Interlude for all of the lights

Alba Carrero

feat. Ana de Armas

Nom Carrero. Un nom de famille aux consonances latines. Prénom(s) Alba. Tradition qui perdure que de donner aux nouveaux-nés le prénom de leur arrière grand-parents, pour elle ce sera Rosalba, comme la grand-mère maternelle. Elle ne se sert plus aujourd'hui que du diminutif Alba. Âge 29 ans qu'elle a vu le jour. Naissance Par une belle journée d'été 1988 dans une favelas de Sao Paulo. Nationalité Néo-Zélandaise depuis ses vingt-quatre ans. Origines Brésilienne. Statut civil Célibataire. L'esprit bien trop occupé pour s'occuper de son coeur. Orientation sexuelle Hétérosexuelle...du moins elle n'a jamais essayé autre chose. Occupation Policière. Argent écrire ici. Groupe Positive Minds. The Fortune Teller //.

Réaliste - Douce - Intelligente - Souriante - Susceptible -
Alba n'a jamais cru aux bonnes étoiles. Ni au fait que le destin soit déjà écrit quelque part. Parce que des favelas de Sao Paulo aux quartiers délabrés de New-York puis à la maison de Wellington, elle n'a jamais douté qu'un jour tout irait mieux. Éternelle optimiste malgré les épreuves de la vie, Alba, elle a su rester souriante et attentive. Le découragement n'a jamais été une option. Elle n'a pas eu vraiment le choix. Ne jamais montrer son abattement ni son épuisement. Dans une autre vie, Alba aurait fait de grandes choses. Parce qu'elle est courageuse sous ses airs encore enfantins. Courageuse et intelligente. Ses grands rêves alors sont gardés pour elle. Parfois pensés avec nostalgie mais vite chassés. Ce ne sont que des chimères. Elle préfère se concentrer sur la réalité. Elle prend trop les choses à coeur, comme si tout le malheur du monde reposait sur ses épaules. Ce n'est pas le cas. Elle essaye pourtant de se détacher, de se dire qu'elle ne peut pas être la policière parfaite. La soeur ou la fille parfait à chaque instant. Elle reste loyale alors.

Just because it was for the best doesn't mean it doesn't hurt

Elle est née à Sao Paulo, au Brésil, dans une favela. Ces rues où les maisons s’entassent en enfermant avec elles leurs propriétaires. + Son père a décidé d'immigrer aux Etats-Unis. Il a toujours eu de grands rêves, Alba elle a hérité de ça, de son espoir et de sa vision du monde. Il voulait poursuivre le grand rêve américain. The American way of life comme il aimait le répéter + Ils sont donc arrivés sur le sol américain. Clandestinement. Avec quelques réal brésiliens en poche + Le rêve s'est transformé en cauchemar. Expulsés. Ils se sont retrouvés à la frontière mexicaine + Une association mexico-américaine les a aidés. Son père a logement économisé. La famille est retournée au Brésil. Son père n'a pas pour autant abandonné l'idée d'une vie meilleure. Il a enchainé les heures et les heures. Ils ont connu la misère et puis enfin la libération, elle avait quinze ans. C'était un aller sans retour pour la Nouvelle-Zélande + Elle adore manger épicé. Son plat préféré reste les fajitas, qu’elle a découvert au Mexique. + Elle a hérité du don de son père pour la cuisine. C'est son métier qui ne lui permet pas de cuisiner. Elle s'est donc rabattu sur les plats préparés et les sandwichs + Il lui arrive de partir seule se balader sur les chemins majestueux de la Nouvelle-Zélande. Oublier son travail, sa famille, jusqu'à ne plus voir la civilisation + Elle a la nationalité néo-zélandaise depuis quelques années seulement + Elle a choisi d'aider. De secourir. Elle a choisi la police + Sa mère est malade depuis de nombreuses années. Elle a toujours eu la santé fragile, ses deux grossesses n'ont pas aidés à son rétablissement.

Pseudo/Prénom Babe. Âge 21. Pays Pas d'accent pourri. France. Connexion Dès que je peux. Où as-tu connu le forum? en cherchant des beaux forum pour m'y remettre. Personnage inventé. Dernière bafouille :noha:

Do you believe that you can walk on water

Elle se souvient encore de la première fois où elle a mis les pieds en Nouvelle-Zélande. C'était l'espoir d'une vie meilleure. Tout lui paraissait si beau. Les années passent, mais elle trouve toujours cette ville magnifique. Elle avait quinze ans à l'époque, elle avait envie de tout découvrir. Peut-être aussi qu'il y avait enfin cette nouvelle vie qui commençait et cet espoir qui rendait tout plus joli à regarder. Même la mer paraissait plus belle à regarder. Elle pensait que tout allait changer, que son père pourrait se reposer, que sa mère allait guérir. Qu'ils allaient vivre heureux tout simplement. Mais tout n'est pas simple dans la vie. Jamais. Ce n'est pas pour autant qu'il faut abandonner. Parce qu'elle vient de loin. Alba. Elle vient de là où il fait toujours chaud. De là où on a l'impression que les habitants passent leurs journées à danser. Surtout les femmes avec de beaux vêtements colorés. Clichés. C'est d'ailleurs souvent la première question qu'on lui pose : et le carnaval c'est comment ? ça doit être magnifique ? Généralement, s'ensuit la question sur le Jésus qui surplombe Rio. Non, elle ne l'a jamais vu. Elle n'est jamais allée à Rio. Les Carrero ne cherchaient pas à voyager dans leur propre pays. Ils cherchaient l'ailleurs. Alba refuse de penser que son histoire est triste. Ils ont finalement réussi à avoir cet avenir meilleur. Ils ne roulent toujours pas sur l'or et ne le feront sans doute jamais. Mais au moins, son père a un métier qui paye. Et c'est ça l'important, que la famille aille bien. Sa famille passe avant tout, quitte à parfois délaisser sa vie à elle, quitte à oublier parfois qu'un jour elle devra songer à sa propre famille. Elle en a envie de fonder une famille, une famille nombreuse avec plusieurs enfants. Plus tard. Elle a bien assez de la sienne à s'occuper, son père est usé, sa mère malade, son petit-frère n'est plus si petit que ça, mais elle prend son rôle de grande sœur très à cœur. Bien trop même. Lui il veut juste que sa sœur soit heureuse et il ne cesse de lui répéter qu'il est un grand garçon, qu'il peut s'occuper de lui-même. Auquel elle répond qu'il restera toujours plus jeune qu'elle. Elle s'en accorde parfois des instants à elle. Avec ses amis dans un bar. Où rien qu'à elle. Ses moments ne durent jamais aussi longtemps qu'elle le voudrait. Si ce n'est pas sa famille, c'est son métier qui la rattrape. Elle a su dès qu'elle a enfin eu la nationalité néo-zélandaise qu'elle aiderait les autres. Elle l'a toujours su, comme pour remercier ceux qui l'ont aidé elle. On la trouve parfois à l'accueil du commissariat, parce qu'elle a cette douceur naturelle qui fait qu'on se sent plus à l'aise avec elle qu'avec un grand baraqué. Elle part en patrouille aussi. Elle n’est pas la plus forte, mais elle court vite, ce qui est bien utile. Comme elle ne fait pas les choses à moitié, elle ressort secouée de certaines interventions. Elle prend les histoires des victimes très à cœur. Mais elle continue de le faire malgré les difficultés. Elle est de ceux qui se lèvent le matin, le sourire aux lèvres avec l’envie, de ceux qui veulent rendre cette journée meilleure.