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leah — i'm too much to handle

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leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 16:33)

Leah Diggory
feat. zoey deutch

Nom Diggory Prénom(s) Leah "Fauve" Âge Vingt-sept ans. Naissance New Zealand, pays du cœur, pays de vie, Wellington. Nationalité Néo-zélandaise Origines Zéo-zélandaise, italiennes, irlandaises... Un peu du monde dans chaque parcelle  de sa peau. Statut civil En couple avec son angoisse. Orientation sexuelle Pansexuelle, les corps n'ont que peu d'intérêt quand il y a la vigueur de cœur, quand l'âme est belle, m'attire, m'interpelle. Occupation Zoologiste. Les animaux, les belles choses, les créatures de Dieu, même si pour une athée c'est un peu se moquer du monde. Ils sont gentils, eux. Pas mesquins, eux. Parfois un peu de mauvaise humeur, ou violent, mais ils sont sains. Alors elle les observe, cherche à les comprendre, les étudie. Depuis la naissance de Rosie elle n'a plus le temps de parcourir le monde, des suivre les traces des animaux qu'elle adule plus que tout. Alors elle travaille sur les espèces de la Nouvelle-Zélande pour le moment. Argent Plutôt correct. Ca n'a pas toujours été le cas, surtout avant et pendant ses études. Groupe Positive Minds. The Fortune Teller La vie n'est pas toujours toute rose.

❇️ ❇️ ❇️

Enjouée ; Têtue ; Sauvage ; Brillante ; Optimiste ; Egoïste ;
Romantique ; Empathique ; Jalouse ; Créative ; Curieuse ; Naïve ; Maladroite ; Tête en l'air ; Bavarde ; Menteuse ; Travailleuse ; Bordélique ; Rancunière.

Explosion d'énergie, papillons dans les yeux, toujours avec un truc sucré à grignoter. Elle ne s'éteint jamais, cumule plusieurs jobs, ne s'arrête que quand elle tombe. "Leah, elle a le coeur sur la main", qu'on dit souvent, quand on ne la connait pas trop, quand on ne se fie qu'au grand sourire qu'elle vous sert. Et c'est bien ça le problème : la plupart des gens restent sur la surface de ce que peut proposer la demoiselle. Déjà parce qu'elle ne les laisse pas entrer, ensuite parce que c'est plus simple de se contenter des belles choses. Et puis la jeune femme sait combien les défauts sont mal vus dans une société. Alors elle exacerbe tout ce qu'elle est : délicate, douce, optimiste et enjouée, maladroite et brin naïve, voilà comment elle s'affiche. La chercheuse sondant les émotions, à la recherche d'un cœur sur lequel continuer à voguer. Très empathique, la jeune femme a beaucoup de mal à gérer ses propres sentiments ainsi que les autres. Elle a souvent peur d'étouffer, d'être engloutie par ce que les autres peuvent lui apporter. La trouille de l'engagement, ironique quand on sait qu'elle est maman. Très fusionnelle, elle a tendance a être un peu envahissante quand elle aime trop, à vouloir coller ceux qu'elle adore. Cette peur, cette terreur qui l'envahit soir après soir, c'est surtout leur faute. Ils l'ont abandonnée. Ils ne se sont pas rendus compte. Cataclysme, naufrage, sourires partis en convalescence, il ne restait d'elle que l'enveloppe, que les cendres de ce qu'elle avait été et de ce qu'elle aurait voulu être. La rancune, cette chienne acariâtre avait planté ses crocs dans sa chair et n'était plus jamais repartie. Tous payent les pots cassés de ce que ses frères lui ont fait, sans le savoir, sans le vouloir. L'égoïsme est né, la jalousie avec, deux fleurs du mal s'emparant de ses doigts, tissant leur toile maudite pour l'embourber dans leur chrysalide. Exacerbant les défauts de la jeune femme, ces départs trop violents l'ont brisée, chacun à leur manière.

Il y a courage et courage, celui du tigre et celui du cheval.

