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Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive.

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Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 10:39)

Maxence Eliot Hepburn
feat. jamie dornan

Nom hepburn hérité de ses parents (adoptifs). Prénom(s) maxence puis eliot en deuxième prénom qui lui vient de son père. Âge trente ans. Naissance né le 10 juin 1986 à Boston. Nationalité il est totalement américain, pour ce qu'il en sait. Origines américaine, mais allez savoir ce qu'il se cache vraiment derrière un acte d'adoption. Statut civil célibataire. Orientation sexuelle il préfère les courbes féminines, sans aucune hésitation. Occupation officiellement il est le propriétaire du hawthorn lounge et barman lorsque c'est nécessaire. officieusement, il participe à des combats de boxe illégaux et il est plutôt doué. Argent il a assez d'argent pour le train de vie qu'il mène, même s'il ne sera jamais crésus. Groupe murphy's law : parce que Maxence, il s'est fait à l'idée que la vie elle n'était ni belle, ni rose bonbon. avec tout ce qu'il a vécu, il sait au contraire que rien n'est jamais facile, mais il s'y est fait. il l'a accepté parce que, de toute façon, ce n'est pas comme s'il avait le choix. alors entre deux moments de calme, il attend simplement que le prochain problème arrive. parce qu'il sait qu'il n'y a absolument rien d'autre à faire. ce qui doit lui arriver, arrivera, peu importe ses choix. The Fortune Teller open bar.

❇️ ❇️ ❇️

Maxence, il est pas forcément facile à vivre tous les jours. C'est un impulsif de nature et lorsque quelque chose ou quelqu'un le contrarie, il a tendance à facilement perdre son calme. Il est direct et borné, il n'aime pas vraiment perdre son temps avec des choses sans importance. Observateur, il peut passer plus de temps à observer qu'à parler, on découvre souvent plus de chose dans le comportement des gens. C'est pas vraiment un nounours dans l'âme, il n'est pas doué pour réconforter les gens mais quand ça lui arrive il fait de son mieux. La solitude ne le dérange pas alors il laisse peu de personnes entrer dans sa vie. Pourtant lorsque c'est le cas, il sait très bien se montrer gentil, à l'écoute, et peut-être même un peu drôle, ça dépend du point de vue.

each memory has a soundtrack of its own.

il avait commencé des études de droit à Boston mais après avoir déménagé il n’a jamais eu l’envie de s’y remettre. Il a enchainé les petits boulots pendant un temps plus jeune il faisait partie de l’équipe de basket de son lycée et il a même continué pendant un an en entrant à la fac. c’est un sport qu’il affectionne toujours même s’il ne le pratique plus aussi souvent. En réalité, il a surtout été remplacé par une sorte de « sport » un peu plus controversée il a parfois des réactions excessives et essaye de travailler sur son contrôle, sans grand succès pour le moment. Son impulsivité est un de ses plus grands défauts mais quand quelque chose  ou quelqu’un le contrarie vraiment il est incapable de ne pas réagir. Certaines personnes le qualifient même d’incontrôlable dans ces moments-là il n’accorde pas de grand intérêt aux relations sérieuses, le papillonnage de temps en temps lui convient parce que ça lui permet surtout de garder une entière liberté. Pour le moment, il ne se voit pas passer le reste de sa vie avec la même femme il commence toujours une journée par un café noir et il lui arrive aussi souvent d’aller courir. La musique à fond dans les oreilles, il est imperméable à tout ce qui l’entoure. Le sport a un effet presque apaisant sur lui il ne fume pas et ne boit que très rarement, bien qu’il passe la moitié de son temps dans un bar. Il voit bien les ravages que l’alcool peut faire sur une personne et il ne tient pas vraiment à être le prochain il est souvent blessé, plus ou moins gravement mais dorénavant ça fait un peu partie de sa vie. il aimerait pouvoir dire qu'il devient un habitué à la douleur mais ce n'est pas encore toujours le cas il a déjà pensé à adopter un chien avant de se rendre compte qu'il ne saurait absolument pas s'en occuper. il a déjà dû mal à s'occuper de lui-même alors il n'a pas voulu tenter le coup il ne parle que très rarement, voire jamais, de ses parents préférant tourner la page de ce moment de sa vie. même s'il tient toujours à eux et qu'il n'a jamais fait la moindre recherche pour trouver ses parents biologiques

Pseudo/Prénom pop'n gum/ j. Âge paraitrait que j'ai 23 ans mais j'y crois toujours pas Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 3782170742 Pays franciaa et quelque part à l'est, là où il fait froid Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 4135354924 Connexion assez fréquente, tous les jours ou presque en général et pour rp, ça va dépendre des semaines. Où as-tu connu le forum? c'est une amie qui l'a trouvé mais je pense que c'était sur bazzart Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 180640823 Personnage inventé. Dernière bafouille votre forum est super agréable pour les yeux Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 843243092
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 10:40)
En ce moment, beaucoup de gens ont renoncé à vivre. Ils ne s'ennuient pas, ils ne pleurent pas, ils se contentent d'attendre que le temps passe. Ils n'ont pas accepté les défis de la vie et elle ne les défie plus.

