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J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais.

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J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. - (Jeu 22 Déc - 20:00)
Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.

Alexander Cameron
feat Michael Fassbender
nom Cameron. Nom de ce père qu'il déteste et dont l'ombre plane sur sa vie jour après jour. Nom de cette mère qu'il aimait tant et qui lui a été enlevé si brutalement. Nom dont il ne peut se défaire, même s'il en rêve depuis de nombreuses années...
prénom(s) Alexander.
âge 38 longues années auxquelles il a déjà voulu mettre un terme à de nombreuses reprises sans jamais franchir le pas.
naissance 13 septembre 1984, à New York .
nationalité américaine.
origines américaine également, de ce qu'il en sait.
statut civil célibataire, allergique à l'amour.
orientation hétérosexuel, il n'en a jamais douté. Il aime trop les femmes pour s'être un jour posé la question.
profession professeur des sciences du comportement à l'université et consultant pour les forces spéciales.
argent sans être vraiment riche, il doit bien avouer qu'il s'en sort plutôt bien. Cela fait de nombreuses années qu'il n'a pas connu de fin de moins difficile.
❇️ ❇️ ❇️
Alexander c’est le genre d’homme très charismatique qui attire immédiatement le regard lorsqu’on le voit. Le genre d’homme vers qui on se tourne dans la rue et dont on aimerait percer le mystère. Beaucoup ont essayé, sans succès. On lui a souvent dit qu'il n'avait pas envie de s'ouvrir aux autres et dans un sens, ce n'est probablement pas faux. Même ses plus proches amis ne pourraient pas dire, en toute honnêteté, qu'ils connaissent tout de lui. Certains pensent que c’est un style qu’il se donne pour plaire d’avantage, d’autres qu’il agit ainsi pour se protéger. De quoi ? Nul ne pourrait le dire cependant. C’est un homme froid Alexander, distant. Pour entrer dans son coeur et dans sa vie, il faut en vouloir. Il manie en effet le sarcasme et l’ironie avec talent et n’hésite pas à remettre à sa place quiconque l'approche d'un peu trop près. Ainsi, les gens qu’il côtoie ont appris au fil du temps à ne jamais lui parler de son passé. Quant à ses élèves, ils le voit comme un homme talentueux, exigeant, sans doute un peu trop, mais juste. Avec lui ils apprennent, et il fait tout son possible pour rendre ses cours intéressants, vivants. La vérité, c’est que sous la carapace qu’il a méticuleusement construite au fil des ans et dont il s’entoure pour ne pas avoir à souffrir se cache un coeur meurtri. Pour le découvrir, il va falloir creuser, encore et encore. Oserez-vous ?
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murphy's law.
Play with the Fortune Teller.
sa carrière
Pessimiste, Alexander l'est profondément. Même s'il réussit relativement bien sa vie depuis qu'il a décidé de quitter New York, il ne peut pas s'empêcher de penser que tout va s'effondrer du jour au lendemain. D'ailleurs, même s'il adore Wellington, il ne s'y est jamais réellement senti chez lui parce qu'il a toujours l'impression qu'il peut devoir partir à tout moment.
Alors avant que je me transforme encore une fois, pars en courant, fuis-moi comme le choléra.
Il fait énormément de sport. Trop, sans doute, mais c’est sa manière de ne pas penser. Il va courir tous les matins avant de se rendre à l’université, et il pratique le Crossfit et la boxe de manière récurrente. Insomniaque de nature, il vit des nuits extrêmement compliqué malgré les années qui ont passés depuis qu’il a quitté New York. Il fait des cauchemars et il n’est pas rare qu’il aille faire cours sans avoir dormi du tout, ou à peine une ou deux heures. Il s’autorise des cachets de temps à autre, lorsque vraiment il n’en peut plus, mais il ne veut pas devenir accroc non plus. Aujourd’hui, malgré son âge, l’une de ses plus grandes peur est que son père trouve le moyen d’entrer à nouveau dans sa vie. D’autre part, il craint plus que tout de devenir comme lui. Aussi ne s’énerve-t-il qu’extrêmement rarement. Il est plus du genre à être d’un calme et d’un sang-froid à toute épreuve, ce qui est presque plus flippant que les cris. Sur son corps restent encore de nombreuses cicatrices, vestiges d’un passé qu’il fait tout son possible pour oublier. Il supporte très difficilement d’être regardé ou touché. Il est très dominateur avec ses conquêtes, car dès lors qu’elles frôlent des zones marquées, tout son corps se crispent. Malgré tout, il reste un homme à femme et s’est toujours arrangé pour obtenir ce qu’il voulait, malgré ce problème. Aussi fou que cela puisse paraitre, Alexander pense n’être jamais réellement tombé amoureux. Il s’est attaché, parfois. Mais lorsque c’était le cas, il rompait immédiatement tout contact. Maintenant, il rencontre la plupart des femmes qu’il côtoie en soirée et le but n’est clairement pas de finir sa vie avec elles. L’une des choses dont il est le plus fier dans sa vie actuelle, c’est son métier. Il adore ce qu’il fait et il y met vraiment de l’énergie. Il se débrouille toujours pour retenir l’attention de ses élèves, pour faire de ses cours des moments intéressants pour eux. À côté de cela, il a réussi à se faire un petit nom dans le milieu de la psychologie et des sciences du comportement et le fait d'être contacté régulièrement par les forces spéciales en est en quelque sorte la preuve à ses yeux. Solitaire de nature, il pourrait rester des jours entiers chez lui sans voir personne sans que ça ne lui pose le moindre problème. Du moment qu'il a un livre à sa disposition, ça lui convient parfaitement. D’ailleurs, lorsqu’il daigne s’accorder des vacances, il a prit l’habitude de partir seul, histoire de respirer le grand air. Il va se perdre au milieu de nulle part et il vit dans une tente durant quelques jours. Le reste du temps, il se force à se sociabiliser et le fait est que malgré son caractère, ça marche plutôt bien. Ainsi n'est-il pas rare qu'il sorte en boite ou autre, même en semaine. Bien qu’il vive seul, l’appartement d’Alexander est impeccablement bien rangé. Chaque chose est à sa place et il a prit soin de faire de cet endroit un véritable cocon dans lequel il se sent réellement en sécurité. Son seul soucis: malgré les efforts qu’il fournit pour y remédier, il est très, très mauvais en cuisine. Il désespère de plus en plus d’y arriver un jour et à défaut de pouvoir faire plus, il se fait livrer ou il achète des plats tout prêt la plupart du temps. Alexander a aussi très bien emménagé le bureau qu’il a à l’université. D’ailleurs, lorsqu’il y reste tard pour avancer ses recherches personnelles ou préparer ses cours, il n’est pas rare qu’il finisse par se poser sur le fauteuil qu’il a fait installé et qu’il s’endorme là.
pseudo, prénom Evolia / Laura. âge 20 ans. pays, région Sud de la France. connexion 4/7 (tout dépendra des cours). où as-tu connu le forum ? Une amie (qui va débarquer sous peu J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 1485733704) m'a convaincu de craquer. personnage inventé. (inventé, pré-lien ou scénario) dernière bafouille  J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 2227089788 .
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Re: J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. - (Jeu 22 Déc - 20:00)
Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.

