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You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:34)

Elena Walsh
My goal was to win. At what and against whom, those were just details.

Nom Walsh, son nom de jeune fille qu’elle a récupéré suite à son divorce et qu’elle porte fièrement. Avant ça c’était Delfino, mais elle préfère ne pas y penser. Prénom(s) Elena c’était le prénom de sa grand-mère parait-il. Son second prénom est Maelys, prénom celte qu’elle a tendance à oublier tant personne ne l’utilise. Âge Quarante-et-un ans, déjà. Naissance Un 25 Octobre 1976, sous le signe du scorpion. Elle est née à Wellington et y a passé la major partie de sa vie. Nationalité Néo-zélandaise, bien que durant une période elle avait pensé demandé la nationalité italienne avant d’y renoncer et de retourner sur son île. Origines Si on fouille dans son arbre généalogique on retrouve un bon nombre d’Irlandais, ainsi que quelques français, mais les seules fois où elle a mis les pieds dans ces deux pays c’était pour le boulot et uniquement le boulot. Elle n’a pas vraiment le temps de s’imaginer remonter les traces de sa famille pour rencontrer de lointains cousins. Statut civil Elle est actuellement en couple, bien qu’elle ne soit clairement pas la meilleure des compagne qui soit. Orientation sexuelle Officiellement elle est pansexuel simplement parce qu’elle ne s’arrête pas au sexe d’une personne, mais ça n’empêche qu’en un peu plus de quarante ans d’existence elle a surtout été avec des hommes. Occupation Elle a fondé il y a plus de 10 ans de ça, sa propre entreprise de conseil en art et finance nommé tout simplement A&F. Le but de son entreprise étant de facilité et encadré les investissements de riches clients et de valorisé leur patrimoine artistique. Et si au début elle était encore considérée comme ‘conseillère en art’, aujourd’hui, son entreprise a prit une telle ampleur qu’elle n’est plus vraiment celle qui conseille, mais plutôt celle qui mène ses employés d’une main de fer, brasse des millions et place soigneusement son argent. Argent Aucun soucis de ce côté là. Caractère Véritable tornade rousse, Elena c’est un caractère de feu et une énergie débordante. Son boulot, c’est toute sa vie et même aujourd’hui, en étant à la tête de sa propre entreprise, en ayant visiblement réussie tout ce qu’elle voulait accomplir : elle n’en a pas assez. Parce qu’il lui en faut toujours plus, plus de contrôle, plus de pouvoir, plus de responsabilités. Parce que Elena elle ne se sent pas vivante tant qu’elle ne fait pas quelques-choses. L’inactivité et la paresse son ses pires ennemies. Elle aime se sentir importante, au-dessus des autres. Elena c’est une leader née. Elle est organisée et sait comment diriger son petit monde. En affaire, comme dans la vie, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle aime avoir le dernier mot, avoir raison et ne se remet que très rarement en question. Parfois cette ambition débordante, la pousse à agir trop vite, sans réfléchir, à sauter à des conclusions hâtives. Elena elle est charismatique si bien que parfois certain en ont un peu peur, parce qu’elle impressionne, elle en impose. On la dit parfois cruelle, en réalité elle est sensible et se protège simplement avec cette indifférence apparente, se cachant derrière cette beauté froide. Elle est aussi très rancunière, elle garde tout pour elle, encaisse les chocs et il ne vaut mieux pas être dans les parages quand vient sa vengeance.  Groupe control freaks. The Fortune Teller Faites ce que vous voulez. Bring it on ! Avatar Jessica Chastain. (©️️tumblr)