Le petit garçon de cinq ans trépignait d’impatience, parcourant le salon dans tous les sens possibles et inimaginables. De temps en temps, il s’arrêtait devant l’horloge, observait soigneusement les aiguilles avant de continuer son petit chemin. Son père lui avait promis qu’une fois que la plus grande d’entre elles serait arrivée au milieu, elles seraient là. Et depuis, Maxence ne cessait de tourner en rond, essayant de ne pas paraitre trop impatient alors que son père ne disait pas un mot. Il eut encore le temps de faire deux fois le tour du salon, s’autorisant un détour par sa chambre pour rendre le trajet plus long, avant que l’aiguille arrive enfin à destination. Il retint un cri de joie avant de courir jusqu’à la porte d’entrée seulement personne n’arrivait et il n’y avait aucun bruit susceptible d’annoncer une prochaine arrivée. « Papa, pourquoi elles arrivent pas ? » Son père releva finalement les yeux, lui adressant à peine un coup d’œil avant de laisser échapper un soupir. Maxence savait déjà ce qui l’attendait : un récit complet sur ce que signifiait la patience et à quel moment il fallait l’appliquer. Mais du haut de ses cinq ans, le garçon pensait déjà avoir assez attendu comme ça. Il avait même l’impression de n’avoir fait que ça depuis le moment où ses parents lui avaient appris qu’il allait avoir une petite sœur. C’est vrai il ne savait pas exactement ce que ça pouvait dire mais quand ses parents lui avait expliqué, il avait adoré l’idée. En réalité, il avait surtout retenu celle où il allait avoir quelqu’un pour jouer avec lui, même si on avait bien insisté sur le fait que cela ne pourrait pas être le cas tout de suite. Mais quand même, à partir de maintenant il ne serait plus tout seul dans cette grande maison. Enfin pour cela, encore fallait-il qu’elles arrivent. Maxence avait repris ses petits tours ne sachant pas comment s’occuper autrement. Il avait simplement arrêté de les compter et de scruter l’horloge du salon puisque visiblement on ne pouvait pas s’y fier. Il était en plein milieu du couloir quand il entendit la porte claquer et la voix de sa mère résonner depuis l’entrée. Il traversa la maison comme un éclair et ne réussit à se calmer qu’au moment où sa mère le rappela à l’ordre. Doucement, il finit de se rapprocher alors que sa mère se baissait afin de se mettre à sa hauteur. « C’est ta petite sœur, Constance. » Maxence se rapprocha, curieux et presque inquiet. Sa petite sœur était minuscule dans les bras de sa mère et semblait même dormir profondément. Il l’observa quelques instants, ne sachant pas véritablement comment il était censé réagir. « Elle est toute petite… » Le petit garçon ne savait si son inquiétude était apparue dans sa voix mais sa mère lui adressa un sourire qui se voulait rassurant alors qu’il n’arrivait pas à détacher ses yeux de sa nouvelle petite sœur.  « C’est normal, mon grand. Mais bientôt elle va grandir, elle sera comme toi et peut-être même qu’elle sera un peu perdue parfois et alors elle va compter sur son grand frère pour l’aider. Pour veiller sur elle. » Maxence releva les yeux un quart de seconde. Il avait l’impression que sa mère était en train de lui donner une mission de la plus haute importance et qu’elle comptait sur lui. Comme s’il n’y avait que lui qui pouvait la mener à bien et bizarrement cette idée lui plaisait. Il n’en comprenait pas vraiment le sens. Il ne comprenait même certainement pas tout mais il savait qu’il le ferait. Et qu’il ferait tout pour y arriver. Son regard retrouva le visage de Constance, toujours parfaitement endormie. « D’accord. C’est promis petite sœur ! » Un sourire étira finalement ses lèvres alors qu’il suivait sa mère jusqu’au salon. Mais à ce moment-là il ne savait pas encore que cette promesse allait durer des années. Ce qu’elle pouvait réellement signifier. Il voulait protéger sa sœur. Il le ferait, sans même avoir à se poser de questions. Peu importe ce qui lui arriverait. Ce qui leur arriverait.