La peur. L’angoisse à l’état pur. Cette horrible sensation qui pulse dans les veines, qui fait tourner la tête et qui glace sur place, qui empêche littéralement d’avancer, qui coupe le souffle et qui donne le vertige. Ça, elle connaissait bien Lily Cameron. Par coeur même. C’était son lot quotidien, elle vivait avec tous les jours. Et pour cause, elle était tombée amoureuse d’un militaire. Elle l’aimait, Henry. Elle n’avait absolument aucun doute sur la question. Pourtant, chaque fois qu’il partait et qu’elle se retrouvait seule, elle rêvait que ce ne fut pas le cas. Elle rêvait de l’oublier. De le détester même. Tout, sauf la terreur qui lui étreignait le coeur parce qu’elle le savait loin d’elle, beaucoup trop loin, perdu. Sur le champ de bataille, à risquer sa vie pour une guerre qu’elle n’avait jamais compris et dont elle se foutait éperdument. Mais il revenait toujours Henry. Lui et ses yeux bleus dans lesquels elle se perdait durant des heures sans parler, sans bouger. Juste à le contempler, à l’aimer et à remercier le Ciel qu’il lui soit revenu. Alors elle oubliait la peur et elle savourait, utilisant toute l’énergie dont elle disposait pour ne pas penser au lendemain. Mais il finissait toujours par s’en aller à nouveau et tout recommençait. La peur, l’angoisse, encore et toujours.

