Delia ¤ See you again

Cordelia Grice

feat. Mila Kunis

Nom Elle est la deuxième des trois filles Wizman, c'est donc le nom de famille qui lui a été attribué à la naissance, seulement ici, personne ne le connaît. Ici son nom de famille est le même que son mari, Grice Prénom(s) Son prénom d'origine est Atalia, ce qui signifie "rosée de Dieu" mais elle répond aujourd'hui au nom de Cordelia ou Delia suivant qui s'adresse à elle Âge Elle aurait dû fêter son 38ème anniversaire cette année mais ici tout le monde attend ses 32ans Naissance Née le 30 Août 1979 à Rahat, une ville d’Israël à une centaine de kilomètres de Jérusalem, elle vient officiellement d'Ukraine. Un pays ou elle aurait vu le jour le 20 janvier 1985 Nationalité Delia a obtenu la nationalité néo-zélandaise lors de son mariage Origines Si cela ne tenait qu'à elle, Delia revendiquerai haut et fort ses origines Israélienne mais ici elle se dit d'origine Ukrainienne,
ce qui n'est pas tout à fait faux puisque sa maman venait justement de ce pays Statut civil Delia est mariée, un mariage aux airs de pacte qui lui a surtout permit de changer de patronyme Orientation sexuelle Voilà bien une chose dont la jeune femme est sûre, elle est hétérosexuelle quoi que les nouvelles expériences ne font jamais de mal Occupation C'est sa profession de reporter au cour même de la guerre Israelo-palestinienne qui l'à menée à devoir changer radicalement d'identité, aujourd'hui elle se cache sous les traits d'une assistante médicale Argent Classe moyenne $$($) suivant les mois Groupe Sans conteste, Control Freaks The Fortune Teller Je vous laisse carte blanche, du moment que ses détraqueurs d’Israël ne viennent pas l'embêter vous pouvez la torturer comme bon vous semble, amusez vous (

️️TAG)

¤ Peut paraître froide et distante au premier abord ¤ Méfiante, elle ne se laisse pas approcher facilement ¤ Stressée, elle garde en elle les douloureux souvenirs de sa vie précédente et craint qu'ils ne reviennent ¤ Franche, d'après elle ça ne sert à rien de flatter l’ego des gens simplement pour faire "plaisir" ¤ Simple, elle ne fait pas dans le grandiose et accommode des petits tracas de la vie ¤ Serviable, malgré sa carapace de dure, elle se laisse facilement attendrir par la détresse ¤ Organisée et parfois maniaque, de par son travail d'origine elle a toujours gardé l'habitude de tout organiser autour d'elle ¤ Secrète, malgré une toute nouvelle identité qu'on lui a grée sur mesure, elle ne parlera pas de son "nouveau" passé sauf si elle s'y sent forcée ¤ Affectueuse, elle a su l'être et garde en elle cette faculté qu'une rencontre spéciale pourrait peut-être faire revenir ¤ Têtue, mais pas bornée ¤ Curieuse, c'est tout ce qui l'a menée à devenir reporter, un vilain défaut qui l'a forcée à changer de vie pour toujours ¤ Brisée par l'amour, elle se souvient avoir aimé une fois et ne sait pas si elle saura aimer encore ¤ Gentillemalgré tout mais pas naïve, sous ses airs froids et son sarcasme vous ne trouverai pas une once de méchanceté gratuite en elle attention par contre à ceux qui oseront se la mettre en dos

“Le souvenir est une rose au parfum discret
que l'on arrose avec les larmes du regret.” Claire Malesset

¤ Fille d'un israélien et d'une ukrainienne, elle maîtrise donc l'hébreux moderne, l'ukrainien et l'anglais puisqu'elle a fait ses études de journalisme à Londres ¤ De retour au pays, elle s'est empressée de couvrir les plus grands sujets, principalement autour du conflit israélo-palestinien par lequel elle se sent particulièrement concernée ¤ Son camp, bien qu'elle se sente profondément israélienne, reste celui de la justice c'est pourquoi ses articles ont souvent été controversés, si bien qu'ils l'ont amenée à devoir les publier anonymement ¤ Aujourd'hui elle est considérée comme traître pour les dirigeants du pays, soupçonnée d'avoir pactisé avec les ennemis au point de livrer des informations militaires cruciales ¤ A terme, elle a dû quitter le pays au risque de se voir emprisonné et probablement éliminée, dans sa fuite, elle a perdue son meilleur ami, celui qu'elle aimait ¤ Voilà presque huit ans qu'elle a quitté son pays à contre cœur ¤ A son arrivée, elle s'est très rapidement vu attribuer une toute nouvelle identité ainsi qu'un mari et une belle fille ¤ Elle est, bien entendu, reconnaissante envers son mari pour la vie qu'il lui permet de vivre, cependant Cordelia se sent toujours coupable d'être vie contrairement à Kalev, qu'elle croit mort ¤ Sa vraie famille, elle y pense tous les jours, ce qu'il l'empêche de vraiment avancer aujourd'hui ¤ Elle n'a aucune affinité avec le gouvernement américain, qui, en la sauvant,
l'a arrachée à ses racines, et ce, pour des raisons purement politiques ¤ Malgré tout elle souhaite que cette chance de vivre qui lui a été donné soit utile et tente de faire de son mieux avec les outils qui lui ont été donnés, son travail de secrétaire médical et son statut social lui donne des opportunités qu'elle saisit dès que possible pour aider son prochain