Les années étaient finalement passées et Maxence se rendait compte que son vrai boulot de frère ainé allait prendre tout son sens à mesure que sa sœur grandissait. Ils s’étaient toujours bien entendu. Du moins comme pouvait s’entendre un frère et une sœur. Ils étaient un peu comme chien et chat. Un jour tout allait bien et le lendemain leurs cris résonnaient à travers toute la maison parce qu’ils n’arrivaient pas à trouver un accord sur le prochain film à regarder. Leur parent avait arrêté d’essayer de les raisonner, même les punir n’avait plus aucun effet. Au final, ils se contentaient de bouder un jour ou deux avant que tout ne redevienne à la normale. Il suffisait qu’un des deux ait besoin de l’aide de l’autre pour que le problème de la veille ne soit plus qu’un vague souvenir. Quelque part, ils savaient qu’ils pouvaient compter l’un sur l’autre. Sans avoir besoin de le dire. Sans avoir besoin de beau et grand discours. Et c’était tout ce qu’il leur fallait. Tout ce dont ils avaient besoin. « Je vais avoir besoin de ton aide sur ce coup-là. Et non personne d’autre ne peut aider, Max’ ! » Constance avait débarqué dans sa chambre, un de ses bouquins à la main et une feuille dans l’autre. Maxence esquissa un sourire, sachant très bien ce que voulait sa sœur. Il allait encore devoir passer des heures à l’aider sur ses devoirs et même si cette idée ne l’enchantait pas, il savait qu’il le ferait. « Plus tard, sœurette. Je vais être en retard à l’entrainement, on verra plus tard. » Constance lui adressa un regard qui voulait tout dire et le sourire du jeune homme s’était agrandi en la voyant faire. « C’est promis. » L’espace d’un instant, Maxence avait vaguement espéré qu’elle ait oublié et qu’il réussisse à passer au travers. Mais c’était sans compter le côté coriace de sa petite sœur. Elle l’attendait de pied ferme, deux heures plus tard et lui laissa à peine le temps de prendre une douche avant de débarquer une nouvelle fois dans sa chambre. Mais le jeune homme s’était exécuté comme il le lui avait promis. Passant une bonne partie de sa soirée à chercher dans ses souvenirs ce qu’il avait pu apprendre à l’école à son âge.

