| | (☆/L.) flickers in my head. | |
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Invité
| (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 20:50) |
Léonard Khazen feat. jack falahee Nom khazen-daumanier. tu n'utilises que le nom de ton père. une réputation qui te va mieux. un peu plus d'espace entre les lettres. pas le second, plutôt l'inconnu. le pianiste oublié, le joueur de jazz. et pas l'empire maternel. et pas les lettres d'or. une tour vitrée, la une dans forbes. Prénom(s) léonard. celui-là, c'est elle qui a insisté. elle n'a jamais vraiment lâché l'affaire. un arrière grand-père, quelque chose comme ça. tu l'as vite réduit au strict minimum. trois lettres pour tout le monde. hassan. langue paternelle, beauté solaire. il n'y a que lui pour te rappeler ton patronyme au complet. que lui pour encore te le faire supporter. Âge vingt-cinq ans. t'as déjà peur. peur de vieillir, peur de mourir. perdre la superbe, s'effacer dans le vent. c'est ton crime, éternel adolescent. des corps d'éphèbes à l'épreuve du temps. Naissance un vingt-cinq décembre, à beyrouth. passage trop rapide d'une étoile dans le ciel. une ville restée inconnue, et des dates confondues. on oublie toi, on fête le reste. et puis parfois, ça devient habituel. de n'être rien, rien qu'une éclipse. une nuit trop longue, de l'air trop froid. Nationalité franco-libanais, naturalisé néo-zélandais. se targuer d'avoir trois passeports, et puis de n'être jamais vraiment chez soi. c'est la peine qui va avec, le bonheur d'être né comme l'on monte une multinationale. rien d'étonnant, quand on se rappelle le nom maternel. des racines fragiles, une carte à fleur de peau. tu es un apatride au grand coeur. Origines europe et moyen-orient. la lignée des khazen remonte trop loin pour qu'on s'en rappelle. à vrai dire, ça n'a plus vraiment de sens. des pays héritiers, des origines non-conformes. des passages éclairs dans des capitales-lumière. Statut civil libre comme l'air. bien public, faisant don de ton corps pour la cause. ça n'est que de la chair, mais c'est ton oxygène. au fond, c'est maladif. te jeter, t'oublier. séduire, pour exister. pour te détruire, comme on l'a toujours fait. et puis il y a les autres histoires. celles plus régulières. qui durent plus qu'un soir. sans lendemain, depuis des années. être l'amant d'une puissance, la chose à côté, le jouet délaissé. mais ça a un goût de défi, un goût d'interdit. galvanisé. on ne t'a jamais rien refusé. Orientation sexuelle homosexuel. le jour où tu as dit le mot devant ta mère, tu as pleuré. contre toute attente, tout ce que tu avais espéré. c'était écrit sur ton front, ça dansait sur le bout de ta langue. une fierté à peine cachée. et pourtant, il a fallu y passer. te détester, pour la bonne cause. te déchirer, parce qu'il n'y avait que ça de sensé. Occupation blogueur mode. dire que tu vis sur la rente que te verses ta mère tous les mois serait plus judicieux. c'est l'existence d'un enfant-roi. un oeil acéré, des habitudes lascives. tu mènes la vie délétère des hommes sans problèmes. Argent aisé. c'est subventionné par tout le capitalisme ambiant. une odeur désagréable, des habitudes hypocrites. ton confort est d'or, tes habitudes trop importantes. trop de plaisir et trop de haine. pour tous les gens de ton espèce, pour tous les monstres et toutes les hyènes. Groupe control freak. on n'y croirait pas. on ne le dirait pas. que ton existence imaginaire se confonde en manie. mais tu en es obsédé. avoir le contrôle, encore et toujours. et décider, à jamais, de te laisser mener. tout t'a toujours obéi, et le moindre écart est un trop grand échec. The Fortune Teller tout est possible. borné, décidé, charmeur, sans pudeur, réaliste, rancunier, impulsif, sensible, incertain, solitaire, manipulateur, anxieux, ambitieux, direct, orgueilleux, impatient, méthodique, lunatique, maniaque, opportuniste, curieux, excessif, indépendant, insolent, susceptible. « j'eus le sentiment de contempler un mensonge. mais je m'en fichais. le monde fait de nous des menteurs. » né au liban, son père originaire du pays, sa mère française ✩ n'a pas vraiment connu son pays natal, ayant d'abord vécu à paris puis londres, avant de s'installer en nouvelle-zélande ✩ ses parents se sont séparés alors qu'il n'avait que six ans ✩ il ne revoit que rarement sa mère, et leurs échanges se limitent souvent