| | Gibson - work in progress | |
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Invité
| Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 16:29) |
Sam Gibson ce qui ne te tue pas te rend plus fort
Nom Gibson Prénom(s) Sam Âge 39 ans Naissance 10 avril 1980 à Wellington Nationalité Néo-Zélandaise Origines Néo-Zélandaise et anglaise Statut civil Célibataire Orientation sexuelle Hétéro Occupation Garde forestier Argent La moyenne Caractère Franc, il n'a pas peur de dire ce qu'il pense, même si ce ne sera jamais pour blesser et fera en sorte que ça ne le soit pas. Mystérieux, il ne parle presque jamais de son passé et n'expose jamais ses sentiments. Justicier, il n'est pas du genre à se laisser faire et ne supporte pas voir une injustice, il se sent obligé d'intervenir. Sang-chaud, il peut facilement prendre part à une baston sans pour autant la commencer, il va juste avoir le besoin de la finir. Solitaire, il se compare à un chat, il aime la tranquillité et quelques câlins de temps en temps. Débrouillard, il a un peu trop de fierté pour demander de l'aide, alors forcément il arrive toujours à s'en sortir. Froid, il ne va pas donner sa confiance rapidement et encore moins être très sympathique, une fois la carapace percée, il peut être très doux et attentionné. Peur de l'engagement, ce n'est pas celui qui va râler parce qu'il est célibataire, au contraire. Groupe Carpe Diem The Fortune Teller Faites vous plaisir Avatar Charlie Hunnam
“La chance, c’est la faculté de s’adapter instantanément à l’imprévu.” |
Partie anecdotes : Sa première baston s'est passée au lycée. Il allait passer son 1er dan en ceinture noire quand un gamin a commencé le traiter, à l'insulter, à le chercher. Evidemment, il était loin de s'attendre à la prise de judoka que Sam lui fit et qui le mit à terre. Passage chez le directeur juste après, mais ravi d'avoir cloué le bec à ce pauvre type. ~ La première personne qu'il défendit était une petite fille. Ils n'avaient que 8 ans et un petit garçon était venu embêter la petite fille. Sam s'interposa et se prit un pain. La bouche en sang, il était rentré chez lui avec l'espoir de pouvoir se venger. A la place, ce fut la petite fille qui vint le remercier. Elle essaya de devenir son amie, mais le mutisme de Sam l'en dissuada. C'est certainement l'un des seuls regrets qu'il a aujourd'hui. ~ Lui qui aimait tant courir, il sait qu'il ne le pourra jamais et ça le ronge depuis ce jour où il a perdu sa jambe. ~ Il s'est mit à jouer de la guitare lors de ses années au chômage, autant pour passer le temps que pour la curiosité. ~ Il n'est pas du genre à se soûler, mais aime bien une bonne bière de temps en temps ~ La drague, ce n'est pas son truc, et pourtant, il est à l'aise avec les femmes. Il a pourtant eu sa première fois très tard, lors d'une soirée organisée avec ses anciens camarades de l'armée lors de ses 20 ans. Depuis il n'a que des conquêtes de temps en temps. Même s'il a déjà été amoureux, il ne souhaite pas récidiver la chose ~ Depuis l'armée, tout le monde m'appelle Gibs et ça me convient parfaitement ainsi.
Pseudo/Prénom Mily/Amely Âge 28 ans Pays Paname Connexion 7j/7 Où as-tu connu le forum? je ne me souviens guère Personnage scénario de @gabe jenkins Dernière bafouille c'est parti pour de nouvelles aventures
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| | | Invité
| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 16:29) |
Partie histoire : Neuf ans. Neuf ans d’armée de terre et trois en tant qu’adjudant. Elles ont certainement les meilleures années de ma vie. Enfin, des malheurs, des injustices, il y en a eu, mais tous ces terrains visités, sauvés, m’ont permis de m’épanouir dans ma vie. Les quinze premières années de ma vie ont été relativement simple. Des parents décédés quand j’étais très jeune, des grands parents très aimants mais bien trop vieux pour s’occuper d’un gamin. Tellement qu’à 15 ans je finissais en famille d’accueil après leur décès. Une chose à laquelle je m’étais attendu, préparé. Je n’étais pas si doué à l’école. Je passais mon temps à faire du judo, ayant eu ma ceinture noire avec le 1er dan juste avant que mes grands-parents ne décèdent. Je n’avais pas beaucoup d’amis et ils ne représentaient pas grand-chose pour moi. Très solitaire, je n’avais pas besoin d’être entouré, ou même d’être aimé. Oui, par moment j’enviais ces gamins « normaux », avec des envies d’adolescence, ces sujets de discussions débiles, ces romances stupides. Mais rien de tout ça ne me faisait envie. Alors à 16 ans, je m’engageais dans l’armée de terre, pour être libéré de toute obligation et responsabilité familiale et étudiante, pour passer à un métier dangereux et bien plus important. Je m’y sentais comme chez moi, m’y sentant parfaitement à ma place. Tout bascula lors de ce raid, en 2005, pour venir sauver ce village en Afrique. Le camp fut attaqué. Tout se déroula tellement vite que je ne comprenais pas ce qu’il y avait bien pu se passer. Comme un rêve bien trop incroyable, hallucinant. Ou plutôt un cauchemar. Parce que je me retrouvais à l’hôpital, avec ce type, Gabe, que je venais de rencontrer quelques heures plus tôt. Parce qu’il était dans un piteux état, que sa mâchoire faisait