Maxence avait toujours fait en sorte de tenir les promesses qu’il avait pu faire un jour à sa sœur. De la plus banale à la plus farfelue, quand Constance pensait avoir eu une idée lumineuse et que le jeune homme ne voulait pas la faire redescendre sur terre, trop vite. Il n’avait jamais pensé qu’une seule de ces promesses pourrait un jour être plus dure à tenir. Il ne s’était jamais dit que vouloir protéger sa petite sœur pouvait aller jusque là. Pourtant s’il y avait bien une chose à laquelle le jeune homme voulait se tenir, c’était celle là. Il refusait simplement le fait qu’il puisse arriver quelque chose à Constance, elle ne le méritait pas et il n’était même pas certain d’arriver à l’accepter. Il voulait la protéger, peu importe ce que cela pouvait lui demander. En réalité, il n’avait jamais eu à se demander ce qu’il aurait à faire pour elle, jusqu’à ce qu’il y soit confronté. C’était l’année de ses dix-huit ans. Sa sœur venait d’avoir treize ans et leurs parents avaient accepté de la laisser passer l’après-midi au centre commercial avec ses amies. A condition que le frère ainé soit dans les parages, évidemment. Bien que peu enchanté face à l’idée, Maxence avait cédé devant le visage suppliant de sa sœur et il s’était retrouvé à vagabonder dans le centre commercial avec ses propres amis, gardant un œil sur sa sœur de loin. Cela dit, il avait été content à mesure que l’après-midi touchait à sa fin. Passer autant de temps dans un centre commercial n’était définitivement pas pour lui. Il s’était retrouvé tout seul presque une dizaine de minutes plus tôt et il n’avait plus qu’à retrouver sa petite sœur à l’entrée du magasin avant de pouvoir enfin partir. Il avait failli ne pas la remarquer, cachée par une bande de mecs. Enfin ils étaient trois, surement de son âge, mais autour d’une enfant de treize ans ils pouvaient largement passer pour une bande. « Y’a un problème ? » Maxence s’était rapproché, attirant l’attention sur lui alors que sa sœur semblait presque soulagée de le voir arriver. Son regard s’était fixé sur les trois autres garçons qui ne semblaient pas vraiment apprécier son arrivée. En réalité, il n’avait écouté qu’à moitié ce qu’ils avaient essayé de lui raconter. Surement que ce n’était pas ses affaires et qu’il ferait mieux de faire demi-tour s’il voulait éviter les problèmes. Seulement Maxence se fichait bien des problèmes qu’il pouvait avoir à ce moment-là. Tout ce qui lui importait c’était sa sœur et l’air terrorisé qu’elle affichait et qui sembla s’accentuer quand celui le plus à droite se retourna vers elle. « A ta place, je la toucherais pas ! » Pour le reste, il n’aurait su dire si c’était lui qui avait frappé le premier ou bien s’il n’avait fait que répondre à une attaque. La seule chose dont il se souvenait c’est de son poing qui s’abattait plusieurs fois sur le visage du garçon pendant que ses deux amis prenaient la fuite. Il le frappa surement plus que nécessaire, incapable de s’arrêter et de se contrôler. L’idée qu’ils aient pu vouloir s’en prendre à sa sœur le mettait hors de lui et il voulait les faire payer pour ça. Il ne s’arrêta que lorsque l’autre tomba à ses pieds et il se rendit enfin compte de ce qu’il venait de faire. Jusqu’à présent il ne s’était jamais dit que la violence était un bon moyen de résoudre ses problèmes ou même que ça pouvait avoir un effet libérateur. Pourtant les idées qui lui effleuraient l’esprit à ce moment-là commençaient à lui faire peur et il ne voulait pas y accorder trop d’importance, doutant du chemin sur lequel elles allaient l’emmener. Il entraina Constance avec lui, rentrant chez eux en quatrième vitesse alors que sa sœur n’avait toujours pas prononcé un mot. Il claqua la porte derrière eux et se dirigea vers la salle de bain afin de constater les dégâts. Sa lèvre avait saigné, un bleu commençait à se former sous œil gauche et ses mains étaient en mauvais état. Il essayait tant bien que mal de faire disparaitre les traces quand sa sœur arriva. « Je suis désolée… Je leur avais dit que tu allais arriver mais ils ne m’ont pas cru. Ils ne voulaient pas me laisser… » Pour la première fois depuis le centre commercial, Maxence prit le temps de regarder sa sœur. Elle avait toujours l’air terrifié et ses yeux brillaient alors qu’elle luttait contre ses larmes. Le jeune homme se tourna vers elle, se baissant pour être finalement à sa hauteur. Il aurait voulu savoir quoi lui dire. Pour la rassurer. Pour qu’elle n’ait pas peur. Mais il ne savait pas vraiment comment le faire, au final. Même s’il était certain d’une chose : elle n’avait pas à s’en vouloir. « Je sais. C’est pas de ta faute Constance, d’accord. Tu n’y es pour rien et je ne t’en veux pas. » Elle releva les yeux vers lui, se demandant sans doute si elle devait y croire sans se poser de questions. « Mais tu saignes à cause de moi… » Le jeune homme eut un léger sourire face à son inquiétude. « C’est pas grave. Et tu sais pourquoi ? Parce que tu es ma petite sœur. Et parce que j’ai toujours dit que je te protégerais quoi qu’il arrive. Quoi qu’il t’arrive, je serai là pour toi et je t’aiderai, toujours. » Maxence lui adressa un nouveau sourire. Il ne voulait pas l’effrayer et il espérait simplement qu’elle réussisse, un jour, à oublier cet épisode. Qu’elle puisse l’effacer de sa vie. Il l’embrassa sur le front avant de la serrer dans ses bras. Il ne savait même pas s’il devait se réjouir ou craindre d’être capable de tout pour sa sœur. Il aurait sans doute dû avoir peur de là où ça pouvait le mener mais ce n’était même pas le cas.