01. Rouage étincelant d'une famille dymorphique, Leah s'accomode de cette situation parce qu'après tout, ils sont là, ils sont grands, ils sont beaux. Ses frères l'aideront, l'épauleront, feront tout pour qu'elle aille bien. Elle leur pardonne leurs écarts, leurs incartades, elle leur pardonne même cette maladie qui défonce tout sur son passage, qui plaque les gens au sol comme s'ils ne pouvaient plus bouger. Elle se contente de vivre dans cette ambiance étonnante, comme si tout était normal et que ses frères entendraient les oiseaux chanter toute leur vie. Pour oublier les crises de larmes et de rage, Leah s'abandonne dans le sauvetage d'animaux perdus. Ils ne manquent pas, à Wellington, les petits chats perdus dans les cartons. Les oiseaux aux pattes brisées par le gel. Les chiens errants dont on n'aperçoit même plus les yeux tellement ils sont sales. Alors elle s'en occupe, les cajole, essaye de les remettre sur pied, car au fond, elle sait qu'elle n'y arrivera jamais avec son frère. Elle n'a pas les mains guérisseuses, elle n'est pas une héroïne de bandes dessinées, de celles qu'elle lit dans sa petite chambre au bout de la maison, quand ses yeux ne sont pas trop fatigués d'avoir pleuré. Quand les chats ronronnent sur son ventre et qu'elle perd son regard dans le ciel, elle sait qu'elle fait bien les choses. Et alors, pourquoi Emmett ne ronronne-t-il pas, hein ? 02. Leah fait de la guitare. Elle ne peut pas se passer de musique, griffonne maladroitement quelques notes sur du papier à musique, se laisse porter par les mots qui deviennent des paroles. Elle se débrouille, mais c'est tout ; la connexion, la passion, elle l'a avec les animaux, alors le chant, la guitare, l'instrument, tout ça, c'est un passe-temps. C'était pour faire "craquer les filles", parce qu'Emmett et Marty disaient que ça fonctionnait bien. Quand à douze ans elle s'est rendue compte qu'elle aimait beaucoup les garçons aussi, elle s'est sentie dupée. "Qu'est-ce que je peux faire pour attirer des garçons ?" avait-t-elle demandé à sa meilleure amie. "Bin t'es mignonne et tu souris." Qu'on lui avait répondu. A l'époque, elle s'était beaucoup questionné sur cet état de fait. Sourire, faire semblant, ne pas laisser exploser le bouquet d'étincelles qu'elle retenait constamment dans ses tripes ? Après tout, pourquoi vouloir apprivoiser ces drôles de bête alors qu'on l'appelait la Chuchoteuse ? Elle s'était approprié tous les chats du quartiers et faisaient roucouler les perroquets. Alors quoi, se taire ? Ne rien dire ? Faire comme si elle n'avait rien dans la tête ? Peut-être, oui, pourquoi pas, après tout ? Ses années collèges se passèrent dans la plus grand et timidité, ne sachant pas trop sur quel pied danser. Devait-elle être le tigre qui montrait les crocs, le cheval qui se laissait dompter, le chien qui quémandait des câlins ? Elle aurait voulu être cosmonaute, pirate, aventurière, et on lui disait de sourire et de se taire. Dans ses songes grandissaient ses rêves les plus fous. Elle chevauchait les diplodocus, grimpait à dos de griffon, piégeait les licornes. Sois belle et tais-toi, belle Amazone. C'est à ce moment-là qu'elle comprit qu'elle voulait être féministe. Parce qu'elle ne voulait plus simplement être belle et se taire. Elle voulait peindre les paysages de ses rêves, recopier les mélodies de son cœur. Faire découvrir son paysage intérieur, et pas seulement ses courbes appréciables. Fin du collège, changement de cassette, début de la puberté, début de cette saloperie de lycée. 03. Vulgarité, sneakers trop grands, tee-shirts amples avec le soutif qui dépasse, parce qu'à cet âge-là, ce n'est plus être mignonne et espiègle qui fonctionne. Il faut être mystérieuse. Souligner le regard d'un trait de khôl - putain elle déteste le maquillage - ponctuer ses phrases de mots vulgaires, parce qu'elle n'était pas là pour être dressée. Fumer, boire, finir tard, rentrer bourrée avec des bleus sur le coeur lorsque le mec qu'on kiffe nous dit qu'il nous voudrait bien en sex friend plus qu'autre chose. Se glisser dans le lit de Marty, se rouler en boule près de lui et pleurer, pleurer, pleurer. Il tapote son dos, gentiment, et lui propose d'aller casser la gueule à ce connard. Elle n'ose pas lui dire qu'il l'a pelotée sous son teeshirt avant de lui faire cette proposition. Qu'elle s'est laissée faire parce qu'après tout, pourquoi pas ? Mais elle n'est pas prête. Seize ans. Seize ans c'est l'âge pour mettre des teeshirts où on voit le soutif, pas de les retirer. C'est ce jour-là que Leah se dit qu'on ne la traitera plus jamais de cette manière. Qu'elle aura toujours l'ascendant sur les garçons, maintenant. Que quand elle ne voudra pas, elle s'enfuira, jouera à l'équilibriste sur les rails d'un train plutôt que de se laisser briser sur les récifs. Marty il lui apprend à se défendre, à taper de ses petits poings, d'abord dans les coussins, ensuite dans les murs. Pas le pouce dans le poing, coup de pied dans les parties, ou crache-lui à la gueule, au moins il sera assez surpris pour que tu aies le temps de te barrer en courant. Premiers émois, premiers fou-rires, première fois qu'elle a défendu Emmett dans la cour, parce qu'on le traitait. Leah elle vivait plus pour eux que pour elle-même, perdue au bout du crayon dessinant des arpèges, cherchant le fil de ses pensées en regardant par la fenêtre. 