à des virements ✩ parle parfaitement l'anglais, l'arabe, et se débrouille en français ✩ a appris à danser, étant enfant ✩ a longtemps idolâtré sa matriarche, avant le passage de l'adolescence ✩ homosexuel assumé dès ses débuts, il a pourtant assez mal vécu le passage de l'enfance à l'âge adulte, plongeant dans l'anorexie ✩ en a gardé les séquelles et a le toc de se peser tous les jours ✩ s'offre un masque de supériorité pour ne pas entendre les critiques ✩ sa relation avec ses parents s'est brisée après qu'il ait disparu de la maison pendant deux semaines, quand il avait dix-sept ans ✩ son père essaie encore de l'inviter au restaurant, de temps à autres ✩ a terminé son lycée sans grande conviction et a tenté en vain une première année de fac d'histoire de l'art ✩ pendant ce temps, il a adopté un siamois, qu'il a appelé mercury et ne l'a depuis jamais quitté ✩ a abandonné les études rapidement, trop pris par la vie nocturne qu'il menait ✩ est cyclothymique, et vit par passades des accès de nymphomanie, comme il dit lui-même, et de paranoïa couplée à un besoin maladif d'être protégé ✩ a l'oeil pour ce qui est beau et l'oreille pour ce qui est bon ; un sens esthétique qui ne l'a jamais trompé ✩ est blogueur et critique indépendant, mais ne vit que sur la rente de sa mère ✩ a des goûts de luxe, et une obsession pour les chaussures particulièrement ✩ après avoir vu son coeur se faire briser par son premier amour, il a sombré dans un libertinage maladif ✩ a en réalité le besoin inconditionnel de se sentir aimé et important aux yeux des autres, de quelqu'un ✩ supporte assez mal la vue du sang dans la réalité et paraît facilement excessif ✩ fréquente couramment un homme depuis bientôt deux ans, sans que ça n'ait aucun autre sens que charnel en théorie ✩ il a une peur excessive de l'engagement et des devoirs, d'autant plus depuis son tout récent diagnostic ✩ il n'a pas toujours bien choisi ses amants, et si il s'est habitué à se faire insulter après coup, les incartades ont fini par l'avoir et il s'est ainsi révélé séropositif, une nouvelle qu'il ne digère pas ✩ il passe sa vie à traîner dans les bars, les cinémas, les librairies et les boutiques trop chères pour quiconque quand il n'est pas chez lui ✩ est quasiment accro aux réseaux sociaux et quitte rarement son portable ✩ pense parfois à porter ses lunettes de lecture, quand il ne les perd pas quelque part dans son appartement ✩ est parfois blessant, mais dans le fond, il est inoffensif. | Pseudo/Prénom LES DRAPS BLEUS. aka valou pour les intimes Âge dix-huit ans, et une molaire qui n'est jamais sortie, la bougresse Pays je prononce le s à la fin de moins, sorry not sorry, rpz le sud-ouest Connexion avec la fac et la vie, c'est assez fluctuant ... je passe au moins le week-end, en général Où as-tu connu le forum? bazzart Personnage inventé. Dernière bafouille ... j'ai fait des pâtes ? |
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| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 20:51) |
« my heart is gold and my hands are cold. » Parfois, il sourit avec toutes ses dents. Et c'en est trop, et tu te laisses happer. Tu te laisses dévorer. C'est trop grand, c'est trop blanc. Même si une de devant est de travers. Des canines tendances assassines.
Parfois, il sourit avec toutes ses dents. Un éclair monochrome dans le fond du crâne. Un souvenir d'enfance. Une incartade, une escapade. Tes yeux trop grands. Il t'entoure de ses bras. Et elle, elle crie. Tu t'es évanoui dans le noir, sans rien dire à personne. Mais c'est la première fois que tu les vois réunis depuis trop longtemps. Onze ans. Assis sur le canapé avachi de la maison paternelle, une odeur d'encens. Deux semaines, bon sang ! Ils préfèrent se disputer en français ou en arabe. Comme si tu ne comprenais toujours pas. Mais c'est plus confortable le silence. Son silence. Il a bien fallu prendre le retour, après coup. Il a claqué la porte derrière toi. Et ça a tout secoué. Les côtes brisées. Parfois, il sourit avec toutes ses dents. Il avait le visage fermé. Une perle au coin de ton oeil. Tu hurles, tu gueules. Jamais entendre, jamais comprendre. Et puis elle lève les yeux au ciel. Et lui tire nerveusement sur ses mèches brunes. Arrêtez. Arrêtez de vous inquiéter, maintenant qu'on en est là. Qu'ils le fassent avant, avant que tu reviennes. La lèvre enflée et la mine basse.