Maxence s’était battu pour la première fois ce jour là. Pour sa sœur. Et peut-être un peu pour lui aussi, il n’en savait rien. En réalité, cette question ne cessait d’aller et venir dans son esprit sans qu’il n’arrive jamais à y trouver une quelconque réponse. Pourquoi est-ce que la simple idée de se battre ne le dérangeait pas tant que ça ? Sans doute parce que dans un premier temps il l’avait fait pour sa sœur. Mais sa présence ne pouvait pas servir d’excuse à tout. Il ne pouvait pas se voiler la face, il n’avait jamais été aussi à l’aise avec l’idée de se battre et de se servir de ses poings depuis ce fameux épisode. Pourtant ses parents lui avaient assez répétés que la violence ne pouvait rien résoudre et qu’il ne fallait jamais l’utiliser. Mais le jeune homme se demandait si ses parents avaient raison. De toute évidence, ça pouvait résoudre beaucoup de problème à partir du moment où on savait s’en servir. A partir du moment où on était le meilleur. Au cours des deux années suivantes, il avait également découvert que ce pouvait être un bon moyen d’extérioriser toute la colère qu’il gardait en lui. D’effacer tous ses problèmes de son esprit et de ne plus avoir à s’en soucier. Personne ne pouvait alors nier que cette sensation était agréable. Cette impression que tout allait bien. Que la colère et l’agacement avaient disparu d’un seul coup. Alors il avait pris l’habitude d’aller dans une salle de sport, enfiler des gants de boxe et passer ses nerfs sur un punching ball. Parfois ça avait l’effet attendu. Il en sortait l’esprit libéré et redevenait l’enfant calme que ses parents avaient toujours connu. Le seul problème c’est que l’effet bénéfique ne durait jamais assez longtemps. Il arrivait toujours un moment où tous les efforts de Maxence semblaient s’envoler comme la neige fond au soleil. Son impulsivité reprenait le dessus à la moindre contrariété et la seule envie qui le traversait à ce moment là c’était de frapper. Quelque chose ou quelqu’un, peu lui importait en fin de compte. Il savait seulement que cela lui faisait du bien. De temps à autre, il se rendait compte que cette idée n’était pas tout à fait…normale. La violence ne devrait pas lui permettre de sentir mieux et pourtant c’était le cas. D’une manière étrange et qu’il aurait été bien incapable d’expliquer mais ça l’aidait. A oublier ce qui allait de travers dans sa vie. Cela l’aidait à se calmer la plupart du temps. Mais au-delà de ça, le jeune homme devait bien l’admettre : il y avait aussi pris goût. S’entrainer ainsi l’épuisait et quand il rentrait chez lui, il avait enfin le sentiment d’être plus calme, même si parfois ce n’était qu’en apparence. Il avait l’impression ne plus pouvoir sans passer mais au final était-ce si mal ? Il ne blessait personne, à part lui-même. Alors sans doute n’était-ce pas aussi grave qu’il pouvait parfois le penser. D’autant plus qu’il ne voulait pas arrêter.

