I can't feel my face when I'm with you

Liam a vu le jour à New York dans la banlieue de Brooklyn. Il est le fruit de l’amour de ses parents et pour le coup on peut dire qu’il a été désiré, ses parents ayant essayé pendant de nombreuses années à avoir un enfant sans réussite pensant même que l’un d’entre eux était infertile avant que le petit Maddox ne voit le jour un soir de juin. Sa mère travaille dans une crèche alors que son père travail dans une papeterie en temps que simple opérateur donc autant dire que les revenus familiaux sont pour le moins modeste mais il n’a jamais eu à se plaindre de quoique ce soit, il a toujours tout ce dont il avait besoin. Ses parents pour lui ont toujours été comme un modèle de persévérance, ces derniers allant quand même travailler pour gagner quasiment rien alors que certains ne faisaient pas grand-chose pour au final gagner bien plus mais c’est la dure loi de la vie comme sa mère lui a toujours appris et c’est pourquoi elle lui a conseillé de faire partie de l’autre groupe de personne afin de ne pas en chier pour pas grand-chose. Malgré son jeune âge il comprit relativement vite l’importance de l’école toujours grâce à sa mère qui était très présente pour lui, pour le conseiller, lui apprendre ses leçons et lui corriger ses devoirs. Il est vrai que le petit blondinet avait des facilités et il s’est vu sauter une classe grâce à sa capacité intellectuelle supérieure à celle du reste de la classe. Cependant malgré tout il reste relativement sociable se faisant des amis sans le moindre mal. Les années passent et le schéma est toujours le même, Liam enchaine réussite sur réussite, les félicitations des professeurs sur son bulletin scolaire se poursuivant à la pelle pour la plus grande fierté de ses parents et voilà que le jeune homme commence à faire tourner la tête des filles en plus de cela. Ayant des facilités il ne se prive pas pour prendre du plaisir aussi avec celles qui sont jugés comme les plus belles du collège provoquant la jalousie des plus grands qui ne supportaient pas qu’un petit leur vole la vedette car il lui arrivait de séduire des filles plus âgés que lui avec beaucoup d’aisance. Ces derniers le menaçaient régulièrement et c’est pour cela qu’il pris la décision de s’inscrire à une salle de sport pour justement se muscler un peu plus et ne plus rien avoir à craindre de ses derniers, prenant des cours de boxe, de self défense et autre. Il savait pertinemment que les choses allaient dégénérer à un moment mais il s’en fichait totalement au contraire il aimait provoquer ces derniers en se pavanant avec les filles qu’ils avaient en vue, commençant d’ailleurs malgré lui à délaisser ses propres amis, la gente féminine l’attirant bien plus que son propre groupe de pote forcément. Malgré l’envie de donner une bonne leçon devant tout le monde à tous ces grands cons qui jouaient les caïds il savait qu’il devait faire cela en dehors du collège pour ne pas avoir de soucis avec sa scolarité par la suite et tout le long de sa scolarité ce fut ainsi, les plus grands le jalousant et voulant lui donner une leçon pour s’imposer en tant que dominant mais il ne se laissait jamais faire, la situation partant totalement en cacahuète et ses rivaux au sol avec le nez en sang et le visage à moitié déformé. Au fond il aimait se battre, il cherchait ça car même si pourtant les nanas qu’il draguait n’était que de passage il s’en fichait totalement et provoquait jusqu’au point de non retour avant de laisser parler sa puissance et de laisser la fille sur le côté après s’être bien amusé avec elle lors d’une partie de jambe en l’air. Il a ce don pour se mettre tous les hommes à dos et les femmes dans la poche cependant, son physique d’Apollon jouant pour lui dans la balance. Ses amis pour lui tourner le dos un par un jugeant qu’il était bien trop mauvais et qu’il portait plus d’importance à ses proies qu’à ses propres amis et il ne répondait jamais rien à cela car c’est vrai. Sans le moindre mal son tableau de conquête se mis à grimper au fur des années et surtout à la fac de lettres ou il y avait une majorité de jeune femme et c’est en partie pour cela qu’il avait choisi ce cursus. Il aimait vraiment ses études au-delà de tout cela il faut dire aussi, mais la gente féminine aidait justement à faire en sorte qu’il se sente bien. Ses parents étaient vraiment fiers de leur petit garçon mais pour eux il avait un avenir meilleur que celui d’être professeur de langue étrangère ou même animateur dans plusieurs clubs à l’étranger. Depuis tout petit son physique ne passait pas inaperçu et lui aussi aimait jouer de cela et c’est pourquoi avant même la fin de ses études il se mit à contacter plusieurs agences de mannequinat pour lui trouver un job en tant que mannequin. Ce n’était pas facile car il fallait jongler entre les cours et les entretiens d’abord puis shooting une fois le poste en poche mais le plaisir qu’il prenait était tel qu’il s’en fichait. Sa côte se mit à grimper très vite et en un rien de temps il fit partie des têtes d’affiches que tout le monde voulait s’arracher, ses yeux d’un bleu perçant pour ne laisser personne de marbre et pas même ses propres partenaires de shooting avec qui il partageait des moments intimes endiablés. A l’obtention de son diplôme il mit ses études en stand by pour vraiment se concentrer uniquement sur le mannequinat avec lequel il gagnait excessivement bien sa vie. Le phénomène ne s’arrêtait pas là cependant, il était mondialement connu et après avoir reçu une offre dans une grande agence Néo Zélandaise installé à Wellington, il se mit à hésiter un instant car il savait qu’il serait probablement moins connu là bas qu’à New York puisque c’est la grosse pomme comme on dit mais son salaire était bien plus élevé et il faut avouer aussi que c’est une destination touristique et qu’il ne connait pas les femmes de là bas alors il a accepté et maintenant voilà quelques années qu’il vit là bas ayant un rythme de vie bien sympathique, entre voyage à l’étranger pour l’agence et autre il n’est clairement pas à plaindre même si encore aujourd’hui il fait encore des jaloux.