Invité
| m/ and stay with me. - (Sam 3 Fév - 23:46) |
matthew feat william moseley
 | Nom au choix, je ne suis pas difficile, mais au moins à consonance néo-zélandaise vu qu'il est d'ici. Prénom(s) matthew, pour les besoins du scénario, mais négociable. Âge entre vingt-huit et trente ans à peu près. Naissance à votre convenance. Nationalité au moins néo-zélandais, il serait né ici à wellington mais serait parti avant de revenir. cela fait de lui néanmoins un néo-zélandais. Origines au moins néo-zélandaise, après c'est totalement au choix, c'est tout à fait à votre convenance si vous voulez le faire anglais, italien français ou même mongole si ça vous chante. Statut civil célibataire, bien trop occupé pour s'occuper de son propre coeur. Orientation sexuelle les femmes, il n'y a jamais eu qu'elles en fait. Occupation écrivain. il laisse glisser ses mains sur sa vieille machine à écrire. retrouvant alors doucement le bonheur d'écrire dans sa ville natale après deux années de syndrome de la pages blanchee. Argent tout va bien de ce côté-là même très bien. Groupe au choix.
Caractère souriant, blagueur, mystérieux, attachant, prévenant,
professionnel, à l'écoute, introverti, curieux... |
histoire/anecdote le jeune homme est né dans une famille modeste. ni trop peu, ni pas assez. • il a toujours été entouré par l'amour de ses parents et les potentiels frères et soeurs qu'il a pu avoir. • tout de suite sa plume s'est réveillé. il pouvait passer des heures pendant les vacances dans sa chambre à griffonner sur ses carnets au grand damne de ses parents. • les études de lettres furent alors une évidence. néanmoins, il s'était destiné à l'édition. un métier sûr. • pourtant dans un coin, il écrivit. beaucoup. jusqu'à en sortir un roman presque. • c'est sa petite amie de l'époque, à la faculté, qui envoya sans qu'il ne le sache à une édition son "ébauche". • il reçut alors une lettre demandant à le publier. il en tomba des nues. c'est comme ça qu'il passa d'un étudiant lambda à un écrivain accompli. • il se remit à écrire pleinement. ses livres suivants prirent de l'ampleur et firent de lui un écrivain reconnu. • c'est à ce moment-là, qu'il décida de quitter la fac et de s'installer à sydney, de l'autre côté de la mer en australie. • côté coeur, il finit par demander en mariage la même fille qui quelques années plus tôt avait envoyé son manuscrit et l'avait suivi en australie. il était fou amoureux d'elle. • encore plus quand elle lui apprit sa grossesse. une nouvelle qui le remplissait de joie. • néanmoins le bonheur tourna court quand sa moitié décéda dans un accident de voiture à huit mois de grossesse. une tragédie. • depuis ce jour, il est tombé en miette. après quelques mois d'alcoolisme, il n'arrivait plus à écrire. • son éditeur le menaça alors de lui couper les vivres s'il ne décidait pas à se bouger pour écrire suivant les délais qu'ils avaient décidé à l'avance pour son prochain roman. • c'est à ce moment qu'il a décidé de revenir en nouvelle-zélande pour se ressourcer et se reprendre en main. presque vainement. c'est ainsi qu'il se retrouve à wellington. • il décide alors de prendre une maison. celle-là même dans une rue tranquille. c'est là qu'il rencontre sofi.
you know we're gonna be legends
ft. sofi deighton un fantôme. un doute. un froncement de sourcils. c'est ce qu'il a ressenti la première fois en la voyant. surtout de la confusion. et une envie de fuir. c'est peut être étrange. mais ce visage. et surtout ces yeux. de grands yeux de biche. les mêmes que les siens. ceux pour lesquels il aurait pu se damner. les souvenirs reviennent. énormément de bons. mais ça fait mal. terriblement mal. il ne voit presque plus le panier qu'elle porte. il en oublie presque son nom. deux secondes à peine s'écoulent. pourtant il a l'impression que cela fait une éternité. sofi reste devant lui, presque interdite. mais matthew reprend ses esprits. il finit par fermer la porte. ou bien il essaye du moins. il ne sait même pas. il baragouine des mots tout le faisant. ignorant alors la confusion de sa voisine, venue lui fêter la bienvenue dans le quartier. c'est ainsi que s'achève leur rencontre. lui fuyant un fantôme. et elle, ne comprenant pas. pire encore. il la plante comme ça. elle avec son panier de cookies. elle pense avoir fait quelque chose de mal. que quelque chose clochait ? peut être encore un écrivain mal luné. un de ces artistes qui pensent pouvoir être au dessus du monde et vivre en autarcie. peut être. mais matthew ne pouvait pas. c'était au dessus de ses forces. c'était comme ouvrir à nouveau une blessure. comme remuer le couteau dans la plaie. ça faisait bien trop mal. pourtant, au fond de lui, il sait déjà qu'il veut la revoir. la connaître. comme pour retrouver sa bien aimée, eileen. celle qui l'a quittée il y a maintenant plus de deux ans. mais c'est malsain. il en est conscient. mais la curiosité est bien trop forte parfois. alors il finit par tenter d'oublier. encore. il a l'impression de ne faire que ça. oublier. encore et encore. de son côté, sofi ne comprend toujours pas. elle a fini par le caser comme un malpoli imbu de sa personne. elle peut être assez radicale dans sa pensée. de toute façon, il devient le cadet de ses soucis. elle a d'autres choses à se préoccuper. comme sa fille, son tout. mais dans un coin, elle oublie pas. elle aimerait savoir pourquoi. elle aimerait y aller à nouveau et dire le fond de sa pensée. elle aimerait mettre les points sur les i et les barres au t. ou peut être que c'est bien elle finalement. peut être qu'il l'a vue avec sa fille. celle-là même qu'elle vient d'adopter après deux ans de bataille administrative. elle sait ô combien les gens ne peuvent-ils pas concevoir que l'amour n'avait pas de couleurs. peut être l'avait-il vu oui. sofi, elle se monte parfois bien trop la tête. mais c'est comme ça. de toute façon, elle sait très bien qu'un jour, elle va reprendre sa corbeille de cookies, qu'elle re-sonera à sa porte pour lui dire le fond de sa pensée. quitte à paraître pour une idiote. quitte à rouvrir d'anciennes blessures pour lui. des non-dits. une attirance étrange. et cette colère incomprise. voilà ce qui unit les deux. pour le meilleur. mais surtout pour le pire à priori. |  |
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