Cela semblait tellement simple de s’en convaincre finalement. N’importe qui aurait pu y croire et lui le premier. Mais il aurait du savoir qu’à un moment il devenait presque impossible de ne blesser personne. Physiquement ou moralement. Mais Maxence n’avait jamais voulu y prêter d’importance. Enfermé dans son monde, il s’était contenté de voir les choses de son point de vue. Il était rentré chez lui directement après son dernier cours à l’université. La journée avait été longue et la seule chose à laquelle il pouvait penser était de se laisser tomber sur son lit et ne plus en bouger jusqu’au lendemain matin. Mais ses plans avaient changé au moment où il avait aperçu sa sœur, assise dans un coin du canapé, les larmes coulant librement le long de ses joues. S’il y avait bien une personne que Maxence n’aurait jamais pu éloigner de lui, c’était bien sa sœur. Alors il oublia toute idée d’aller s’enfermer dans sa chambre et la rejoignit. Il avait juste eu le temps de faire trois pas dans le salon avant que Constance ne le remarque, quitte le canapé pour se jeter contre lui. Il sentit ses bras le serrer alors qu’elle continuait à pleurer contre son tee-shirt. « Qu’est-ce qui se passe ? » A son tour, il la serra contre lui ne sachant pas quoi faire d’autre. En réalité, il détestait la voir comme ça mais tant qu’il ne savait pas ce qui l’avait mise dans cet état, il ne pouvait rien faire. Cela dit, il savait d’or et déjà ce qu’il ferait si c’était à cause d’un garçon. Sa sœur avait quinze ans, il était même prêt à parier sur cette idée. Enfin, c’est ce qu’il pensait. « Tu te rappelles que tu m’as promis que tu serais toujours là pour moi ? Mais vraiment toujours. Peu importe ce qui se passe et tout ça… » Constance releva ses yeux humides pour le regarder alors que son frère ne voyait absolument pas où elle voulait en venir. « Bien sur. Et c’est toujours le cas, tu le sais. Ça ne changera jamais ! » Sa sœur lui adressa un rapide sourire mais ne semblait pas rassurer pour autant. « Vraiment ? » Cela n’avait jamais été dans ses habitudes de ne pas le croire. De lui poser d’autres questions pour s’assurer qu’il était bien en train de lui dire vérité. Elle ne l’avait jamais fait et le jeune homme ne voyait pas quelles raisons elle pouvait avoir à commencer maintenant. « Qu’est-ce qui se passe ? »Au lieu de lui répondre, Constance lui tendit les feuilles qu’elle tenait en main jusqu’à présent. A vrai dire Maxence ne voyait pas exactement comment ça pouvait répondre à sa question mais il ne dit rien, essayant de se concentrer. Il eut beau les lire plusieurs fois, les parcourir des yeux plusieurs fois, il n’arrivait pas à admettre la triste vérité.  Sous ses yeux s’étalaient tous les documents qui avaient servi à l’adoption de sa sœur. Elle avait été adoptée. Elle n’était pas sa sœur biologique. Ils auraient très bien pu ne pas faire parti de la même famille. Mais il lui semblait que le pire était arrivé ensuite. Les dernières feuilles étaient pour lui : tout ce qui avait servi à l’adopter lui, vingt ans auparavant. Son regard se perdit sur les documents comme s’il cherchait à tout analyser. Maxence restait silencieux alors que sa sœur lui expliquait qu’elle était tombée dessus par hasard en cherchant autre chose. Il ne reprit contact avec la réalité qu’au moment où elle lui disait qu’elle aurait voulu ne jamais tomber dessus parce qu’elle ne voulait pas que quelque chose change. Et le jeune homme comprit enfin ce qui semblait tellement l’effrayer. Qu’il ne soit plus son frère et qu’il ne la considère plus comme sa sœur. En tout cas, comme sa vraie petite sœur. Cela aurait sans doute été une réaction légitime. Presque compréhensible. Mais Maxence ne pouvait pas faire ça. Il ne pouvait pas la laisser tomber sous prétexte que biologiquement elle n’était pas sa sœur. Que biologiquement ils ne faisaient pas partis de la même famille. Il ne le voulait pas non plus. Il reposa les papiers sur la petite table du salon et l’attira contre lui pour la reprendre dans ses bras. « Ça ne changera rien Constance, je te le promets. Quoi qu’il arrive, je serai là, je t’aiderai. Peu importe ce que ces foutus papiers peuvent dire, tu restes ma petite sœur et personne ne pourra changer ça… Ni maintenant, ni plus tard. » Il sentit ses petits bras se resserrer autour de lui mais ne dit rien. Il ne savait pas vraiment combien de temps ils étaient restés là. Assez longtemps puisque leurs parents étaient arrivés et les avait découvert ainsi. Maxence n’avait écouté qu’à moitié les explications que le couple Hepburn tentait de donner à leurs enfants. Il se fichait pas mal de ce qui avait bien pu les pousser à adopter, tout ce qu’il voyait c’était le mensonge. Qui avait duré vingt ans et qui aurait probablement duré encore plus longtemps si Constance n’avait rien découvert. Il avait été insensible aux appels de sa mère alors qu’il claquait la porte d’entrée derrière lui, disparaissant dans la nuit. Il avait trainé plusieurs heures en ville, espérant que marcher lui ferait du bien. Sans grand succès, hélas. Alors il s’était arrêté dans un bar, espérant qu’on ne lui demande pas son âge au moment de commander un verre. Mais même l’alcool ne l’aidait pas. Il était tendu par la colère et ne savait plus quoi faire pour essayer de l’apaiser. Ce n’est qu’à la sortie qu’il comprit. Quand il leva son bras et que son poing atteignit le visage d’un homme qui passait par là et qui n’avait pas compris que ce n’était pas le moment d’insister. Maxence recommença une fois, deux fois. Peut-être même trois. Il se fichait pas mal des égratignures sur sa main droite ou du regard des autres. Il s’était battu une seconde fois avec une autre personne et il ne savait pas s’il devait avoir peur du nouveau sentiment qui était en train de s’emparer de lui ou bien simplement faire avec. Il se sentait bien. Mieux, comme s’il venait de passer une heure dans une salle de sport à se défouler. Un sentiment de satisfaction mêlé à un sentiment de fierté.