peur à voir, que j’avais l’impression de me retrouver dans l’une des guerres mondiales et leurs atrocités. La peur m’envahissait pour la 1ère fois. La peur de ne plus pouvoir exercer mon métier. Parce que je n’étais pas là pour rien, pour une simple égratignure. La panique arriva à toute allure et je voulus me lever. Impossible. Ma jambe droite refusait de répondre. L’incompréhension s’installa pour laisser place de nouveau à la panique. Je me relevais rapidement et ma jambe droite laissait place à … du vide. Mon cœur s’emballait et manquais de peu de m’évanouir. Une infirmière arriva bien rapidement à ce moment là et me donna un calmant. La rééducation fut longue et compliquée. Mais le soutien de Gabe me fut bénéfique. Une vrai relation amicale nécessaire et importante. La première. Je comprenais enfin tous ces gamins qui aimaient passer du temps avec une autre personne. Cette entente parfaite, cette compréhension dans le regard sans pour autant devoir y mettre un mot. Peu importe le temps que ça pouvait prendre, ou même le peu d’argent que j’avais pour installer une bonne prothèse, je ne me sentais plus seul et j’avais besoin d’une épaule pour ce fardeau devenu lourd à porter, pour ce retour à la vie quotidienne de la majorité du monde. Celle qui m’a toujours effrayée, celle à laquelle je n’ai pas réussi à m’intégrer tout de suite. Gabe était devenu un artiste accompli et moi ? Au chômage pendant presque cinq ans. Les thérapies se sont enchaînées et même aujourd’hui, je doute d’être réellement remis de ce traumatisme. Mais je fais comme si. Je suis devenu un homme encore différent. J’essaie de me montrer plus cool, plus fun, plus sympa, même si ce n’est pas tous les jours faciles. Mais la solitude me permet de me ressourcer et il était donc logique pour moi de devenir garde forestier. Je pouvais encore servir ma patrie d’une certaine manière, porter une arme et sans pour autant courir de risque. Cependant, pendant ces années de chômage, j'ai fait la rencontre d'une charmante demoiselle qui fit basculer mon train de vie ennuyant. Evidemment les thérapies m'aidaient à aller mieux, mais c'est surtout grâce à elle que j'ai réussi à sortir la tête hors de l'eau et à trouver un nouvel emploi. Plus les mois passés, plus j'étais fou d'elle. Puis elle tomba enceinte. Moi qui ne souhaitait pas de famille au préalable, je fus surpris de ressentir de la joie face à cette annonce. Tout se déroulait pour le meilleur du monde. C'était une jolie petite fille qui était née et je l'aimais plus que tout au monde. Finalement, j'avais une famille parfaite, pénard, loin de la ville mais pas trop. Jusqu'à ce que j'ai cet accident de voiture. Elle n'avait que deux ans. Ma prothèse avait volé en éclat, et pourtant, pas une seule égratignure. La vie de ma fille s'était pourtant envolée et ma joie de vivre à nouveau également. Autant dire que sa mère m'en a voulu et est partie loin de moi. Tout s'écroula de nouveau, et pourtant, je me sentais de nouveau à ma place. Comme si tout ça n'avait été qu'un doux rêve qui avait pris fin. Le bonheur n'était pas pour moi. Aujourd’hui, j'essaie de survivre. Ma fille me manque encore terriblement et la culpabilité me ronge chaque seconde. Ma prothèse raccommodée ne me dérange plus, je vis avec, je m’y suis habitué et cela ne me dérange plus de la montrer aux plus curieux, même si ce n’est pas la 1ère chose que je vais faire et que je ne porte plus un seul short. Peut-être qu’un jour, cela changera.
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| | | Invité
| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 16:35) |
Pour une qui devait réfléchir, t'as fais vite ! Je suis super contente que tu es choisie mon scénario, j'espère que tu l'aimeras aussi. J'ai hâte de voir tout ça ! Hésite pas si tu as des question, mais bon tu sais déjà où me trouver ! |
| | | Invité
| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 16:36) |
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| | | Invité
| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 16:50) |
Rebienvenue à la maison. Bon courage pour cette nouvelle fiche, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire. |
| | | Invité
| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 17:04) |
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| | | Invité
| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 17:12) |
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| | | Zellig Turner control freaks › je suis un maniaque
Who you are› posts : 863 › faceclaim : françois arnaud, ©kozmic blues. (av), amymarchs, maurawrites @tumblr (gifs), SIAL (sign), the band camino, syml (lyrics) › multinick : ariel (d. luna), colm (dan smith), cassius (rieder)
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| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 17:28) |
charliiiie rebienvenue |
| | | Invité
| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 17:55) |
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| | | Invité
| Re: Gibson - work in progress - (Mar 28 Mai - 21:43) |
re-bienvenue :D |
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| Re: Gibson - work in progress - () |
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