See how I leave with every piece of you
Partie anecdotes : (1). Elena est née à Wellington dans une famille nombreuse et selon son thérapeute, c'est l'une des raisons pour laquelle elle est touchée avec cette ambition maladive. Elle avait grandi en essayant de se faire une place dans une famille de cinq enfants, se démarquer un peu des autres et puis surtout leur montrer qui est le plus fort. Parce que Elena, elle a grandi avec quatre frères et des parents plutôt exigeant, alors instinctivement elle s'est forgé un caractère de battante et de gagnante. She’s one of the boys and always has been. (2). Elle rentre clairement dans la catégorie des workaholics. Elena elle se noie dans son boulot, elle dort peu et prend parfois ce qu’elle aime appeler des ‘compléments alimentaire’ pour rester éveillée et travailler davantage. Le boulot ça lui évite de penser que sa vie sentimentale n’est pas au beau fixe, qu’elle sort avec un mec qu’elle n’aime pas vraiment et que son ex-mari est un connard. (3). Elle ne l’avouera certainement jamais, mais une petite part d’elle regrette le bon vieux temps. Cette époque où tout semblait si simple, où elle vivait d’amour et d’eau fraîche sous le soleil d’Italie. D’ailleurs son divorce est certainement l’un de ses plus grands regrets. Non pas par rapport à son ex-mari, mais par rapport à sa fille. Elle s’en voudra toujours un peu de l’avoir privé d’une véritable vie de famille. (4). Elle a plus d’argent qu’il ne lui en faut et pourtant elle n’est pas vraiment dans l’extravagance. Alors, oui elle a un grand appartement, un chauffeur attitré et, évidemment, quelques œuvres d’art chez elle, mais ça s’arrête là. Pour le reste elle est plutôt raisonnable : pas de bijoux hors de prix, pas de voyage au bout du monde (sauf si c’est pour le boulot bien sûr), pas de jet privé, pas de voiture de courses… Bref, pour quelqu’un avec un tel compte en banque elle fait plutôt dans la sobriété. Ses seules extravagances notables touchent en général à son boulot : que ce soit les locaux de son entreprise décorés avec goûts, ses tenues de travail, ou encore le nombre d’assistant personnel qu’elle emploie pour son petit confort. (5). Son compagnon actuel a été son amant pendant un temps, avant qu’elle ne demande le divorce. Si elle trompait son époux avec lui c’était plus dans le but de blesser ce dernier qu’autre chose. Pourtant, aujourd’hui elle est toujours avec ce même homme, comme s’il y avait véritablement de l’amour dans l’air, alors qu’en fait elle ne ressent rien pour lui qui s’apparenterait, ne serait-ce qu’un peu, à ce qu’elle avait pu ressentir pour Ezio par le passé. (6). Elle boit beaucoup, beaucoup de café. Elle a d’ailleurs un assistant dont c’est l’unique mission : s’assurer qu’elle ait son café à toute heure de la journée, qu’il soit chaud et à porter de main. Bref un porte-gobelet humain qui la suit de partout. (7). Elena a beaucoup de mauvaises habitudes. Que ce soit ces pilules un peu douteuses qui dérèglent son cycle du sommeil, la caféine qu’elle ingurgite à longueur de journée ou la nicotine qui lui arrive de fumer : elle est loin d’être un exemple niveau santé et bien-être. Elle boit aussi régulièrement, souvent lors de repas d’affaire. En fait, vous la verrez rarement avec un verre d’eau à la main, car quand ce n’est pas du café, c’est du whisky, du champagne ou alors du vin qui remplit son verre. Mais attention : pas quand elle est au bureau, parce qu’elle s’en voudrait trop de voir sa compagnie coulée à cause d’une mauvaise décision prise après un verre de trop. (8). Petite on la surnommait red, ginger ou poils de carotte, mais aujourd’hui ses assistants lui ont trouvé un autre surnom, qui lui va tout aussi bien : Cruella. (9). On lui a déjà dit qu’il ne lui manquait qu’un truc entre les jambes pour être exactement comme n’importe quel autre homme d’affaire et quelques part : ce n’est pas totalement faux. Évoluant dans un milieu principalement peuplé d’homme et ayant affaires avec 90% de ces derniers dans le cadre de son boulot, Elena a très vite appris comment se faire accepter comme l’un d’entre eux. Comme elle l’avait fait en grandissant avec ses frères, mais sans pour autant perdre de sa féminité. Leur langage, leurs manies, leur façon de négocier… tout est similaire la seule différence est qu’elle fait tout ça du haut de ses talons aiguilles.