04. Il y eut des expériences avec des filles, comme avec des garçons. Parce qu'elle est pas sectaire. Elle, tant que ça peut consentir, elle s'en moque. Elle profita des années lycées un peu plus cool pour sortir, pour tester - pas de cuite, jamais. Pas qu'elle n'aime pas l'alcool, mais elle déteste ne pas se sentir maître de ses actes. Délaisser un peu la maladie d'Emmett, par égoïsme un peu, par peur beaucoup, parce qu'il y a des hauts et des bas, que se foutre la tête dans la neige c'est moins dangereux que de vivre avec un malade sur les bras. L'angoisse, la terreur, surtout en pleine nuit, quand vous vous réveillez et que ça vous étreint le coeur comme une vérité propre : et s'il n'était plus là ? Enfin. Elle s'oublie dans ses frasques, lâche un peu l'école, reprend à temps pour ne pas gâcher le parcours professionnel qu'elle veut se tisser. Elle sait ce qu'elle veut faire la petite, depuis toujours. Elle aime pas les hommes, ceux avec un grand h, pas que ceux avec un pénis, parce que les femmes, voyez, les femmes ça se met aussi dans le même paquet. Mais elle aime pas les hommes parce qu'ils sont trop risibles, trop prévisibles, ils vous trahiront, quoi que vous fassiez. Aujourd'hui, quand elle regarde en arrière et qu'elle tombe sur le constat qu'elle faisait alors qu'elle avait à peine dix-huit ans, elle se trouve très mature. Eh oui, les gens sont tous des connards. Et elle se met dans le même paquet. 05. La fin du lycée, le début de la faculté, des études. Pas de quoi les payer, pas avec les soins du grand-frère mais pas grave. Sois belle et tais-toi, enfile le tablier du bar miteux d'à côté, deviens la serveuse qui se fera siffler le soir, les mains au cul quand la jupe est trop courte, parce qu'après tout, t'aurais pu mettre un pantalon. Et quand le jean est là, la main au cul, elle est due à quoi ? L'oiseau sert les dents, souris aux clients, récupère les pourboires. Une main au cul c'est un dîner de plus payé, alors c'est comme ça, et on enquille avec les révisions, avec les amphithéâtre à répétition, dans un tumulte et un capharnaüm sans fin qui lui plait bien, finalement, à la gamine. Elle étudie les animaux, ça lui plait, ça la fait vibrer, elle voyage un peu, dans toute la Nouvelle-Zélande, bientôt un peu plus loin, dans les pays européens. Elle s'en va et elle revient, bouffée d'air frais quand ses lèvres réhaussées de rouge se posent sur les joues de son frère. "Eh, ça faisait longtemps, hein ?" Ils décapsulent une bière et reparlent si naturellement qu'on dirait qu'elle ne les a jamais quittés. "Ils ont quoi de si intéressant les animaux ?" On lui demande souvent. Et elle ne sait pas quoi répondre, car il n'y a pas de mots assez beaux dans ce langage pour leur décrire l'immensité de ce qu'elle découvre, de ce qu'elle vit. L'étudiante essaye maladroitement de coucher ça sur papier, sans grande réussite. Elle sort un peu, parfois, surtout avec Dexter, elle l'aime bien, Dex, il l'invite à des soirées. Elle ne parle plus la même langue depuis qu'elle est majeure, vaccinée et qu'elle passe ses journées à décrypter les chuchotis des oiseaux, mais elle peut bien faire l'effort de paraître humaine de temps en temps. Elle tombe sur un français, un bon sang de bordel de merde de français qui parle la même langue qu'elle, et ils chantent ensemble, chatoient les nuages de ce qu'ils ressentent. Elle n'a jamais ressenti ça, Leah, elle le sait parce que lorsqu'elle recevra une nouvelle main au cul, elle en retournera une au client. 06. Marty s'envole. Il éclate en une myriade de petites étoiles, s'effaçant finalement de la surface de la Terre pour les abandonner, seuls. Il pleut, le jour de son enterrement, et elle a l'impression d'être dans un torrent. Tout vibre, s'efface sous elle, elle est transportée dans un autre monde, là où l'amour n'est plus roi, là où les princesses se font violer et que les enfants déchantent. Son Pays des Merveilles se désagrège et l'amour qu'elle vit se nécrose, fane, pourri. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive, veut s'arracher la peau, comme si elle était trop petite pour son corps, comme s'il y avait tout un autre monde à découvrir au-delà de sa douleur. Et Errol, le petit français aux deux r, le Lupin qui lui a dérobé son cœur ne comprend pas, ou fait semblant de ne pas comprendre. Il est là, les bras ballants lui aussi, parce qu'il ne peut rien y faire, hein, il peut pas le ramener, son Marty. Il peut pas lui ramener, l'amour d'Emmett. Car elle sent, oh oui, elle n'est pas dupe, pas cette fois. Elle ne suffit pas à son frère. Il lui faut son jumeau, sa vie, son double, sa moitié. Abandonnée par le premier, voilà que le deuxième lui plante un couteau dans le dos. Alors que les larmes de Dieu ruissellent sur son visage et que l'on met le cercueil en terre, elle comprend qu'aujourd'hui elle est seule. Et elle fait le deuil de ses sentiments. 