Lou + Let me Out

âge,, 24 ans métier/études,, héritier des entreprises et du poste de mafieux de son père, ainsi que gérant d’un magasin de jouets, vendant surtout des jouets en bois et des peluches. Il a délégué tout ce qui est illégal, ça ne l’intéresse pas. il récupère juste une part des profits, et se déplace quand il n'a pas d'autre choix. officiellement, il a juste hérité de l’empire Phantomhive comprenant un certain nombre d’entreprises (pharmaceutique, automobile, communication) situation amoureuse,, en couple liens recherchés,, écrire ici crédits,, © WOOD SPOON et créditimage.

à la fois hypersexuel et asexuel, c’est cyclique. soit les relations sexuelles vont presque le dégoûter, soit il va avoir envie de sauter sur tout ce qui bouge. plusieurs fois par jour, avec une ou plusieurs personnes en même temps. il a déjà eu des relations payées, fantasmé sur tous ses proches, mais le psy qu’il avait été voir n’avait pas réussi à lui apporter une aide suffisante. sur le coup, ça allait, puis les stratégies mises en places sont tombées à l’eau ‹ le psy a fini par déclarer que sa situation relevait du pathologique, sans réussir à expliquer les périodes de dégoût jusqu’au point d’avoir des symptômes physiques à l’idée d’une relation sexuelle. enfin, à les expliquer par autre chose qu'une agression sexuelle durant l'enfance. Lou a arrêté de le voir à ce moment, ne voulant pas en savoir plus sur les souvenirs flous qui revenaient parfois à son esprit ‹ se concentrer sur les sensations lors de relation sexuelle, c’est la seule façon qu’il a trouvée pour arrêter de penser, et ça ne marche pas à tous les coups ‹ il est perpétuellement en recherches de relations sexuelles plus intenses, plus violentes, c’est une drogue qui le fait toujours plus souffrir mais dont il ne peut se passer, bien plus addictive que l’alcool. il n’y a qu’avec Kyo que c’est différent. que sa simple présence l’apaise, qu’il ne ressent pas le besoin qu’il le fasse souffrir pour se sentir ne serait-ce qu’un peu vivant.

il ne se confie que très rarement, habitué à devoir se débrouiller seul. refouler ses émotions, c’est une habitude pour lui, même s’il sait que ça n’en n’est pas une bonne ‹ il ne fait pas attention à sa santé quand il est malade. ses collaborateurs l’ont déjà vu venir travailler avec une grippe, si malade qu’il a fait un malaise devant eux à plusieurs reprises, et avec un mal de ventre qu’il traînait depuis plusieurs jours et qui s’est avéré être l’appendicite ‹ tient très mal l’alcool, trois verres lui suffisent. ça ne l’empêche pas de boire, au contraire : il consomme régulièrement de l’alcool. trop souvent, selon certains ‹ il essaie d’arrêter l’alcool et sa consommation occasionnelle de cocaïne depuis que son petit ami à failli en mourir fin décembre 2018, mais a de plus en plus de mal à gérer et tout simplement accepter les symptômes de manque de l’alcool.

a déjà accidentellement tué quelqu’un. sa seule réaction a été “fait chier” ‹ tombe souvent malade, et a de base une santé pas excellente ‹ il s’ennuie beaucoup. ses principaux passe-temps sont le travail et internet (en particulier instagram), les deux en même temps. après, il y a l’alcool, le sexe, le cinéma. il n’a pas réellement de genre favori, mais s’il devait en choisir absolument un, son choix irait sûrement aux films expérimentaux ‹ il finit souvent par se battre, surtout en soirée alcoolisée. mais en réalité, il se fait plus souvent battre qu’il ne bat. alors qu’il fait de la boxe depuis plusieurs années.

c’est son frère, aîné de la famille de quelques minutes, qui aurait dû prendre la tête des entreprises familiales. il en a été autrement, car la vie est remplie d’imprévus ‹ il a eu son bac à seize ans. à l’époque il vivait en France, il s’était inscrit aux épreuves alors qu’il n’était qu’en seconde et a obtenu le diplôme filière ES avec mention assez bien. il y a ensuite fait un DUT GEA avant d'aller passer deux ans en Angleterre ‹ on lui demande souvent sa carte d’identité quand il veut acheter de l’alcool. on le soupçonne souvent qu’elle soit fausse ‹ autiste. il a un QI dans la moyenne haute mais n’a pas prononcé un mot avant ses six ans, bien qu’il est sûr qu’il savait comment faire, il dit qu’il ne voyait pas l’intérêt de parler. il a été diagnostiqué tard par rapport à la majorité, à ses neuf ans ‹ enfant, il adorait la chimie. puis, à la perte de ses parents et de son frère, il y a perdu goût ‹ parle anglais, français, coréen et a quelques restes d’allemand, sa LV2 durant sa scolarité en France, tout juste assez pour tenir une conversation banale et avec des fautes ‹ sa vraie identité est Clément Jang-Mi Phantomhive. mais depuis la mort de sa famille dans un incendie qui n’a laissé que leurs os, c’est Lou Enoah Phantomhive, noms du fils aîné d’Isaac et et Eun-mi Phantomhive. pourquoi cette usurpation d’identité ? il a prononcé “Lou” quand on lui a demandé son prénom, car son frère lui manquait, car il était incapable de dire autre chose. il n’a jamais été capable d’ensuite répondre “Clément”. ça fait tellement longtemps maintenant qu’il a parfois l’impression d’avoir toujours été Lou, même s’ils n’avaient pas grand chose en commun hormis leur apparence.

il voit souvent sa famille vivant à Wellington mais n’est pas particulièrement émotionnellement proche d’eux. peut-être est-ce parce qu’il se souvient très bien qu’il privilégiaient, parfois inconsciemment, son frère, parce qu’il n’était pas “bizarre”. ou alors, c’est parce qu’il en voit une partie régulièrement dans le cadre professionnel et qu’il rêve de tout laisser tomber, hormis sa boutique ‹ malgré toutes ses obligations familiales, il a ouvert sa boutique de jouets en bois et peluches il y a trois ans, en février. son frère rêvait d’en avoir une avec lui quand ils étaient enfants et ça a été une étape importante dans son deuil, surtout qu’il l’a ouverte à la période anniversaire de sa mort ‹ il n’a pas l’impression de souffrir en pensant à Lou, mais peut-être est-ce simplement parce qu’il s’est habitué à la douleur ‹ il oublie très, très facilement qu’il est alcoolique depuis ses dix ans. il buvait en cachette la nuit pour calmer ses angoisses et ses insomnies, sans réaliser que l’alcool était dangereux. après un début de coma éthylique à ses onze ans, après avoir bu de l’absinthe, il a commencé à prendre des somnifères et a dû voir un addictologue car il a commencé à montrer des symptômes de manque.  en savoir (pas beaucoup) plus.