| | un deux trois, trois petits chats | |
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Invité
| un deux trois, trois petits chats - (Dim 30 Avr - 15:16) |
hello à tous en espérant que poster des sujets dans cette partie là soit autorisé pour les personnes venant tout juste de s'inscrire, je trouvais ça plus simple que de pouvoir venir discuter en ayant déjà un compte de créé je viens vers vous car j'aimerai étoffer les liens de ma petite rosanna avant de me lancer dans une rédaction complète de sa fiche car certains des liens (ou types de liens) que je recherche sont peut-être des gens déjà présents sur le forum
j'avais tout d'abord une question pour @Zélie Weiss, à savoir si tu étais d'accord pour que je tente ton pré-lien de colocataire, le lien qui correspond à Lola ? et savoir si du coup tu avais d'autres idées à propos de ce personnage depuis que tu as posté le pré-lien ou autre
ensuite, j'en viens à la grosse partie de ce sujet j'ai pour idée de faire de Rosanna une italienne qui serait venue en ville pour terminer sa dernière année de master. je n'ai pas encore choisi de domaine, je m'étais dit que peut-être certains d'entre vous cherchez des copains d'études ou autres ? je ne serai pas contre aussi, si vous avez ça en stock, un membre de sa famille (proche ou éloignée) qui serait déjà sur place, et ce serait la raison pour laquelle elle aurait choisi cette ville. peut-être un drama familiale qui aurait empêché ces deux personnes de se voir pendant de nombreuses années et ils pourraient enfin se retrouver ? quelque-chose comme ça ? ou si vous aviez simplement d'autres idées de liens, je ne voudrais pas me lancer dans l'aventure les mains vides. je suis ouverte à tous types d'idées, donc n'hésitez pas à me donner des liens de liens/scénarios qui correspondraient à Rosanna et que j'aurai loupé, ou à vous taguer les uns les autres si vous savez que untel recherche de la famille ou quoi que ce soit
merci d'avance à ceux qui m'aideront |
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| Re: un deux trois, trois petits chats - (Dim 30 Avr - 15:33) |
hey. déjà je tiens à te dire que madelaine est un très bon choix d'avatar ! pour le lien familial, je peux peut-être te proposer dahlia car elle a une mère italienne donc logiquement, elle a de la famille là-bas. après il faut savoir qu'elle fait partie d'une famille riche, très conservatrice et croyante où le moindre faux pas n'est pas acceptable. il peut très bien y avoir eu un drama familial surtout que la mère est partie d'italie pour suivre son mari, ça aurait pu enclenché plusieurs disputes dans la famille (à voir). bref, tout dépend de comment tu vois la famille de ta demoiselle et si ça t'intéresse, n'hésite pas à me mpotter pour qu'on puisse arranger tout ça. :boubou: |
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| Re: un deux trois, trois petits chats - (Dim 30 Avr - 15:38) |
J'aime l'avatar Déjà, merci de ton intérêt pour le forum. Ça montre que tu as bon goût de base Ensuite, j'invite @Eros Lucchese à venir te lire parce que son personnage est d'origine italienne et il est prof de littérature donc ça peut être intéressant Après, Caleb fait de temps des conférences à l'université sur l'art, l'histoire de l'art, ce qui lui chante quoi. Donc si tu as envie de diriger ton personnage sur ça, ou juste lui donner un intérêt pour ce domaine qui l'aurait dirigé vers une de ses conférences, ils peuvent s'être rencontrés ! Et il a un gros passif avec l'Italie qui lui a un peu détruit l'esprit, donc petit point intéressant un plus Sinoooon... j'ai pas grand chose d'autre à te proposer vu la différence d'âge de nos personnages Je suis sûre que mes camarades plus jeunes sauront te guider sur d'autres pistes |
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| Re: un deux trois, trois petits chats - (Dim 30 Avr - 15:54) |