2015 - Maxence laissait son regard balayer la salle d’attente de l’hôpital comme si sa présence ici n’avait rien d’anormal. A vrai dire, il commençait à connaitre cet endroit par cœur mais il ne pouvait pas réellement s’en plaindre, après tout s’il était là c’était de sa faute. « Monsieur Hepburn, c’est à vous. » Sans un mot, il suivit l’infirmière et se retrouva rapidement dans une petite salle loin du tumulte de la salle d’attente. Il s’assit sur le lit qui trônait en plein milieu de la pièce alors que l’infirmière faisait déjà demi-tour. « On viendra vous voir dans quelques minutes. » Il eut tout juste le temps d’hocher la tête avant de se retrouver tout seul. Sa tête le lançait par moment et sa lèvre inférieure lui faisait mal. Il imaginait sans peine qu’elle devait être ouverte à l’heure qu’il est alors que le sang qu’il avait sur les mains avait eu le temps de sécher. Mais il savait très bien qu’il ne s’en sortait pas si mal. Ce n’était jamais lui qui finissait dans le pire des états. Il était arrivé à Wellington plus de cinq auparavant, voulant laisser derrière lui tout ce qui n’allait pas dans sa vie. Essayer de recommencer à zéro ou presque et tenter d’oublier que ses parents lui avaient menti pendant des années. Il pouvait le comprendre, évidemment, mais le jeune homme n’avait jamais vraiment réussi à faire comme si de rien n’était. La seule personne avec laquelle rien n’avait changé, était Constance. Sa petite sœur était venue avec lui. Elle faisait sa vie de son côté et lui la sienne mais ils faisaient en sorte de prendre des nouvelles régulièrement. Parce qu’au final, ils ne pouvaient compter que l’un sur l’autre. S’éloigner de leur ville natale leur avait fait du bien en quelque sorte. Enfin Maxence n’allait pas s’en plaindre. Il avait arrêté ses études en arrivant en Nouvelle-Zélande plus aussi intéressé et passionné par les études de droit qu’auparavant. Il avait finit par s’habituer à la ville, par rencontrer des gens et par se faire de nouveaux amis. Il s’était même retrouvé propriétaire d’un bar branché. Et si au départ il n’y croyait pas, il devait bien admettre que c’était un boulot agréable surtout quand on avait la chance de choisir ses soirées. Finalement changer de ville et d’environnement pouvait être bénéfique. Il n’y avait qu’une seule chose qui n’avait pas changé et ça l’emmenait à l’hôpital assez souvent. Si ses parents le voyaient, ils en feraient probablement un arrêt cardiaque alors que lui se sentait bien. La porte s’ouvrit une nouvelle fois et Maxence esquissa un sourire en la voyant entrer dans la pièce, le nez penché sur son dossier. « Mademoiselle Lockwood ! Vous savez vous m’avez manqué depuis la dernière fois… » Il arqua un sourcil alors qu’elle relevait la tête pour le regarder et Maxence se demanda si elle n’avait pas retenu un sourire. S’il n’avait pas été obligé de venir à l’hôpital pour se faire soigner, elle aurait facilement pu être une excuse pour venir. En quelques mois, elle était peu à peu devenue comme son infirmière attitrée. Malgré elle, surement. Mais sans trop savoir pourquoi, le jeune homme préférait se retrouver face à elle. Sans doute parce qu’elle n’était pas comme les autres. Elle n’avait pas peur de lui, elle ne donnait même pas l’impression de se méfier de lui. Et elle était la seule fille qu’il ait jamais vue avec autant de répondant et ça aussi, ça lui plaisait. « Bien sur. Je vois que vous vous êtes donnés beaucoup de mal pour revenir ! Est-ce que je suis supposée me sentir flatter ? » Un sourire amusé s’installa sur les lèvres du jeune homme alors qu’il haussait simplement les épaules. « Moi je dirais bien que oui. Vous vous rendez compte de ce que je subis rien que pour vos beaux yeux… » Son sourire s’agrandit alors que sa jolie petite infirmière levait les yeux au ciel. Il ne rajouta rien et la laissa finalement faire son travail, répondant à ses questions dans la mesure du possible. En réalité aucun des coups qu’il avait reçu n’avait eu pour but essentiel de la revoir. Non, ça ce n’était qu’un bonus ou quelque chose comme ça. Le reste, c’était une histoire de fierté. Une histoire où il n’y avait rien de pire que de perdre alors il fallait rendre coup pour coup et essayer de gagner. A présent, certains soirs étaient le témoin de ce genre de scène, dans l’ombre des ruelles qui entouraient la ville. Au départ Maxence ne savait pas dans quoi il s’engageait mais il avait bien vite compris. Les supporters de chaque personne formaient presque un gang, étaient toujours soudés. Ils voulaient simplement montrer aux autres que c’était eux les meilleurs alors que les autres voulaient faire exactement la même chose. Une histoire d’égo et de fierté, tout ce qui animait un homme en général. Pour être honnête, Maxence se fichait bien des résultats des combats. Il ne portait d’intérêt qu’à ce qui se déroulait ensuite. Le moment où il pourrait laisser libre cours à ses pulsions sans que personne ne trouve ça étrange. Au contraire ses amis trouvaient presque cela utile parce que ça faisait de lui un des meilleurs. Parfois même un de ceux qui s’en sortaient le mieux au niveau des blessures. Il était devenu important et il adorait cette sensation. Ils comptaient sur