Aussi fut-elle véritablement partagé le jour où elle découvrit qu’elle était enceinte. Bien sûr, elle avait toujours voulu donner la vie. Bien sûr, elle aimait tellement son époux qu’elle ne pouvait que se réjouir de porter son enfant. Mais que pourrait-elle offrir à ce dernier au juste ? Un père absent, qu’il ne verrait que quelques mois par an et pour lequel il ne pourrait que s’inquiéter le reste du temps ? Une mère qui se réfugiait corps et âme dans son travail afin d’oublier à quel point elle était terrifiée ? Pourtant, lorsqu’Henry apprit la nouvelle et qu’il posa une main protectrice sur son ventre tout en la serrant dans ses bras, heureux comme jamais, elle oublia tout ses doutes. Elle enfouie au plus profond de sa mémoire qu’elle avait songé à ne pas le garder, ce bébé, à ne même pas parler de son existence à son mari. De nombreuses années plus tard, ce souvenir lui reviendrait et elle aurait tout le loisir de penser que même si, et même parce que, elle aimait son enfant plus que tout au monde, elle avait certainement pris la mauvaise décision.  

C’est ainsi qu’Alexander vit le jour en cette belle journée ensoleillée qu’était le 13 septembre 1984. Comme ce serait le cas la plupart du temps et ce durant bien longtemps encore, Henry n’était pas là. Mais cela n’avait pas la moindre importance. Quand bien même elle était seule, Lily était aux anges et elle se jura de faire tout ce qui était en son pouvoir pour que sa petite merveille, qui ressemblait déjà tant à son père, ait toujours tout ce dont elle ait besoin pour pouvoir grandir et s’épanouir dans les meilleures conditions. Quand bien même elle l’élèverait plus ou moins seule, son fils ne devait manquer de rien, jamais. Ainsi, les premières années de vie du bambin se déroulèrent bien, sans incident notable. Sans être turbulent ou difficile, Alexander s’avéra cependant être un enfant très aventureux, curieux du monde qui l’entourait et cherchant malgré son jeune âge à en découvrir tous les aspects. Ce qui conduisit sa mère, dès lors qu’il su marcher, à le suivre à la trace afin d’être sûre qu’il ne se blesse pas. Quant à Henry, dans les rares moments où il était présent, cela avait tendance à l’agacer plus qu’autre chose. Il s’avéra en effet que chez Mr Cameron, l’instinct paternel était particulièrement peu développé. Ainsi, l’enfant voyait d’avantage cet homme comme un étranger qui revenait de temps en temps et qui passait le plus clair de son temps à lui faire des réflexions que comme un véritable père. Jamais il ne partagea réellement de bon moment avec lui et au fil du temps, il apprit à ne plus rechercher son attention, voire à la fuir, car plus il grandissait et plus Henry s’avérait être exigeant avec lui. Que ce soit pour l’école, pour le sport ou pour son comportement en règle générale, Alexander se devait d’être irréprochable, sans quoi il subissait les remontrances d’Henry. Il le craignait, cet homme. Pas pour ce qu’il lui faisait, ou du moins pas encore, mais plutôt pour ce qu’il serait capable de lui faire s’il désobéissait ou si son comportement lui déplaisait d’une manière ou d’une autre. Les quelques punitions qu’il avait reçu et qui lui laissèrent des traces qu’il porte encore aujourd’hui lui firent clairement passer l’envie de désobéir. Lily quant à elle fermait les yeux sur tout ça. Oui, Henry était parfois un peu dur, mais tout ce qu’il voulait c’était le meilleur pour son enfant, et c’était tout à fait normal, non ?