bonjour ma belle déjà, t'as fait un super choix d'avatar. j'adore cette fille. et son rôle dans riverdale est assez intéressant. j'approuve quoi j'voudrais bien te proposer quelque chose, si t'es intéressée par arielle. parce qu'elle est d'origines italiennes aussi, de son père qui est désormais un homme d'affaires très influent. mais, est-ce que tu pourrais détailler l'idée que tu te fais de ta demoiselle ? pour qu'on puisse voir si y'a des points communs, des trucs chouette qu'on peut faire en attendant, je me permets de te laisser un aperçu de ma sirène, pour que tu saches où tu risques de mettre les pieds arielle est issue d'une famille influente de la ville. en gros, tout le monde connait son nom. et, croit la connaitre elle, par la même occasion. elle n'était pas désirée. deuxième enfants dont ils ne voulaient pas, mais ils n'ont pas vraiment eu le choix. elle n'a jamais eu de véritable attention de sa mère et son père a toujours été violent avec elle. pour tout et rien. parce qu'arielle s'était la déception absolue. pourtant elle faisait de son mieux. grands sourires et mensonges affirmant que sa vie était merveilleuse. mascarade à tout va qui a toujours trompé tout le monde, sauf son père. son père et dexter, son ex. il a su voir plus loin en elle, dext. voir tout ce que les autres ne voyaient pas. elle l'a réellement aimé, et lui aussi. mais, ils n'ont jamais eu le courage de rendre tout ça exclusif, officiel. et, ça les a détruit. entre jalousie et vengeances. il était trop près des filles, il papillonnait. alors elle a fait la même chose sous ses yeux. à répétition. dexter, ça l'a rendu fou. il a joué des poings avec plus d'un. et, elle aimait presque ça, arielle. provoquer une réaction. voir qu'il tenait à elle, autant qu'elle tenait à lui. mais dexter ne s'est jamais laissé faire. quand arielle lui faisait payer ses aventures, il la brutalisait avec des mots trop durs. des mots qu'il avait, son père. parce que dexter, dans ces moments-là, il est exactement comme le père d'arielle. ça a fini par lui faire trop mal. trop peur. et jeter tout ce qui lui passait sous les mains, voir son propre sang couler, c'était plus suffisant pour la calmer. pour que tout s'arrête. alors, elle a frappé dexter. une fois. puis une autre. et encore une autre. comme une routine meurtrière. mots contre coups. mais c'était pas si grave, parce qu'ils s'aimaient quand même. parce qu'elle en crevait pour lui, qu'il en crevait pour elle. ils se retrouvaient toujours. toujours, jusqu'à ce qu'elle décide de tout arrêter, après quasiment trois ans. parce que ça brûlait trop fort. parce qu'ils s'aimaient bien trop. parce qu'elle a prit conscience que sa tendance à l'auto-destruction, son besoin inconscient de tout détruire à chaque fois pour pouvoir renaître de ses cendres, ça les tués. ça le tuait. elle est partie. une année. sans rien dire à personne, sauf à navi. son frère. fuir l'appartenance pour que tout s'arrête. le sortir de sa tête, délier son âme de la sienne. le truc, c'est qu'elle se berçait d'illusions. et le destin lui a bien fait comprendre. elle a apprit en se rendant aux urgences pour des douleurs à l'abdomen qu'elle était enceinte, de six mois. elle n'y a pas cru. déni de grossesse, qu'on lui a dit. elle est tombée de haut. c'était pas possible. elle n'avait pas eu de relation charnelle depuis dexter, incapable de se donner à quelqu'un d'autre de cette façon. puis, elle voulait pas d'enfants. il lui a fallu du temps pour accepter. elle a chercher à joindre dexter, pour lui annoncer la nouvelle. sans relâche. mais il ne lui a jamais répondu. elle ne perdait pas espoirs, arielle. elle avait son frère, l'ayant rejoins, et son colocataire de gisborne, kenzo. elle n'était pas seule. elle avait espoir, toujours. jusqu'à ce qu'elle se réveille, une nouvelle fois à l'hôpital. une chute, une perte, qu'on lui a dit. plus de bébé. plus rien. ça l'a dévastée. littéralement. profondément meurtrie et en colère, elle a décidée de revenir à wellington. pour retrouver dexter, pour tout lui expliquer. pour lui demander des comptes, lui exposer sa rage et son désespoir. parce qu'elle s'était faite à l'idée d'un bébé, d'un bout d'eux. elle lui en veut, et elle le veut. elle veut, parce qu'elle sait qu'il n'y a que lui qui pansera ses peines, qui les comprendra aussi. + à savoir aussi qu'elle est bisexuelle. en gros, t'as les grandes lignes de ma gamine, juste là. :cara: j'te laisse le caractère d'arielle, pour que tu puisses cerner la sirène.