07. On parle, on parle, mais Leah est devenue une belle jeune femme. Amourachée de son Errol, elle passe ses études dans la douceur de l'innocence, se contente de vivre au jour le jour, de couler les plus heureux moments de sa courte existence dans ses bras. Elle goûte le bonheur sur ses lèvres, libère le Fauve qui est en elle à ses côtés. Elle peut rugir, miauler, ronronner qu'il s'en moque, il l'aime comme elle est. Mais quand Emmett fuit, quand il l'abandonne seule, encore, à nouveau, malmenée, maltraitée, elle décide de tout foutre en l'air. Parce que plus rien n'a d'importance, qu'elle n'en peut plus de souffrir, parce qu'elle ne voit aucune fin heureuse dans une relation où elle n'est plus capable d'aimer, elle tourne le dos. Prends la facilité. "Je pars étudier les chevaux sauvages dans le Dakota du Nord." Arrête-moi si tu peux, je suis à l'épreuve des balles, à l'épreuve des morts, et je fais le deuil de notre relation. Je ne peux plus rien ressentir pour toi au risque de mourir aussi le jour où tu me quitteras. Elle s'enfonce dans son cocon de rage, se laisse manger par la terreur qui l'habite et ne se reconnait même plus. Leah disparaît finalement au détour d'un vol d'avion, jette la bague, jette tout à terre car il n'y a plus rien à faire. Elle attend la mort. 08. Jusqu'à ce qu'à nouveau, elle abrite la vie. "C'est une petite fille." Non, bien sûr que non. Non, s'il vous plait, mon Dieu, qui que ce soit à l'écoute de mes horribles complaintes, venez m'aider. Je ne peux pas vivre. Comment éduquer une si petite chose ? Et quoi, vous me laissez m'en occuper dans ce monde de merde ? Elle sera maltraitée par tous les aléas de la vie et vous me laissez me démerder avec ça ? C'est facile de nous mettre sur Terre quand vous êtes pas là pour faire face aux conséquences de vos actes ensuite. Et moi je lui dis quoi à cette gamine ? Tu vois, bébé, c'est Dieu, ce vilain coquinou, il m'a pris mon premier frère, puis le second. Il me prendra mes parents, m'a pris l'amour de ma vie, et maintenant tu es là. Et je mourrai un jour aussi et alors tu n'auras plus personne. Bienvenue chez nous. "Vous avez déjà un petit nom pour elle ?" demande l'infirmière. Bien sûr que non, Leah va la faire adopter. "Oui, elle s'appellera Rosie." Sourire éphémère, battements de cil pour paraître encore un instant saine d'esprit. Et on la croit gentille, douce, maternelle. On lui dit qu'elle sera une bonne mère, Leah pleure tous les soirs dans son lit. Comment je vais faire moi, pour éduquer un bébé, alors que je suis pas éduquée moi-même ? Elle rentre du Dakota parce qu'elle veut pas éduquer son môme là-bas, elle repose un pied sur le territoire qui est le sien, sur la Terre de certains de ses ancêtres. Peut-être qu'elle le reverra, celui qui a laissé son coeur mourir, celui qui a laissé la vie l'abriter un peu trop... "Rose, toi et moi, c'est à la vie à la mort," a-t-elle chuchoté lors de l'accouchement. C'était à Wellington. 09. Adieu les chevaux du Dakota, adieu les ours polaires de l'Arctique, adieu les perroquets gris du Gabon. Bonjour le bon vieux Wellington et son zoo qui abritera les recherches de Leah pour un long moment. Mère célibataire, elle ne peut envisager une seule seconde laisser sa fille toute seule. Alors elle se débrouille comme elle peut, essayer de donner à sa fille un petit coin de Paradis parce que ce monde est vraiment trop pourri pour son coeur d'or. Revoir son père ? Elle n'est même pas sure que ce soit le sien après tout. Ne pas y penser, oublier qu'après tout, les papillons ne battent plus des ailes dans son ventre maintenant qu'elle le revoit.Car elle l'a revu. De loin, de peur quil ne veuille lui parler. Qu'il ne veuille lui faire du mal, peut-être. Pas avec les poings, mais avec les mots, et c'est déjà trop. Elle est instable, Leah, apparemment c'est la faute des hormones. Elle, elle sait que c'est la faute de la progéniture. Elle est devenue louve cherchant à protéger sa petite, et faire entrer Errol à nouveau dans sa vie... Très, très, très mauvaise idée. 10. Ils se sont tous donné le mot ou quoi ? Voilà qu'Emmett revient avec ses gros sabots, comme si tout allait bien, comme s'ils étaient encore en bon terme. Leah Fauve n'oublie pas. Elle retient. Elle a la rancune tenace. Elle en a marre qu'on se joue d'elle, de récupérer son cœur en miettes après chaque rencontre. Elle n'est pas un jouet. Et aujourd'hui il y a tellement plus qu'elle en jeu... Aujourd'hui, Rosie n'a qu'elle, et elle ne peut pas se permettre de retomber dans ces mauvais travers. Elle se remet tout juste de la perte tragique de son Marty, retrouve l'optimisme, la joie, cette fraîcheur de printemps que lui insufle un peu plus chaque jour sa si belle petite fille. Alors voilà, l'équation est simple. Sauf qu'il y a trop d'inconnues.

