| | m/ l'espoir, le salvateur. (frère) | |
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| m/ l'espoir, le salvateur. (frère) - (Ven 19 Mai - 20:50) |
Navi Falcone feat. avatar principal Nom Falcone, patronyme puissant. Nom qui brille, qui fait se retourner les gens. Vie dorée qu'il a toujours mené avec aisance, Navi. Parce qu'il a ça dans l'sang. Navi, c'est le petit prodige, quand toi t'es l'désastre. Prénom(s) Navi, pour le scénario. Âge au minimum 26 ans au maximum 27/28. Naissance La date est au choix. La ville aussi, puisque les Falcone voyage beaucoup. Arielle est née en Grèce. Nationalité Selon l'endroit de sa naissance, il aura la double nationalité. Celle du lieu de naissance + la néo-zéalandaise. Origines Il tient des origines siciliennes de son père et des origines russes de sa mère. Statut civil Je l'ai imaginé célibataire, puisqu'il vit actuellement avec Arielle et Kenzo. Mais, t'es libre de le mettre en couple si tu veux, ça m'importe peu. Orientation sexuelle Je le voyais hétérosexuel, mais comme pour le reste, t'en fais ce que tu veux. Occupation Je l'imaginais bien employé/associé de l'entreprise familiale. Mais ça reste au choix. Argent Riche. Navi, on lui a pas coupé les vivre à lui. Petit hérité en puissant qui fait honneur à ses parents, il roule sur l'or. Groupe écrire ici. Caractère Tu peux faire ce que tu veux de Navi, le temps que tu gardes l'âme du personnage. Il a rang social auquel il est attaché malgré tout. C'est son élément, les mondanités. Arielle, elle le voit comme le modèle, le sauveur. La bonne personne. Tout ce qu'elle n'est pas, quoi. Mais je te détaillerais ça plus tard, pour plus de simplicité.
❇ ❇ ❇ + Navi est le premier enfant de la famille Falcone. Le miracle, le prodige. L'enfant qu'on a toujours voulu et qu'on aime inconditionnellement. L'héritié de l'entreprise d'une vie. Navi, il aime ce monde. La belle vie, les mondanités, les relations. Il s'y est toujours parfaitement épanoui.
+ Arielle n'a pas eu le même traitement. Personne ne voulait d'elle. Personne, sauf Navi. Il l'a aimé dès qu'il l'a vue, sa petite sœur. Il a toujours fait en sorte d'aider Ari, parce qu'elle n'a jamais eu son aisance. Pas faite pour ce monde la gamine. Lorsqu'elle a commencé à subir les foudres de leur père, des violences physiques, il a tout fait pour elle. L'aidant chaque fois à soigner son corps.
+ Il a déménageait, quittant le cocon familiale parce qu'il était grand temps pour lui. T'es libre de choisir l'âge. Mais, Arielle l'a assez mal prit. Comme une barrière invisible qu'il dressait entre eux, elle s'est senti abandonnée. Puis, finalement, ayant trop besoin l'un de l'autre pour s'ignorer, elle a finit par voir son appartement comme leur nouvel endroit, à eux. Loin des chimères de la trop grande maison familiale. (elle n'a jamais vécu avec lui)
+ Lorsque Arielle est tombée sous le charme de Dexter, l'année de ses 20 ans, elle s'est de suite tourné vers Navi. Elle lui a expliqué toute la complexité de leur relation à Navi. Et, c'est lui qui a posé le mot amour sur ce sentiment inqualifiable. Elle lui a expliqué les jalousies, les vengeances lorsqu'il papillonnait. Il lui a dit d'arrêter de jouer, mais elle a eu bien trop peur de poser les mots, l'étiquette là-dessus.
+ Il est la seule personne qu'elle a prévenue de son départ, il y a un an. Elle a quitté Wellington pour Girsbone après sa rupture avec Dexter. Il est également la seule personne qu'elle a appelé, quand elle a su qu'elle avait fait un déni de grossesse et qu'elle était de six mois. Il s'est immédiatement déplacé.
