que je me trouve un job à mi-temps, mais ma vie recommence enfin. J’aurais voulu que Ruby me voit le jour de la rentrée, perdue dans cette immensité, dans cette foule grouillante d’étudiants. J’ai eu du mal au début, beaucoup de mal et j’ai bien cru devoir jeter l’éponge en fin de compte, mais je n’en ai rien fait. Au contraire, j’ai profité de la vie, le sourire aux lèvres; J’ai fais des rencontres, j’ai partagée mon goût de la chanson, mes compositions. J’ai même créée une chaîne sur youtube pour avoir l’avis des internautes sur mes prestations. En utilisant le pseudonyme de Miss Poufsouffle. J’ai beaucoup appris durant mes années d’étude à Yale, les professeurs ici étant talentueux dans leur domaine respectif. Bon pas de nouvelle petite-amie en vue, Ruby étant toujours dans mon cœur, mais néanmoins de très belles personnes qui sont devenues pour moi une nouvelle famille. J’ai souvent l’occasion de voir ma sœur via skype. Pour elle aussi tout roule et je souris à l’idée qu’elle pourrait aussi rejoindre Yale un jour, ce serait sympa, même si je n’y serais plus personnellement.  Plus pour longtemps en tout cas, parce que lorsque ma sœur est à son tour prise à Yale, beaucoup de choses ont changées pour moi.

Depuis que j’ai ouvert ma chaîne sur youtube, depuis que je suis à Yale, les choses sont devenues très positives pour moi, et l’un de mes rêves est même devenue réalité. Trois ans après ma première vidéo et mon entrée dans la prestigieuse université, j’ai franchie le pas en participant à un concours musical avec à la clé un contrat. Qui aurait cru que je gagnerais ? Pas moi en tout cas. Pourtant, c’est bien ma reprise de She Like Girls, de Metro Station, qui a conquise le cœur des membres du jury. Tout un monde me tendait les bras, j’ai eu tellement de mal à le croire. Heureusement que je suis du genre à garder la tête sur les épaules et à être réaliste, parce que beaucoup qui ont eu cette chance n’ont pas fait long feu, fonçant dans le mur, se précipitant à la quête d’une gloire plus importante encore. Moi non. En accord avec ma nouvelle maison de disque et mon producteur, j’ai pris le temps de finir mon année à Yale. J’ai aussi négociée dans mon contrat qu’une part des recettes qu’ils gagneront lors des ventes faites avec moi, soit reversée à des associations pour sans-abri. Je n’ai pas non plus mis un terme à mon histoire sur youtube, remerciant énormément les personnes qui m’y ont soutenus depuis le temps. Je ne gagne peut-être pas beaucoup, du fait qu’un pourcentage de mes gains va aux associations, mais je m’en moque. C’est ma vie et je suis la seule à pouvoir dire comment elle se fera. Je n’en suis qu’au début de ma carrière, et alors ? Je sais, j’en suis sûre grâce à des commentaires que je lis sous mes vidéos que j’aide des gens, des inconnus qui ont du mal avec certaines épreuves de leur vie. J’en ai connu des galères et j’en connaîtrais encore, mais savoir que je suis devenu un soutient pour ceux qui l’ont étaient pour moi, c’est un accomplissement encore plus agréable que mon entrée à Yale, mon diplôme de l’université ou l’enregistrement de mon premier single. Plus que tout, j’ai pu mettre en place autre chose de bien plus important. Mon retour à Wellington. Cette fois, personne pour me dire quoi faire, qui voir; et je compte bien reprendre contact avec la plus belle des pierres précieuses humaines, ma Ruby. J’ignore complètement si elle sait pour moi, pour ma jaune réussite, pour la façon dont j’en profite et dont j’en fais profiter les autres. Peut-être, je le crains parfois, que je ne suis plus qu’un souvenir pour elle, mais ça, nous le saurons bientôt.

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Re: Girls like girls, like boys do' - (Sam 3 Déc - 12:26)
Bienvenue par ici, bon choix de scénario :heart2:
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Re: Girls like girls, like boys do' - (Sam 3 Déc - 12:29)
Bienvenue Girls like girls, like boys do' 843243092
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Re: Girls like girls, like boys do' - (Sam 3 Déc - 12:31)
Bienvenue Girls like girls, like boys do' 2227089788
Très bon choix Girls like girls, like boys do' 3838048998
Bon courage pour ta fiche Girls like girls, like boys do' 2101133513
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Re: Girls like girls, like boys do' - (Sam 3 Déc - 17:15)
bienvenue parmi nous ma belle, excellent choix de scénario Girls like girls, like boys do' 1431878288
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Re: Girls like girls, like boys do' - (Sam 3 Déc - 18:54)
Bienvenue parmi nous Girls like girls, like boys do' 4079941090
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Re: Girls like girls, like boys do' - (Sam 3 Déc - 20:42)
bienvenue Girls like girls, like boys do' 613702535
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Re: Girls like girls, like boys do' - (Sam 3 Déc - 22:30)
Bienvenuuuuue :D
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Re: Girls like girls, like boys do' - (Dim 4 Déc - 14:20)
Le scénario, le pseudo et le titre Girls like girls, like boys do' 2879480199 Girls like girls, like boys do' 2879480199
Bienvenue parmi nous, et bonne rédaction Girls like girls, like boys do' 3838048998 Girls like girls, like boys do' 3838048998
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Re: Girls like girls, like boys do' - (Dim 4 Déc - 23:17)
bienvenue à toi parmi nous. Girls like girls, like boys do' 1318934201
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