Pseudo/Prénom Peluuches et Juliette Âge Vingt-et-un ans. Pays Ca dépend des mois... ^^' Connexion Plusieurs fois par semaine :) Où as-tu connu le forum? Sur un top-site :D Personnage scénario  leah — i'm too much to handle 2221190684 nfo>Dernière bafouille Le forum est un poil clair pour moi mais vous avez un très joli design, j'espère m'intégrer parmi nous  leah — i'm too much to handle 2837647945
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 16:57)
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bienvenue chez nous leah — i'm too much to handle 180640823 leah — i'm too much to handle 2150563227
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 17:07)
Zoey beauté leah — i'm too much to handle 2223749420 leah — i'm too much to handle 2223749420
Bienvenue parmi nous, et bonne rédaction leah — i'm too much to handle 2227089788 leah — i'm too much to handle 2227089788 leah — i'm too much to handle 2227089788
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 17:16)
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 18:03)
bienvenue leah — i'm too much to handle 2227089788 J'adore le choix d'avatar!
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 18:05)
ZOEY MA PRINCESSE leah — i'm too much to handle 3694128851
bienvenue sur tgp et bonne chance pour ta fiche leah — i'm too much to handle 1318934201 garde-moi un lien pleaase :bbcue:
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 18:14)
Bienvenue et bon courage pour ta fiche leah — i'm too much to handle 589507572
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 18:20)
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 19:16)
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Re: leah — i'm too much to handle - (Sam 24 Juin - 19:17)
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