+ Il a vécu avec elle la perte de son bébé. Et s'est promis de ne pas a laisser se noyer. C'est elle qui a décidé de revenir, il y a à peine un mois à Wellington. Pour trouver Dexter. Dexter qui n'a jamais répondu à ses appels. Dexter, le père du bébé. Citation blablbalbalbalbalbal raisins abricots secs miam | Arielle Falcone feat. Sarah Hyland | (âme)sœur ❇ Navi. Arielle. Deux êtres presque inséparable. Trop différent pour ne faire qu'un, trop semblable pour se dissoudre. Navi, c'est le grand frère, le fils prodige. L'hérité, le gosse aimé. Arielle, on en voulait pas. Elle fait tâche. Mais pas pour Navi. Sa petite soeur, c'est l'amour de sa vie. Il donnerait tout pour elle. Comme elle donnerait tout pour lui. Navi et Arielle c'est plus qu'une fraternité de sang. Ils sont liés par les gênes, mais ils se sont également choisi. Et ça, c'est plus fort que tout. Ils font partie intégrante l'un de l'autre. Elle sait tout de lui, il sait tout d'elle. Ou du moins, il le croit. Parce qu'elle ne lui a jamais dit, Ari, qu'elle ne savait pas se maîtriser avec Dexter. Trop apeurée qu'il la délaisse. Qu'il ne cesse de l'aimer. Pour mieux saisir le lien, je te conseille ce bout de ma fiche. - Spoiler:
I need your love. I need your time. When everything's wrong, you make it right. Refuge. Le pas à la fois lourd et léger, tu passes la porte. Sa porte. Celle de l’appartement de ton frère. Corps que t’évites depuis quelques semaines, presque malgré toi. Parce que tout était trop confus. Parce que t’avais besoin de liberté, de solitude, de calme, pour faire le tri. Pour prendre ta décision sans être influencé. Sans brûler de culpabilité. Le cœur qui balance, incertitude qui t’envahit. Alors que tu sais ce que tu fais. Ou, que tu crois le savoir. Parce que, c’est la seule solution qui t’est apparu. La seule option, pouvant vous garder en vie. Ou, à demi-mort. Mais c’est tout ce que tu peux faire, pour essayer de le sauver. De vous sauver. Ari, ma chérie. J’suis si content de te voir ! sa voix si douce, si mélodieuse, si rassurante vient frapper ton cœur. Violemment. Beaucoup trop violemment. Son sourire creuse l’angoisse au creux de ton ventre. Et, l’étreinte qu’il te donne. L’étreinte qu’il te donne, si pleine d’amour. De bonheur. Tu la subis. Ton cœur se resserre, parce que tu sais. Tu sais qu’après, il ne t’en fera plus. Tu sais qu’après, tout changera. Et, tu ne voulais pas qu’il te serre comme ça, sans savoir. Obscurité qui le pousse à continuer de t’aimer. Lumière qui envolera tout. Tes bras l’entoure, eux aussi. Parce que c’est plus fort que toi. Parce qu’au fond, t’en as besoin. T’as besoin de ça. De la chaleur de son corps quand plus rien ne va. De son odeur, celle qui te dit que t’es en sécurité et que tout ira bien. T’as besoin de ressentir que lui, lui, t’aime toujours. Aussi fort qu’avant. Parce que ton cœur imploserait définitivement s’il ne t’aimait plus, lui non plus. Issue que tu sais pourtant inévitable, mais l’espoir que te porte cette étreinte, peut-être trop longue, est trop fort pour que tu ne puisses le repousser. Réalisme qui s’évade, pour un moment présent presque miraculeux. T’as pas envie de le repousser, de toute façon. Lui, et l’espoir. Parce que tu l’as fait pendant trop longtemps déjà. Et, parce que tu vas le faire encore une fois. Pour toujours, peut-être. Et putain. Putain, ça te fait mal. Ça te déchire de l’intérieur. Parce qu’il a toujours été là. Parce que t’as jamais su avancer sans lui. Tu m’as manqué, Navi. ta voix est faible. Elle tremble, un peu. Et tes mains se resserrent autour de lui, encore. C’est trop long. Trop fort. Anormal. Et, il le sait