- caractère:
Arielle, sept lettres. Un mensonge. Une apparence. Un mystère. Un mystère vide, que t'entends souvent dire de toi. Parce que croire que t'es plus que l'apparence, c'est presque impossible pour les gens. Et toi, tu ne peux rien contre ça. Falcone, c'est ce fardeau que tu traînes depuis toujours, qui fausse l'opinion des gens. Qui te fausse, toi. T'es qu'une apparence. Qu'une pimbêche un peu méprisante, qui se vante de sa vie de rêve et qui utilise son patronyme trop puissant pour obtenir tout ce qu'elle veut et s'offrir la vie de rêve. Creuse, c'est ce qu'on dit le plus souvent de toi. Ou, ce qu'on en disait, du moins. Les bruits de couloirs sont différents, depuis que t'as quitté la ville. Creuse, fausse et méprisante. Princesse haineuse, qui ne trouve jamais personne à sa hauteur et qui prends plaisir à voir souffrir le petit peuple. Rumeurs. A priori sans fondement. Presque tous. Mais y'a toujours eu quelque chose de vrai, là-dedans. Fausse. Camouflée. Menteuse et manipulatrice. T'as passé ton temps à te cacher, en société. T'as passé ton temps à mentir, sur ta si jolie vie. T'as passé ton temps à cacher tous ces secrets, à fournir l'image qu'on te demandait. Parce que, faut pas faire de vagues chez les Falcone. Faut pas révéler tout ce qu'il se passe derrière ces grandes portes, dans cette maison si vide d'âme.
Arielle, spet lettres. Une âme divisée. Une tornade. Bien plus que l'apparence, que le mensonge qui sert la famille. La famille et seulement la famille. Parce que toi, tout ça, ça t'a perdue. T'as jamais voulu mentir. T'as jamais voulu sourire trop grand, trop large pour éblouir faussement les gens. T'as jamais voulu collé à cette classe sociale, t'as jamais voulu prendre de grands airs. Mais t'as pas eu le choix. T'as jamais voulu être comme eux. Comme lui. Comme ton père. Cet homme brillant, à l'autre côté de la médaille trop sombre. Une âme pleine de violence, de colère. Fatalité génétique. Fatalité sociale. T'es devenue tout ce que tu ne voulais pas être. Violence, rage, colère. T'es pas stable, arielle. T'as jamais sû te tempérer, t'as jamais sû taire le volcan en toi. Sang qui brûle dans tes veines, trop vite, trop fort. Les poings qui se serrent et les coups qui partent, une fois que tout ce qui était autour de toi y est passé. Des éclats de verre, de porcelaine et de tout ce que tu peux casser. Forces qui se décuplent, adrénaline qui monte. Éclats partout, jusque dans tes mains. Du sang qui coule. Le tien. Mais ça ne semble jamais être assez. Seule, tu continues. Tu t'acharnes. Tu vas jusqu'à te faire du mal, comme si ça pouvait soulager ton âme. Seule, mais pas que. Parce que la seule personne devant laquelle tu n'as jamais su te contrôler, c'est lui. Dexter. La lune. L'astre qui irradie au point de te brûler. Mots cinglants. Acerbes. Actes démesurés. Dexter, il a toujours fait ressortir ça. Encore plus fort, chez toi. Tellement fort, que les assiettes au sol et le sang de tes mains c'était plus assez. Tellement fort que t'as levé la main. Tellement fort qu'il n'y avait plus que ça pour tout calmer. Un besoin de contact, avec lui. Comme pour faire barrage à tous ses mots, à toutes ces filles, à tous ces hommes. Ces âmes qui faisaient interférence entre vous. Contact doux et délicat impossible. Contact horrifique et sauvage possible. Dexter, c'est comme ton père dans ces moments sombres. Mais c'est bien plus que ça. Dexter, c'est l'amour et la haine. Dexter, c'est la peur aussi. Le bourreau et le salvateur. T'as eu peur que ses coups partent en premier. T'as eu peur de ceux qu'ils te rendaient. T'avais peur qu'il soit comme lui mais qu'il ait plus d'emprise encore que lui. Alors, t'as tenté d'inverser les rôles. Mauvais