(alan), carnival of rust.

(000), entj personality – ENTJs are natural-born leaders. People with this personality type embody the gifts of charisma and confidence, and project authority in a way that draws crowds together behind a common goal. (001), Alan porte les valeurs familiales au premier rang. Il ne comprend pas forcément les individus, sa fiancée se situant quelque part dans le lot, qui ne parviennent pas à être proches de leur famille. Evidemment, il ne lui viendrait pas à l’esprit de les juger – mais quand il voit les différents reliefs que prennent les relations qu’il entretient avec ses proches, il se sentirait presque attristé face à ceux qui subissent l’absence d’un tel émerveillement. Ce n’est certes pas idyllique tous les jours, mais Alan ne se verrait pas vivre (ou réussir) sans le soutien des siens. (002), La famille Eades est très aisée, et Alan n’a jamais manqué de rien lorsqu’il était plus jeune – et même aujourd’hui, il est presque certain qu’il pourrait aller gratter un peu de cash auprès de ses parents s’il en avait la possibilité. Si, enfant, il était gâté et en redemandait toujours plus, il voit aujourd’hui la situation avec énormément de recul. Il se sait chanceux, en ayant vécu et évolué au sein d’un univers si propice à la réussite. S’il connaît dorénavant un certain succès en tant qu’avocat, il estime que c’est en partie grâce à l’éducation excellente qu’il a reçue et au soutien inconditionnel de ses parents qui ne lésinaient jamais sur les moyens pour le rendre heureux. (003), Qu’on se le dise, Alan est profondément gentil. Il est souriant, évite de se donner en spectacle, écoute même sans raccrocher les téléconseillers lorsqu’ils lui passent un coup de fil pour lui proposer un nouvel abonnement téléphoniques – pourtant, il n’a pas bâti sa carrière sur cette qualité. En tant qu’avocat, il se bat et se focalise sur la réussite de son travail, peu importe le statut social de son client, peu importe sa culpabilité. Il a défendu des êtres abominables, comme il a défendu des victimes. Mais l’empathie n’a pas toujours sa place dans son boulot, sinon il serait dévoré par ce qu’il voit ou entend tous les jours. Il y a, sans surprise, une limite entre son bureau et sa vie privée ; et l’une ne se mêle jamais à l’autre. (004), Alan est impliqué dans toutes les vies associatives qu’il peut trouver ; on va dire que donner quelques billets chaque mois lui donne ce que l’on appelle plus communément la paix de l’esprit. Il va aux galas de charité, trinque avec d’autres humanistes sur le pauvre sort d’enfants maltraités, se gargarisant d’une vie sociale étincelante tandis que d’autres vont sur le terrain et aident. Il se dit que tout l’monde ne peut pas faire ça. Mais s’il le pouvait, le ferait-il ? (005), Impulsif, il lui arrive très souvent de prendre des décisions prématurées tout en étant persuadé de faire le bon choix. Après six mois passés en compagnie d’une jeune femme, Vivian, il a compris qu’il s’agissait de la bonne ; celle avec qui il était destiné à passer sa vie et ce, même s’il n’était pas homme à fables et aux fantaisies. Il l’aime, de ça il en est sûr. Pourtant – pourtant, le doute s’insinue toujours un peu plus en lui. Il l’aime mais – Il la veut, il la désire, mais – mais. Mais il n’est pas prêt à baisser les bras, pas prêt à détourner les yeux et à se dire qu’il est allé un peu trop vite en besogne. (006), Plus jeune, lorsqu’il passait ses journées entouré d’individus qui semblaient papillonner autour de lui, Alan avait de fréquents maux de tête. En grandissant, la douleur s’est apaisée et le laisse désormais en paix. A savoir que, s’il passe ses journées au boulot, il préfère faire cavalier seul et évite souvent les grands rendez-vous où les idées fusent et les rires se font trop forts et disproportionnés. La tranquillité, c’est ce qu’il recherche au milieu de tout ce brouhaha dont il est parfois incapable d’échapper. (007), Puisqu’Alan ne supporte pas ne pas avoir raison, il a la très désagréable tendance à reporter ses fautes sur la personne de son choix. Cette manière de se dédouaner l’a souvent poussé à quelques confrontations qui ne se sont pas toujours très bien terminées. Il est toutefois incapable de constater ses erreurs, incapable de les accepter et de passer à autre chose ; il faut qu’il donne ce fardeau à quelqu’un d’autre. (008), Ambitieux, Alan ne tarit pas d’audace face à la tournure qu’arbore sa carrière. Il veut repousser les limites toujours un peu plus, il a besoin de nouveaux challenges pour se sentir épanoui dans ce qu’il entreprend et c’est le sourire aux lèvres qu’il veut toucher les étoiles. (009), Dans cette optique d’enfant gâté, qui n’a jamais manqué de rien, Alan n’apprécie pas lorsque quelqu’un marche sur ses plates-bandes. Que ce soit en amour, en amitié, ou bien dans le domaine du travail, il a du mal à être confiant sur pas mal de trucs – il a conscience de ses capacités, vraiment, et ne peut guère contrôler les penchants de ceux à qui il tient. C’est ce qui l’effraie le plus, faire face à la trahison, à la tromperie, à une préférence contre laquelle il serait incapable d’aller à l’encontre car le surplombant assurément. (010), Alan est bon cuisinier mais est toujours trop occupé par ses affaires et par le temps qu’il passe au bureau pour faire des efforts au niveau des petits plats qu’il prépare (ouais, il est claqué une fois le soir venu et se contente d’une bière et d’un plat surgelé) ; évidemment, quand Vivian est dans les parages il sort le grand jeu, le tout orchestré par un majestueux je l’ai fait moi-même, mais d’ordinaire… la vie de célibataire le retient par la peau du cou.