bien. Mais, il ne dit rien. Il ne t’accable pas de questions, toutes plus intrusives et idiotes les unes que les autres. C’est pas ce qui fonctionne avec toi. Et, il semblerait que ce soit la seule personne à le savoir. La seule à te connaître sur le bout des doigts. Ou presque. Presque, parce qu’il y a quelque chose qu’il ne sait pas. Quelque chose que t’es pas prête à lui dire. Pas maintenant. Jamais. Parce que t’as pas envie qu’il éprouve de la colère à tout égard, lui aussi. T’as peur. Un peu trop, pour quelqu’un qui sait ce qu’il fait. Tu n’as aucune assurance. Et, peut-être même, aucune envie de faire ce que tu fais. Tu ne sais pas. Tu ne sais plus. Tu voudrais que le temps s’arrête. Se fige pour toujours. Comme ça. Parce que t’es bien là, en cohésion avec lui. Navi, c’est un peu ton âme-sœur à toi. Tu l’aimes. Tu l’aimes sans limites. Tu te résignes finalement à le lâcher, les opales embrumées. Tu dois lui dire. Lui dire que c’est peut-être la dernière fois. Lui dire que tu t’en vas. Que tu ne sais pas où, que tu ne sais pas comment. Mais, que tu t’en vas. Et, que tu veux qu’il garde ça pour lui. Juste pour lui. Tout a prit feu, avec Dexter. que tu lâches, comme une fatalité. Navi, il ne sait pas tout de Dexter. Tu lui as expliqué, plus ou moins, ce truc entre vous. Ce qu’il faisait naître en toi. L’attachement que tu ne comprenais pas, contre lequel t’arrivais pas à lutter. C’est lui, qui t’a un peu ouvert les yeux. Lui, qui a mit le mot amour sur ce sentiment brûlant. Lui, qui t’a dit d’arrêter de jouer. Navi, tu lui as raconté la jalousie. Les femmes, les hommes. Vos vengeances assassines. Tu lui as raconté l’au-delà, aussi. Ce magnétisme animal. Cette attraction. Vos âmes liées. Vos êtres en accord. Le sourire sur tes lèvres et le chant de ton cœur. Le sourire sur les sienne et ses gestes doux. Mais, c’est tout. Navi, tu l’as laissé en-dehors de la violence. De celle de Dexter. De ses poings tombant sur ces faciès fantômes, tes pantins. De ses mots, à ton encontre. De son ton acerbe. De sa façon d’être, exactement comme ton père. Parce que, peut-être qu’il l’aurait détesté Navi. Peut-être qu’il t’aurais empêché de le voir, aussi. Et, tu ne voulais pas de ça. Mais plus encore, tu l’as laissé en-dehors de ta violence. De ton démon. De ta part d’ombre. Parce qu’il sait, Navi, que t’es colérique. Que tu jettes tout ce que tu trouves. Que ton sang coule. Que tu t’en prends à toi-même, pour tout calmer. Ce qu’il ne sait pas, c’est que pour une fois, tu t’en es prit à quelqu’un d’autre. A Dexter. Parce qu’il fait ressortir ce côté noirci de ton être. Le beau et le mauvais. Tu lui as pas dit, parce que t’as toujours eu peur qu’il te déteste, lui aussi. Qu’il t’abandonne à ton sort. Navi, ça a toujours été ton filet de sauvetage. La raison pour laquelle t’es toujours en vie. Ta vision se trouble, mais tu luttes. Il ne dit rien. L’air étonné, compatissant. T’es formidable, Ari. Et, s’il est trop bête pour le voir, c’est son problème. Sa main vient se glisser sur ton visage, venant essuyer tes larmes. Larmes que tu t’en veux d’avoir laissé glisser sur tes joues. Tu distingues son sourire, s’accordant parfaitement au son de sa voix. Doux, rassurant. Ce sourire qui veut dire que tout est possible. Ce sourire qu’il te fait tout le temps, quand tu perds pieds. Ce sourire qui signifie tant. Et, le pire, c’est que tu sais qu’il est vrai. Que ses mots sont pensés, pas simplement lancés dans les airs pour te faire plaisir. Le pire, c’est que tu sais que l’image de toi, cette merveille dessinée sur sa rétine, ce n’est pas toi. Ce n’est pas totalement toi. Tu n’es même pas certaine que