adversaire, que t'as entraîné dans ton auto-destruction. Parce que t'as tendance à te saboter. A tout détruire. Tout ce qui est trop beau, tout ce qui va trop bien. Tout ce qui pourrait te rendre dépendante. Détruire pour reconstruire, parce que t'es un phœnix. Tu renais de tes cendres. Le truc, c'est que si t'as la capacité de toujours réussir à te reconstruire différemment, t'es incapable de te séparer de ça. De ces pulsions. Et, tu sais bien que tout ça, c'est pas seulement toi que ça détruit. Ce que tu ne sais pas, ou dont tu doutes, c'est que lui aussi, soit capable de survivre à la destruction de tout, pour un renouveau. T'as peur de le tuer. De te tuer. De vous tuer.
Arielle, sept lettres. Le cœur. L'âme. T'es plus qu'une apparence, Arielle. T'es plus que ce sombre côté, que cette colère qui vit en toi. Plus que cette face que tu tentes de cacher au monde, mais qui fini par transparaître parfois, malgré toi. T'es pas juste creuse, riche et arrogante. T'es un être humain. Un corps chaud, un cœur qui bat, une âme. T'as des failles et des émotions. T'es insaisissable, petite sirène. Enfant abîmée, lunaire. Artiste perchée, dans son monde, dans sa bulle. T'es cultivée. Curieuse du premier jour, t'as jamais su sortir ton nez des livres. T'aimes apprendre, toujours un peu plus, sur tous les sujets du monde. Fausse image de fille-à-papa, t'es débrouillarde. Tu t'es toujours battu, t'as toujours travaillé dur pour ce que tu voulais. Probablement plus que la moyenne, parce que t'avais des choses à prouver. T'es passionnée, t'écris beaucoup, tu peint, tu marques le temps à ta façon. Toutes ces choses qui ne servent à rien, comme l'a souvent dit ton patriarche. Rêveuse, t'aimerais claquer des doigts et tout remettre en place. Un peu perdue, coincée dans ta vie, dans un monde qui ne te correspond pas. T'es le genre de fille qui sort du commun, quand on y regarde bien. Quand on passe l'apparence de poupée, quand on voit l'envers du décor. T'es non-conformiste. Tu penses en-dehors des sentiers battus. T'as une vision large, libre, ouverte. T'es une fille franche toi, malgré tous ces faux sourires que t'es obligée d'esquisser. Tu sais dire les choses, dire ce que tu penses. Parce que tu sais qu'on ne construit rien, avec personne, sur des mensonges et des non-dits. T'es pas pour autant une fille méchante, tu ne t'acharnes pas sur les gens. Jamais. T'aimes vraiment pas ça. T'es même plutôt du genre grand défenseur du peuple. Riche et humaine, deux mots qui ne s'associent pas dans l'esprit trop fermé des gens, mais que tu sais faire sonner quand l'occasion se présente. Et ça, pour une fois, ça plait à papa. T'es une gentille fille, derrière la carapace. T'es douce et délicate, nuage de coton apaisant. T'es compréhensive, peut-être un peu trop parfois. Bonne âme, t'as du mal à en vouloir aux gens. T'as le sourire qui fait du bien, qui apaise les peines. T'as les larmes acides. Trop émotive, t'as peur d'avoir le cœur à découvert. Peur d'être touchée de trop près. Dévouée, aussi. T'es prête à tout pour les gens que t'aimes. Serviable, t'es toujours là pour rendre service, peu importe l'heure. T'es une gentille fille. Enjouée, tu passes un temps incalculable à sourire. T'es sociable, sans pour autant donner réellement accès à qui tu es, très fêtarde aussi. Un peu en manque de maturité parfois, puis beaucoup top mature le reste du temps. T’es déréglée à ce niveau là, parce que tu n’as pas vraiment eu la chance d’être une enfant comme les autres, t’as dû grandir bien vite, trop vite, et aujourd’hui, il t’arrive de lâcher prise. D'avancer, d'aventure en aventure. je te laisse aussi quelques anecdotes sur qui elle est. ça peut t'aider à la cerner, aussi.