Pseudo/Prénom smmg/Marie Âge 24 ans déjà  You know what makes you feel okay about losing? Winning. 3810423794  Pays La pays de galles, pour encore un bon mois et après c'est retour dans le sud de la france. (mais j'ai pas d'accent, je le jure sur l'honneur.) Connexion Aussi souvent que possible. (donc quasiment tout les jours quand je suis en vacances) Où as-tu connu le forum? C'est mon 3ème compte donc... idk. Bazzart I guess. Personnage scénario de Ezio  You know what makes you feel okay about losing? Winning. 1646603530 Dernière bafouille On a encore perdu à l'eurovision, je vais pas m'en remettre.
Code:
<busy>Jessica Chastain</busy> / réservée jusqu'au 17/05
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:34)


Partie histoire :
Il y avait des papiers qui traînaient un peu partout, le soleil qui pointait le bout de son nez entre les rideaux blanc qui pendaient devant la fenêtre, et le vent qui sifflait doucement entre les carreaux de cette dernière. Allongée à plat ventre sur le lit, enroulé dans des draps presque aussi blancs que sa peau, Elena poursuivait sa lecture, un crayon à la main, ses lunettes sur le nez. Elle entourait quelques mots, en soulignait d’autre, alors que lui refaisait son apparition dans la pièce, une serviette autour de la taille, une autre entre les mains qu’il venait frotter d’un geste rapide dans ses cheveux. Quelques mots en italien et sa voix grave raisonnait dans la pièce. Elle redressait la tête et il répétait lentement, un sourire amusé collés aux lèvres. Ça faisait un peu moins d’un an qu’elle était ici. Elle y était venue pour ses études, parce qu’il n’y avait pas mieux que l’Italie pour étudier l’art, puis elle était restée Ezio. Son anglais à lui était médiocre, son italien à elle était passable mais ça ne les avait pas arrêtés. Il était son premier amour, l’homme de sa vie et elle se voyait sans soucis vieillir à ses côtés, mettre entre parenthèse ses ambitions démesurées pour vivre avec lui ici, sous le soleil de Naples.

Dix-neuf ans à peine, une année passée ensemble et déjà ils se promettaient de s’aimer pour toujours. Sa famille à lui semblait ravie, la sienne était absente, à l’autre bout du monde, mais qu’importe : elle était heureuse. Pas encore diplômée, la première année fut difficile. Un ridicule appartement en banlieue de Naples, des fins de mois dans le rouge. Ce n’était pas la vie dont elle avait rêvé. Lui travaillait déjà depuis un moment. Elle n’était pas vraiment sûr de ce qu’il faisait mais au fond elle s’en moquait un peu, du moment qu’ils avaient de quoi vivre, enfin, de quoi survivre. Puis une fois son diplôme en poche les choses se stabilisèrent. Elle avait étudié l’art et la finance, mais elle se trouva un job de guide dans un musée. Elle ne s’était jamais imaginée bosser ici. Non, elle ce qu’elle voulait c’était authentifier des œuvres d’art, estimer leu valeur, étudier les meilleures stratégies de vente, gérer les collections personnelles de riche client, bref : brasser des millions tout en côtoyant les plus belles œuvres d’art du monde. Mais pour le moment, elle se contentait de ça. Elle jouait les guides touristiques au musée de Capodimonte, racontait l’histoire des lieux et des œuvres, le tout en trois langues. Le reste : ses rêves de carrière, ses envies de mettre à profit ses longues années d’études, tout ça pouvait attendre, puisque dans quelques mois ses priorités allaient changer avec l’arrivée de Beatriz.