ce soit partiellement toi. Trop belle et scintillante pour être ta représentation, cette image. Ton cœur se réchauffe et se brise en même temps. Sensation étrange, désagréable et dérangeante. Tu voudrais être honnête. Tu voudrais lui expliquer, qu’il comprenne, mais tu ne peux pas. T’as pas le courage pour ça. C’est pas lui. C’est moi. et ça te détruit le cœur, ça t’écorche l’âme de le dire. C’est toi. La sirène, qui fout tout en l’air. C’est toi, qui claque la porte. Qui pars comme une voleuse. Toi, stupide princesse, qui espère que, peut-être, il te retiendra. Qui espère que, peut-être, il te cherchera. Qui espère que, peut-être, il dira ces mots dont vous avez tant besoin. Toi, qui ne sait pas ce que tu veux. Paradoxe qui te pousse à espérer aussi qu’il ne fera rien de tout ça. Perdition. Étreinte qui reprend, sans mot. Sans une question. Parce que tu parleras quand t’en auras envie, ouais. Tu lui diras tout ce qui n’allait pas, ou peu importe, ce que tu voudras pour alléger ta peine. Et, il t’écoutera au moment venu. Du moins, c’est ce qu’il doit penser. Mais, c’est ce que tu ne feras pas. Jamais. Parce que tu ne seras plus là. Plus près de lui. Étreinte qui éteint les braises de ta peine, avant de rallumer le feu. Tu lui embrasses la joue, comme un remerciement silencieux. Puis, tu t’écartes. Je m’en vais, Navi. J’voulais juste te dire au revoir, à toi. J’voulais pas que tu l’apprennes comme ils l’apprendront. voix fluette. Incertaine. T’as lâché les mots. Rendu la sentence. Au final, c’est pas lui qui t’abandonne. C’est pas lui le lâche, qui baisse les bras. Mais, tu ne pouvais pas disparaître sans lui dire. Sans lui adresser un mot. Il a bien trop d’importance, de place dans ta vie, pour ça. Tu frottes tes larmes du revers de la main. C’est le moment d’être forte, de ne rien laisser paraître. Tu le fixes, le regard plein d’excuses. Son visage s’est terni. Incrédule. Tu ne peux pas partir, tu ne peux pas lui faire ça. T’es la seule personne qui ne le laisserait jamais. Et pourtant. Pourtant, t’as fait tomber l’épée. Ses yeux s’embrument et ton cœur éclate. Tu ne voulais pas lui faire de la peine. C’est ridicule. Tu ne t’en vas pas, tu ne peux pas faire ça. Arielle, t’as pas le droit. Désespoir. Tu attrapes sa main. T’installes près de lui et dépose ta tête contre son épaule. Remède à nombre de vos peines, ça. Remède qui ne suffira pas, cette fois. T’es désolée, mais désemparée. T’as plus d’option. T’as besoin de tout couper. Tout couper pour oublier, complètement, définitivement. Louve qui tente de fuir la lune. Courir contre sa nature. Contre ses pulsions. Pour permettre à l’un et l’autre de survivre. Loin de cette cage. J’te contacterais, quand j’saurais où j’suis. C’est promis, Navi. J’veux juste pas que tu le dises. Ce sera notre petit secret, tu vois. Un truc à nous deux, encore. que tu dis, esquisse de sourire sur les lèvres. Un éloignement et un rapprochement, d’une certaine façon. Parce que tu seras toujours avec lui. Et, qu’il sera toujours avec toi. Phrase enfantine, comme si tout était aussi simple. Phrase enfantine, parce que vous êtes toujours des enfants. Parce que c’est toujours aussi simple que ça, entre vous. Il hoche la tête. Pacte signé. Tu le savais, au fond. Tu le savais, qu’il ne te trahirait pas. Il ne l’a jamais fait. Tu feras attention à toi, hein ? Parce que tu sais, j’veux pas qu’il t’arrive quelque chose. Moi je t’aime Ari. Et, sous ses mots, tu sens ton cœur battre de nouveau. Renaître. Parce qu’il t’aime. Encore. Toujours. Fort. Promis. Puis, tu sais, je t’aime aussi Navi. Douceur. Amour. Étreinte. Pleurs. Tu t’en vas. Tu l'abandonnes.