- exister:
Un peu rêveuse, un peu lunaire, souvent la tête en l’air. T’es une artiste toi. Les dégradés de couleurs, les palettes qui s’accumulent et les pinceaux qui se mélangent parce que tu n’as pas la tête à ranger. Le cerveau qui fuse, qui se lance dans un processus créatif que tu n’es pas capable d’arrêter. Tes doigts qui se baladent, les poils de ton pinceau, tinté d’une couleur qui parle à ton cœur, caressant la toile vierge que tu façonnes à tes envies. Des éclats de toi, des bouts de ta vie. Le mystère que tu fais vivre. T’as besoin de la peinture pour t’exprimer, te libérer, depuis ton plus jeune âge. ☾ Lunaire, de toutes les façons. Amoureuse de la nuit, du ciel sombre, de l'air froid et de l'appel de la lune. Comme le loup fasciné par la ronde et pâle, elle t'inspire. C'est ton côté sauvage qu'elle ravive, qu'elle anime. Elle est belle quand elle danse, quand elle se forme, quand elle émane et vient te chercher de là-haut. Tu ne sais pas lui résister, comme complètement hypnotisée. Une nuit sans lune, ce n'est pas une belle nuit. ☾ L'imagination débordante, l'envie d'apprendre. Des tonnes de livres entassés, dévorés les uns après les autres sans lassitudes. Des pages sur l'étude de l'homme, de son comportement, de son hérédité, de ses tares, de son manque d'humanités aussi parfois. L'étude de ce que tu es, de l'ensemble auquel tu appartiens pour tenter de comprendre pourquoi l'humain est dépourvu à ce point d'humanité. Pour comprendre pourquoi chacun est ce qu'il est. Mais t'aimes aussi t'évader, t'envoler, frissonner, te perdre au grès des pages, être suspendue à la plume de grand romanciers. ☾ Les pensées taquines, trop encombrantes, trop lourdes parfois. Pas farouches, désastreuses. Reflets d'envies que tes parents qualifient de malsaines ou de ton approches du point de non retour. Psychisme massacrant, que tu couches sur papier pour t'exorciser. Des maux que tu poses avec de jolis mots. T'es poète de ton âme en peine, de ton cœur écorché et de ta sexualité que tu as parfois du mal à assumer. ☾ Mystérieuse, énigmatique. Tu es un coffre fort, une suite indéchiffrable, sans code de fin. Tu es incapable de laisser voir qui tu es, parce que tu as trop peur qu'on tente de t'atteindre. De toute façon, tu n'es pas certaine de te comprendre toi-même. C'est trop sombre là-dedans. ☾ Bleu-violet, couleur de ton corps. De certaines parties de ton corps. Couleur imprimé, presque jolie. Couleur que tu détestes, parce qu'elle est là à cause de lui. De ton père. Etre colérique à la main trop légère, parfois. Etre contre lequel tu ne peux rien. Tu l'as toujours porté dans ton coeur, ton père. Malgré ses mots durs, toi, tu voulais rendre fier. Tu voulais voir la lueur briller dans ses yeux. Tu l'as toujours porté dans ton coeur, jusqu'à ce que ce soit trop. Tu l'as détesté. Tu le détestes, tu le méprises. C'est ton cauchemar. Tout ce que tu ne veux pas être, et pourtant, tout ce que tu es. ☾ Volcanique, tempérament de feu. Tu as bien du mal à contrôler ta colère, comme lui. Cette rage qui monte en toi, parfois. Ce sentiment qui te rebute, mais qui