L’enfant pétillant devint peu à peu adolescent renfermé et distant, mais personne ne sembla le remarquer. Ou peut-être est-ce plus commode de ne rien voir ? Toujours est-il que les professeurs d’Alexander le voyait comme un excellent élève, sans se douter un seul instant que s’il fournissait tous ces efforts, c’était d’avantage pour sa propre sécurité physique que par réelle motivation. Mais il était le premier de la classe, c’est tout ce qu’on voulait voir. Lorsqu’il eu quinze ans, vint le moment pour Henry de prendre sa retraite. Sans grande surprise, c’était loin, très très loin d’enchanter le jeune homme. Il regarda son père revenir, définitivement cette fois, avec une réelle angoisse, avec le pressentiment que les choses n’iraient absolument pas en s’arrangeant. Il aurait aimé faire erreur, réellement. Il aurait aimé découvrir une autre facette de celui qu’il avait appris à craindre. Mais ce ne fut pas le cas. Rien de ce qu’il faisait n’était assez bien pour Henry et bien vite, tout devient prétexte à punition. Un mot de trop, un geste, une note moins bonne que les autres, un regard, tout. Mais Alexander se tut. Lorsque son père commença à boire pour noyer l’ennui et se mit à se défouler, parfois de manière brutale, sur lui, il se tut encore. De toute façon, qui l’aurait cru s’il avait parlé ? En public, Henry donnait l’image de l’homme parfait, du héros qui s’était battu pour son pays mais aussi d’un homme aimant envers sa famille et très fier de son fils. Dans l’intimité, il était tout l’inverse. Dévasté par la guerre, rongé par la colère, la seule manière qu’il avait d’aller mieux, c’était de frapper. Sur son fils, sur sa femme, qu’importe. Car oui, il n’était plus que l’ombre de l’homme qu’avait un jour connu Lily. Et si elle était parvenue à fermer les yeux durant des années sur le comportement d’Henry envers Alexander, il fallut bien arrêter de faire l’autruche lorsqu’il revint et qu’il commença à s’en prendre à elle également. Elle aurait dû partir. Déménager, loin, dans une autre ville, un autre pays, de manière à ce que jamais il ne la retrouve. À ce que plus jamais ils ne puissent les toucher, elle ou Alexander. Mais elle en était incapable. La vérité, c’est qu’elle l’aimait toujours. Malgré les coups, malgré la douleur, elle ne pouvait se résoudre à le quitter. Parce que parfois, lorsqu’il n’était pas sous l’emprise de l’alcool, elle retrouvait le regard océan de l’homme qu’elle avait épousé, de celui qui avait autrefois été si tendre avec elle, de celui dont elle était tombée éperdument amoureuse. Alors elle restait et elle encaissait, et Alexander aussi.

Bientôt, il devint difficile de cacher les bleues et les marques, mais il avait seize ans. Aussi le pensa-t-on simplement devenu bagarreur, ce que son père ne manqua pas de confirmer lorsqu’on lui posa directement la question. Ce ne fut pas bien difficile pour lui de convaincre ses amis et ses professeurs que tout allait pour le mieux. Très charismatique, il lui suffisait de se forcer à sourire pour éviter les questions gênantes. Cette situation perdura un long moment encore. Si longtemps qu’il ne put pas réellement vivre son adolescence comme ses camarades. Il devint solitaire, fuyant, tant la peur qu'on découvre son lourd secret l’étreignait. Il y eut bien quelques petites amourettes, mais il découvrit bien vite qu'il ne supportait pas qu'on le touche. D’autre part, les nuits cauchemardesques qu’il vivait ne lui permettaient clairement pas de dormir avec quelqu’un. Aussi devint-il plutôt volage, profitant de plaire pour accumuler les aventures d’un soir plutôt que de risquer de se trahir en s’attachant à quelqu’un. Lorsqu’il obtint son diplôme, Henry voulut le pousser à s’engager dans l’armée, comme lui, mais il parvint à gagner du temps, décrochant un petit boulot et argumentant l’envie de vouloir mettre de l’argent de côté afin d’assurer son avenir. La vérité, c’est qu’il était hors de question qu’il parte, d’une part parce que sa plus grande peur était bien de devenir comme son père et de l’autre, parce qu’il craignait plus que tout de laisser sa mère seule avec lui. Pourtant, cela arriva nécessairement. C’était arrivé avant, lorsqu’il allait encore à l’école, et ça arriva encore lorsqu’il commença à travailler. Malgré tout, il s’arrangeait toujours pour rentrer une ou deux heures maximum après elle. Cependant, cela ne fut pas suffisant. Il le réalisa de manière brutale, lorsqu’en cette soirée d’automne 2006 il pénétra dans la modeste maison qu’ils occupaient et qu’il découvrit Lily étendue par terre, morte. Son père avait tellement bu qu’il s’était endormi, sans même réaliser que cette fois-ci, il avait frappé si fort que cela avait été fatal à sa femme. Sans l’arrivée de la police, alertée par les cris, Alexander aurait sans nul doute tué son géniteur ce soir là tant sa colère et sa douleur étaient grande. Il n’en eut pas l’occasion, mais Henry fut jugé et condamné pour ses actes. Alors tout le monde découvrit son secret. L’histoire de ce garçon et de sa mère maltraités durant des années apparut dans la presse. Et le regard des gens changea. Le jeune homme put lire de la pitié dans le regard de ses voisins, de ses amis. Parfois même une profonde tristesse qu’il était bien incapable d’accepter. Ils n’avaient aucune idée de ce qu’il avait vécu, ils ne sauraient jamais.