Elle n’avait pas imaginé ça comme ça et jusqu’au dernier moment elle c’était répétée que ce n’était pas une bonne idée. Avoir un enfant maintenant, si jeune, alors qu’elle n’avait pas encore de carrière, pas encore d’avenir et qu’elle et Ezio étaient loin de rouler sur l’or… Non vraiment, c’était une erreur. Mais après avoir plongé ses yeux dans les siens, elle n’avait plus aucuns doutes : C’était son petit rayon de soleil, un ange tombé du ciel. Elle qui avait l’œil pour reconnaître une œuvre d’art, elle en avait une sous les yeux en la personne de Beatriz. Ezio travaillant d’avantage, Elena se permit dans un premier temps de quitter son emploi, pour entièrement se dévouer à sa fille. Et elle passa deux longues années comme ça, entre les couches, la poussette et le pot. Une mère exemplaire, qui entre deux siestes de sa fille montait le projet de sa vie. Estimer des œuvres inestimables, anticipé les tendances, dénicher des artistes prometteurs et puis surtout conseiller les acheteurs tout comme les vendeurs. Parce que Elena l’avait compris avant tout le monde : L’art était le placement financier le plus sûr et il suffisait de miser gros pour voir cet investissement payer très rapidement. Un placement refuge dans cette économie instable. Placement qu’elle allait exploiter jusqu’à en faire sa marque de fabrique.

En quelques années, alors que sa fille rentrait à l’école maternelle, elle avait mis en place les fondations de son empire. Premièrement c’était un site web pas très attrayant et un carnet d’adresse plutôt vide, mais à force de travail, de bouche à oreille et surtout à grand coup de culot, Elena se fit connaitre parmi la bourgeoisie Napolitaine. Conseiller les plus riches, les pousser à investir des millions dans des œuvres d’art et empocher un pourcentage de la transaction : voilà le job. C’était du charme, beaucoup de baratin, une pointe de manipulation et surtout des connaissances pointues sur toute sorte d’art. Peintures, sculptures et puis lorsque ça touchait à quelques choses hors de son champ d’expertise, elle embauchait quelqu’un d’autre. Très vite elle avait un carnet d’adresse bien rempli, un bon nombre d’employer et une réputation de requin. Avec elle les contrats de vente et d’achat se signaient à tour de bras et elle voyait des chèques valant bien plus que tout ce qu’elle possédait lui passer sous le nez à longueur de journée. Tout ça lui permettait non seulement de vivre confortablement mais aussi de penser à autre chose qu’aux cachotteries de son époux.

Parce qu’en dehors de sa réussite professionnelle, sa vie de couple, elle, n’était plus ce qu’elle était. Mais ce n’était pas elle la fautive, loin de là. Elle se sentait tout simplement incapable de faire semblant, comme Ezio le faisait. Il rentrait à des heures tardives, parfois ne rentrait tout simplement pas et lorsqu’elle le questionnait il sortait des excuses de plus en plus mauvaises. Alors il avait beau la regarder avec des cœurs dans les yeux, lui ramener des fleurs et lui dire combien il l’aimait, ça n’y changeait rien. Et la paranoïa d’Elena ne fit qu’empirer. Premièrement c’était un petit doute de rien du tout et elle s’était dit qu’un déménagement jusqu’en Nouvelle Zélande arrangerait tout. Mais elle avait eu tort puisqu’après quelques mois passés sur sa terre natale, Ezio s’éloignait de nouveau, lui cachant quelques choses, évitant les questions, le regard fuyant, l’air coupable. Il la trompait elle en était sûr. Elle n’était plus l’ado qu’il avait connue, ni même la mère au foyer. Elle était un peu plus absente, un peu plus indépendante et selon elle c’était ce qui avait poussé son mari à aller voir ailleurs. Alors très vite les doutes laissèrent place à des accusations et les accusations à de violentes disputes. La passion était toujours là, mais il ne s’agissait plus vraiment d’amour à en croire les assiettes qui volaient en éclat sur le sol de la cuisine.