fait partie de toi. Cette partie de ton âme, bien trop sombre que tu peines à soigner. Virulente. Dans les mots. Paroles acerbes qui se glissent hors de ta bouche. Trop fine et trop jolie pour ça, qu'ils disent les gens. Dans les actes. Tu attrapes et tu lances, tu jettes dans les airs, tu fais éclater en petits morceaux, comme si c'était nécessaire. Dans les gestes, aussi. T'as levée la main. T'as poussé de toutes tes forces, t'as giflée, t'as griffé. T'as regretté. Tu regrettes toujours. Et, t'as fait de ton mieux, pour soigner ça. Pour effacer le gêne que t'as reçu. Pour oublier le comportement que t'as reproduit. ☾ Femme. Tu n'as pas choisis ton sexe à la naissance, encore moins les désavantages sociétaux qui l'accompagne. Et, tu ne les trouves normal. Etre une femme, c'est beau. Tout autant qu'être un homme. Alors, tu t'es engagée dans la cause féminine ; gare à quiconque rabaisse la femme. ☾ Tu aimes la nature, les animaux. Tu es toi-même animal, louve de nature. Alors, tu ne les manges pas. Végétarienne depuis tes seize ans, tu n'es pas prête d'abandonner ce mode de vie. Ceci dit, tu comprends et conçoit que les gens ne pense pas comme toi. ☾ Peau douce, que t'as tâchée. Que t'as marquée. Peau que tu n'as pas pu peindre, même si tu l'aurais aimé. Alors, t'as trouvé une alternative. T'es tatouée. C'est petit, minimaliste, mais tellement porteur de sens. Un peu trop, peut-être. Une lune, sur un coin de ta peau. Une lune, cet astre roi. Une lune, pour te remémorer que tu l'as côtoyé. Pour te remémorer que tu l'avais trouvé. Une lune, pour cet amour brûlant. Cet amour plus fort que tout. Une lune pour Dexter, parce qu'aussi risible que ce soit, tu l'as dans la peau. et puis, sait-on jamais, si ça ne concorde pas, peut-être que ça peut correspondre à une idée de lien que tu avais quand même
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| Re: un deux trois, trois petits chats - (Dim 30 Avr - 17:55) |
Ooooh je viens de voir le tag ma jolie Alors c'est avec grand plaisir si tu veux tenter l'autre demoiselle de la colocation C'est volontairement un pré lien assez libre pour qu'il puisse être facilement tenté et intégré à pleins d'autres idées du coup je tiens à garder ce côté, je n'aurais pas plus d’exigences que ce que j'ai déjà noté au niveau de son caractère et de leur lien N'hésite pas si tu as des questions ma boite à mp est grande ouverte et en tout cas je serais ravie de retrouver une colocataire |
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| Re: un deux trois, trois petits chats - (Dim 30 Avr - 18:21) |
je tiens à vous remercier d'avance pour toutes vos idées, c'est super chouette je m'en vais poster ma fiche conformément au règlement, et je viendrai vous répondre plus en détail dans les deux jours qui viennent, que je prenne le temps de mettre en place vos idées, celles que je garde et celles qui ne pourront pas convenir pour le moment - et puis le temps de finir mon weekend aussi
@Zélie Weiss merci ma jolie, je n'hésiterai pas à passer te laisser un mot doux :creep: |
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