Pseudo/Prénom Little-Nightingale ou Elodie Âge 21 ans le 21 décembre :king: Pays Pas d'accent rigolo pour moi (même j'adore imiter celui des belges une fois) j'habite la France, la Nouvelle-Aquitaine que ça s'appelle Delia ¤ See you again 3308941118

Connexion Bien sûr cela dépend des périodes (examens, vacances...) sinon au moins trois/quatre fois par semaines Où as-tu connu le forum? Bazzart Personnage inventé Dernière bafouille Bin voilà c'est quand on me laisse le champs libre que je sais plus quoi dire... Delia ¤ See you again 662710115

Code:: <busy>Mila Kunis</busy> / réservé(e) jusqu'au 00/00

"Que la hardiesse s'arrête au seuil de l'audace,
comme la bravoure à celui de la témérité." F. Salvat de Montfort

Décembre 2008: Bande de Gaza

« Faut qu'on bouge ! » Alors que les obus fonçaient droit sur la ville de Gaza et ses alentours, laissant à ses habitants peu de chance de survie, une jeune femme, cachée à l’écart dans l'un des bâtiments abandonnés, regardait avec attention le spectacle se dérouler sous ses yeux. A la façon dont elle mirait les attaques, on aurait su dire s'il s'agissait d'une fascination morbide ou d'une peur tétanique qui lui interdisait de bouger n'importe lequel de ses membre. « Atalia, bouge toi ! » Israélienne de naissance, elle observait les actes de son peuple, sa patrie jusqu'à ce qu'une silhouette masculine ne vienne troubler le paysage. « On peut pas rester là, c'est pas le moment de rêver. Allez viens ! » En effet, il n'était pas question de s'éterniser plus longtemps et Atalia le savait bien. La jeune femme avait beau être habituée à ce genre de scènes, la reporter de guerre restait touchée par cette bataille incessante de deux patries qui se battent pour exister depuis bien des années...
C'est en vitesse qu'elle remballait son attirail, en particulier son précieux bloc notes ainsi qu'un appareil photo des plus performants. L'homme à ses côtés Kalev Assan, tenait à la fois le rôle d'acolyte, de meilleur ami et de compagnon de vie, celui sans qui la jeune femme aurait probablement déjà été emprisonnée ou bien exécutée et ce, depuis longtemps. En effet les deux jeunes gens vivaient ce que l'on pouvait facilement appeler une vie risquée. Coincés dans une guerre commencée bien avant leur naissance, ils s’attelaient à rapporter les moindres événements en lien avec cette lute qui reste malheureusement d'actualité. Une lute entre deux peuples clamant la même terre, terre sacrée qui plus est. Tout deux reporters, il devaient se faire des plus discrets pour distribuer leur petit journal à la population d'Israël. Peu de gens appréciaient leur travail, rapporter des actes de guerre, y comprit les atrocités commises par son propre peuple... Beaucoup voyaient en ce journal une trahison patriotique. Le gouvernement en particulier, n'avait aucune affinité avec les auteurs de ce ''torchon'' tout juste bon à soulever quelques foules de pacifistes. Leur quotidien était alors rythmé par la peur de se voir attraper et l'adrénaline que chaque scènes de lute leur procurait. Jusqu'au jour où rien ne se passa comme prévu...

"La vie n’est qu’une longue perte de tout ce qu’on aime" Victor Hugo

Janvier 2009: Ambassade des Etats-Unis, Tel Aviv, Israël

« Vous êtes en sécurité » ne cessaient de répéter les voix qui se bousculaient dans la tête de la jeune femme. A moitié dans les vapes et éblouie par une lumière blanche, elle peinait à diriger son regard vers ceux qui tentaient apparemment de la rassurer. « Où est-ce que je me trouve? Qui êtes-vous? » Par réflexe elle adoptais une attitude défensive et bien que vidée de toute force, elle tentait de s’asseoir sans trop de succès. Puis c'est dans un hébreux très approximatif, qui lui fournit une réponse pourtant claire et concise. « Tel Aviv, ambassade des Etats-Unis. » Immédiatement, ses yeux clairs, cernés par de longues nuits à guetter le moindre mouvement dans une banlieue près de Jérusalem, se plissaient sous le poids des multiples questions qui lui venaient en tête.

"On peut se perdre ou disparaître dans une grande ville.
On peut même changer d'identité et vivre une nouvelle vie" P. Modiano

Mars 2009: Wellington, Nouvelle-Zélande

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