Lui il était là au bon moment, alors qu’elle avait bien besoin d’un peu d’attention, besoin qu’on l’écoute râler et surtout besoin de se venger. Elle n’avait pas vraiment pensé aux conséquences que cette liaison aurait. Sur le moment c’était la solution. Une échappatoire, un peu de changement pour celle qui n’avait connu qu’un seul homme dans sa vie. Il travaillait pour elle, alors c’était facile de se servir de lui. Son homme objet, qu’elle prenait plaisir à fréquenter, sans vraiment se cacher, afin de montrer à Ezio qu’elle aussi pouvait aller voir ailleurs, elle aussi pouvait lui briser le cœur. Seulement voilà, quand elle demanda enfin le divorce, cette décision de tromper Ezio lui retomba dessus et les avocats hors de prix qu’elle embauchait n’y changèrent rien : elle perdit la garde de sa fille. Elle était officiellement la mère et la femme indigne, l’infidèle, la manipulatrice, alors que lui était le père parfait, celui dont personne ne savait rien, mais dont personne ne semblait douter.
Moins d’un an après son divorce elle aménageait avec celui qui avait été son amant. Ce n’était pas Ezio, ce n’était pas son premier amour, loin de là. En faite il était simplement là pour deux raisons : premièrement parce qu’elle s’était très vite rendu compte qu’elle ne supportait pas la solitude. Elle qui avait grandit dans une famille nombreuse, puis qui s’était mariée très jeune n’avait tout simplement pas l’habitude d’être seule. Et deuxièmement, parce que ça dérangeait Ezio qu’elle refasse sa vie avec un autre. Elle pouvait voir son agacement dès qu’elle le croisait, dès qu’elle évoquait simplement le nom de son nouveau compagnon en sa présence. Alors pourquoi se priver de torturer un peu son ex ? Lui qui l’avait torturé pendant toute ces années avec ses secrets et qui lui avait pris sa fille.
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:36)
oh ce choix d'avatar! You know what makes you feel okay about losing? Winning. 3483508122
re-bienvenue You know what makes you feel okay about losing? Winning. 2150563227
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:37)
t'es belle You know what makes you feel okay about losing? Winning. 1646603530.

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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:39)
umm jessica, encore un bon choix 🤤
rerebienvenue :cara: bonne chance pour cette fiche (a)
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:42)
@Camille Wallace  Merci You know what makes you feel okay about losing? Winning. 1646603530
@Lexxi Flores  Thx. You're looking good as well babe.
me right now:
@Cole Symons  Ouais je fais toujours de bon choix, c'est dans ma nature You know what makes you feel okay about losing? Winning. 1485733704 You know what makes you feel okay about losing? Winning. 4240345067 Merci :cara:
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:47)
Je te souhaite la rebienvenue You know what makes you feel okay about losing? Winning. 2150563227
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:48)
re bienvenue You know what makes you feel okay about losing? Winning. 180640823 bon courage pour cette nouvelle fiche You know what makes you feel okay about losing? Winning. 2150563227
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:48)
t'es beeeelle
re bienvenue You know what makes you feel okay about losing? Winning. 3011701618
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - (Dim 13 Mai - 15:49)
You know what makes you feel okay about losing? Winning. 613702535 You know what makes you feel okay about losing? Winning. 613702535 You know what makes you feel okay about losing? Winning. 613702535 You know what makes you feel okay about losing? Winning. 613702535 You know what makes you feel okay about losing? Winning. 613702535 You know what makes you feel okay about losing? Winning. 613702535 Jessica.... madéesse You know what makes you feel okay about losing? Winning. 843243092 You know what makes you feel okay about losing? Winning. 843243092 You know what makes you feel okay about losing? Winning. 843243092 Qu'est-ce que je suis dingue de cette femme!
Je veux un lien :olivia:

Rebienvenue!
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Re: You know what makes you feel okay about losing? Winning. - ()
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