C’est pour cela qu’il prit la décision de quitter New-York. Lily était morte, Henry en prison. Plus rien ne le retenait ici et il fit ses bagages, direction Wellington, en Nouvelle-Zélande. Pas dans l’espoir de démarrer une nouvelle vie parce qu’il sait parfaitement que la blessure qu’il porte ne disparaîtra jamais, mais simplement pour ne plus avoir à supporter le regard des gens. Ce regard qui signifiait clairement « je sais qui tu es » et auquel il savait qu’il ne pourrait pas s’habituer. Pourquoi à Wellington et pas ailleurs ? Aujourd’hui encore, il est incapable de répondre à cette question. Une opportunité s’est offerte à lui et il l’a saisit sans vraiment réfléchir. Très vite, il décida de reprendre ses études, choisissant naturellement les sciences du comportement. Ce qu’il voulait, lui, c’était comprendre. Comprendre pourquoi et comment un homme peut en arriver à faire ce qu’avait fait son père. Elève studieux le jour, fêtard invétéré et dragueur la nuit, c’est ce qu’il avait choisi de devenir. Doué dans ce qu’il entreprenait, et perfectionniste parce que l’ombre de son père planait toujours au dessus de sa tête bien malgré lui, il arriva en tête de sa promotion et choisit de devenir professeur, autant pour transmettre ce qu’on lui avait appris que pour se dégager du temps libre et continuer ses recherches personnelles en parallèle. Il a aujourd’hui trente-huit-ans et depuis quelques mois, il est régulièrement contacté par les forces spéciales afin d’apporter son point de vue sur certaines affaires. Il n’est pas heureux, bien loin de là mais il prend ce que la vie lui apporte en essayant de s’en satisfaire. De toute manière, il n’attend rien de particulier, car le pire est derrière lui, n’est-ce pas ?
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Re: J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. - (Jeu 22 Déc - 20:11)
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bienvenue ici J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 613702535
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Bienvenue parmi nous J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 2227089788
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tant de mystère, ça donne envie d'en savoir plus J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 613702535 J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 2804261376 J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 2804261376 déjà, le titre, j'approuve J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 41734297 J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 843243092
bienvenuuue ici bel inconnu J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 41734297

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Re: J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. - (Jeu 22 Déc - 21:29)
bienvenue et bon courage pour ta fiche :heart2:
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Re: J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. - (Jeu 22 Déc - 21:44)
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Sois le bienvenu! Et bonne chance pour ta fiche!!! J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 3483508122
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Re: J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. - (Jeu 22 Déc - 21:51)
je suis curieuse maintenant ! J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. 1313872245
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Re: J'ai essayé ça sert à rien on change pas, on change jamais. - (Jeu 22 Déc - 22:24)
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