je te conseille également de lire les autres parties concernant Navi, pour bien comprendre l'attachement. Pour voir à quel point il l'a aidé, soutenu au travers de ces épreuves | Kenzo (scénario) feat. Diego Barrueco | Colocataire, ami ❇ Kenzo, s'était le colocataire d'Arielle à Gisborne. T'as entendu parlé de lui à chaque appels skype. T'étais content de savoir qu'elle avait trouvé quelqu'un, ta soeur. Parce que t'étais flippé à l'idée qu'elle se retrouve seule. Peur irrationnel du frère trop protecteur. Tu l'as finalement rencontré quand elle t'a téléphoné, pour t'annoncer la nouvelle qu'elle venait de prendre en pleine tête ; son déni de grossesse. T'as fait tes valises sans hésiter. Sans même qu'elle te demande de venir, parce que vous n'avez jamais eu besoin des mots pour vous comprendre. Rapidement, t'as trouvé en lui quelque chose de fort. Comme un frère. Alors, quand Arielle a annoncé qu'elle voulait rentrer à Wellington pour retrouver Dexter, et qu'il a commencé à se la jouer mélodramatique avec des adieux à la con, t'as lancer dans les airs qu'il était le bienvenue. T'y croyais pas trop. Il n'avait pas l'air d'y croire non plus. Mais Arielle, elle y croyait. Elle a répété les yeux plein de larmes et il a craqué Kenzo. |
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| Re: m/ l'espoir, le salvateur. (frère) - (Ven 19 Mai - 21:16) |
petit mot Bonjour/Bonsoir petit chat tout d'abord, un énorme merci de t'intéresser à mon scénario. si t'es arrivé(e) là, c'est qu'il te tente a priori, alors je vais te filer deux/trois indications. histoire que tout soit limpide
AVATAR + alors, comme tu peux le voir, j'ai laissé au choix. j'pense que ce n'est pas plus mal que tu sois entièrement libre de me proposer une tête qui te plait. si jamais tu n'as pas d'idées, on pourra toujours y réfléchir ensemble :cara:
PSEUDO + pour le pseudo, tu t'en doutes sûrement, le nom n'est pas négociable. ils sont frères et sœurs. pour le prénom, j'ai indiqué navi un peu partout. ma fiche, mes rps. c'est un petit coup de coeur. mais j'ai conscience que c'est assez original. alors, s'il ne te plait pas, libre à toi de le changer
HISTOIRE/LIENS + l'histoire est forcément liée à celle d'arielle, pour l'enfance au moins. par conséquent, ce que je t'ai indiqué sur la famille ne peut pas être modifié. mais, t'es quand même assez libre. j'veux dire, du moment que tu ne touches ni à la famille, ni à leur lien, tu peux en faire ce que bon te semble je t'invites tout de même à jeter un oeil à ma fiche pour bien saisir la chose. et, évidemment je suis à ta disposition pour toutes questions les liens ne sont pas négociable. on peut en discuter, l'améliorer, le retoucher un peu. mais il ne peut pas être changé. pour celui avec kenzo, ce sera à voir avec le joueur/la joueuse. mais ils devront obligatoirement accrochés tous les deux
ACTIVITÉ/PRÉSENCE + on a tous une vie. j'comprends tout à fait que l'on ne puisse pas être 24/24 sur le forum, qu'on ne puisse pas rp 600 fois par semaines. ce n'est pas du tout un problème. tout ce que j'aimerais, c'est quelqu'un d'impliqué, avec une réelle envie de tenir le personnage. passer faire un petit coucou, dire bienvenue, même lorsque l'on a pas le temps de rp, c'est appréciable . pour les rp, j'suis pas chiante. j'pense qu'une réponse par semaine, c'est pas trop mal. j'dois admettre que j'ai tendance à aimer les rps longs, mais je m'adapte très facilement. autant à la longueur qu'à la personne à laquelle l'autre écrit. un "je" un "tu" ou un "il", peu m'importe, c'est pas le genre de trucs qui me dérange. du moment qu'on ne fait pas des 200 mots, ça m'va
et, j'pense que c'est tout remarque, c'est déjà bien assez si jamais t'es toujours motivé(e), fonce. je t'attends de pieds ferme, prête à te couvrir d'amour et à te construire un temple j'adore être harcelé, aussi. alors, si t'as des questions, faut pas hésiter à te ruer sur ma boite de mp. je serais ravie de te répondre, de t'aider et même simplement de papoter plein de bisous. plein d'amour
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