Parfois, il sourit. Avec toutes tes dents.
Tu lui as tendu une coupe. Du bruit et des voix. Les néons et la nuit.
Un sourire accroché sur tes lèvres. Un souvenir pendu à ta langue. Tu ricanes, en regardant les images. C'est ton corps, découpé par le cadre. C'est ta chair, exposée anonymement. C'est devenu habituel, dans le fond. Un bien public, tout simplement. Tu sirotes et tu nargues. Tu ne l'aimes plus, cet autre. Tu ne l'as jamais vraiment aimé. Ni qui que ce soit d'autre. Il a le regard noir, quand il s'arrête sur ta silhouette. Mais toi, tu ne fais pas attention. Personne ne te retiendra, de toute façon. Un léger coup de coude. Tu lui as tendu une coupe. Tu détestes ceux qui n'ont pas de quoi boire, t'as dit. Il a souri. Il te semble. Tu ne sais plus réellement. Tu sais surtout ce que ça fait, dans ta tête les grands blancs. Un ascenseur, l'arrière d'un taxi. Les toilettes d'une boîte de nuit. Ça te court sur la peau, ça te ronge l'échine. Des frissons de faux-semblants. Les néons et la nuit. Tu as accroché sa peau avec tes ongles. Mordu sa bouche, longé son ventre. Et puis tu es reparti. Comme un coup de vent. Remettre une veste, laisser un mot. Quelques chiffres, des numéros. Rappelle-moi, si ça te dit.
Tu renifles vaguement. Ta tête qui dodeline. Le silence de ton appartement. Ils te veulent tous. Ils n'en savent rien.
Plus envie. Plus envie de sortir. Plus envie de dormir. Plus envie de marcher. Plus envie de danser. Tu te fixes dans le miroir, et tout a changé. Toujours le même corps. La peau trop fine sur tes côtes qui se dessinent. Un grain de beauté. Encore des bleus. Ils te veulent tous. Sur ton téléphone, des visages qui défilent. Des discussions banales. Des mensonges trop fins. Tu n'as pas changé ce statut-là. Ils n'en savent rien. Tu te regardes et tu te fixes. Dans le blanc de l'oeil. Dans le fond de tes pupilles. Rien n'a changé. Plus comme avant. Les souffles tremblent, et ça te démange. T'aimerais une chaleur. Pour te faire tenir, encore un peu. Ses messages s'accumulent. Tu ne réponds plus. C'est coincé dans ta gorge. Tu n'as rien dit. Ni pleuré, ni crié. Juste vomi. Rentrer chez toi, tomber à genoux. Et te forcer. Recracher la vile, recracher le sang. Le silence de ton appartement. Ce qui est écrit sur le papier. Quelques chiffres, quelques lettres. Ta vie en chambardement. Ils n'en savent rien.
Tu ne sais pas comment lui expliquer. |
| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 20:52) |
et tu dis rôse aussi? bienvenue officiellement parmi nous & bon courage pour ta fiche jack est un super choix je te le réserve pour cinq jours :boubou: |
| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 20:53) |
Jack + le début de ta fiche Bienvenue par ici et bonne chance pour la suite |
| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 20:53) |
LES PATES CEY LA VIE je connais pas ton acteur mais il est bienvenue et bon courage pour ta fiche, hâte d'en voir plus :cara: |
| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 20:57) |
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| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 20:59) |
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| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 21:00) |
merci chou le tien est pas mal non plus |
| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 21:08) |
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| | | Invité
| Re: (☆/L.) flickers in my head. - (Jeu 16 Fév - 21:10) |
WESH ATTENDS T'ES DE QUELLE TEAM SUD-OUEST ? (pas bordeaux, pas bordeaux, pas bordeaux.)dat name quand même, merci |
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| Re: (☆/L.) flickers in my head. - () |
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