lui et ils avaient confiance en lui et rien que cela suffisait à Maxence pour avoir envie de continuer. Peu importe les risques qu’il pouvait prendre à chaque fois. « C’est terminé. Je vais vous prescrire des cachets pour les maux de tête et il faudrait y aller un peu plus doucement pendant quelques jours. » Le jeune homme releva les yeux alors qu’elle remplissait déjà une ordonnance à son nom. Il se contenta d’hocher la tête sachant très bien qu’il ne respecterait pas ses recommandations. Même si elle n’avait aucune idée précise de ce qu’il faisait pour l’amener à l’hôpital à intervalle régulier, il se doutait bien qu’elle ne croyait plus un seul instant aux histoires qu’il inventait à chaque fois qu’il venait. Tomber les escaliers, éviter de justesse une voiture, sortir un homme bien alcoolisé de son bar qui tentait de faire valoir son avis à coup de poing. Il avait probablement déjà dû tout lui sortir et même si elle n’y croyait plus, elle n’avait jamais rien dit. Peut-être qu’au fond, elle s’en fichait. « Je sais que ça ne me regarde pas mais à votre place, je ferais quand même un peu plus attention. Un jour il va finir par vous arriver quelque chose de beaucoup plus grave et qui ne pourra pas s’arranger avec quelques points de suture ! » Maxence eut un sourire avant de se relever. Il en profita pour se rapprocher d’elle, baissant finalement les yeux pour la regarder. Il arrivait souvent un moment où elle essayait de lui faire comprendre que son comportement pouvait être dangereux mais il avait plutôt tendance à s’en amuser même si elle semblait assez têtue pour lui rappeler de plus en plus souvent. « Vous avez surement raison mais que serait la vie si on ne prenait pas quelques petits risques de temps en temps. Et puis c’est bien pour ça que je demande à vous voir à chaque fois, je sais que je suis entre de bonnes mains… » Il lui adressa un sourire en coin avant de récupérer l’ordonnance qu’elle tenait toujours entre ses mains et de récupérer sa veste. Il se dirigea vers la porte pour l’ouvrir. Maxence se retourna juste avant de sortir, son sourire n’ayant pas quitté ses lèvres. « A la prochaine, mademoiselle Lockwood. » Il n’attendit aucune réponse et ferma la porte derrière lui. Il commençait à connaitre le chemin par cœur et se retrouva bien vite dehors, dans l’air frais de Wellington. S’il y avait bien une chose qu’il pouvait affirmer, c’était qu’il y aurait bel et bien une prochaine fois. Dans le fond, personne ne pouvait plus changer ce qu’il était vraiment et il n’était pas certain d’en avoir envie non plus. Il était lui-même et ça lui convenait.
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 10:43)
Le pseudo, Jamie, les citations dans la signature, j'approuve Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 1321790767 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 843243092 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 843243092
Bienvenue sur tgp, et bonne rédaction Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 2101133513 N'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit, le staff est là Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 365303401 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 1957564982

(je te réserve Jamie pour 4 jours Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 2227089788)
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 10:44)
omg Jamie Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 843243092 jte préviens je veux un lien Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 843243092
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 10:47)
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 10:58)
Oh merci beaucoup Millie Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 613702535 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 180640823 Je n'hésiterais pas si j'ai besoin, merci Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 107302656

Merci les filles Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 3483508122 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 3554698449 et avec plaisir pour le lien Ashley Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 1957564982
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 11:57)
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Amuse toi bien avec nous Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 613702535
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 12:16)
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 16:43)
Merci à tous les deux Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 613702535 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 107302656
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Re: Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. - (Mer 26 Oct - 17:43)
Mon dieu Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 1106308784 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 1106308784 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 2477874054 Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 723394982 ce vava quoi :heart2: courage pour ta fiche Maxence ≈ everything that kills me, makes me feel alive. 1957564982
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